Regardez bien ces visages d’auto-satisfaits qui démantèlent petit à petit tout ce qui fait France, France d’avant bien entendu, celle de nos ancêtres, de nos parents et de notre enfance ! Souvenez-vous en le jour où le temps de faire les comptes sera venu…
Pendant que ces deux imbéciles s’écharpent sur tout et n’importe quoi, que l’un propose avec « force » la distribution de flyers en réponse aux émeutes estivales et que l’autre se balade en Italie pour rouler des mécaniques avec son physique de guignol, la France s’enfonce tous les jours d’avantage dans la violence et la balkanisation…
« Les passes d’armes entre les ministres de l’Intérieur et de la Justice sont un grand classique qui se joue régulièrement, depuis l’entrée en force du Syndicat de la magistrature, place Vendôme. Quelles que soient les majorités en place, les rapports entre les deux ministères régaliens ont été rythmés par de spectaculaires affrontements, conséquence logique du fossé qui s’est creusé sur le terrain entre juges et flics. Les locataires successifs de la place Beauvau s’égosillent vainement en rodomontades, pour au bout du compte s’incliner sous les coups de boutoir d’une justice plus sensible au sort des délinquants qu’à celui de leurs victimes. Tous les ministres de l’Intérieur quelque peu impétueux, de droite comme de gauche, ont été renvoyés dans leurs cordes par leurs collègues de la justice, soucieux de ne pas se mettre à dos des juges peu enclins à répondre aux souhaits de la police. Le scénario est toujours le même. Sous la pression de l’opinion exaspérée par une délinquance de plus en plus violente, la place Beauvau commence par afficher une politique de fermeté, en appelant les juges à prononcer des peines dissuasives. Peine perdue! Dans les prétoires, on se montre plus disposé à la compréhension des délinquants et aux peines alternatives, qu’à l’emprisonnement. Finalement, le conflit est porté sur la place publique par les ministres eux-mêmes, jusqu’à menacer la cohésion gouvernementale ».
Témoignage de Marion du Faouët, auditrice de la promotion Dante de l’Institut Iliade, prononcé le samedi 27 mai 2023 à Naples.
Chers amis,
Je suis très émue de pouvoir me tenir devant vous aujourd’hui, sur cette terre italienne qui a vu grandir une part du génie européen en particulier votre poète Dante Alighieri sous l’égide duquel ma promotion s’est placée l’année dernière. Je remercie l’Institut Iliade et votre librairie de me permettre de m’exprimer aujourd’hui. Mon propos sera, si vous me le permettez, assez personnel et tâchera de témoigner de la flamme qui anime mes engagements actuels. C’est la première fois que je m’essaie à cet exercice de présentation et je vous sais gré d’avance de votre bienveillance et de votre écoute.
« À qui a beaucoup reçu, il sera beaucoup demandé ». Voilà l’une des maximes scandée par ma mère à sa progéniture. Et en effet, je peux dire que j’ai beaucoup reçu. Je suis, à n’en pas douter, ce que certains pourraient appeler vulgairement une privilégiée. Par ma naissance tout d’abord, au sein d’une famille aimante, seconde d’une fratrie de huit enfants. Issue d’une race de chasseurs et d’aristocrates, j’ai grandi dans l’amour de ma patrie européenne et de son héritage, surtout culturel et littéraire. L’univers du Seigneur des Anneaux, la geste arthurienne, Sur les Falaises de marbre jüngériennes, Le cœur rebelle d’un certain historien avec qui mon père avait coutume de converser ont constitué mes plus beaux émerveillements et ont forgé mon âme. Mon mariage m’a laissée dans le même confort. Comblée d’amour par mon mari et nos trois enfants, j’habite la tranquille campagne bretonne où nous prévoyons d’implanter notre clan pour de longues années encore. Bien sûr, la vie aura su mettre sur mon chemin quelques épines, mais elles sont bien peu de chose au regard de tout le reste. D’extérieur, rien ne me prédestinait donc à être devant vous ce soir. Et je ne doute pas que mes camarades antifas de la faculté où j’ai repris mes études seraient bien surpris de me savoir dans votre librairie ! Et pourtant je suis là. Et je peux dresser fièrement la tête et affirmer à voix haute que j’ai su répondre présent à l’appel lancé par Dominique Venner il y a 10 ans de cela. Le silence assourdissant qui a suivi son geste sacrificiel le 21 mai 2013 a trouvé un écho bien amer dimanche dernier lorsque la police politique de Darmanin nous empêcha de nous réunir pour évoquer l’homme de lettres, le militant, l’historien qui marqua tant d’Européens. Les différents hommages qui ont eu lieu en Europe ont, à n’en pas douter, renforcé la flamme qui nous animait tandis que nous contemplions la salle vide du pavillon Wagram où nous devions accueillir notre public.
« Exister, disait Dominique Venner, c’est combattre ce qui me nie. (…) C’est être à soi-même sa propre norme. S’en tenir à soi quoi qu’il en coûte. Veiller à ne jamais guérir de sa jeunesse. Préférer se mettre tout le monde à dos que se mettre à plat ventre. »
Lorsqu’il a fallu préparer mon intervention, en discutant avec Pierluigi, cette citation du Cœur rebelle a refait surface dans ma mémoire. Je crois pouvoir dire que j’ai toujours été une rebelle et n’avoir pas encore guéri de ma jeunesse. Adolescente, j’ai vibré au fil des randonnées que nous faisions en famille ou aux scouts. Étudiante, j’ai milité au sein du Front national pour la jeunesse, collant, tractant, manifestant. Puis je me suis mariée, je suis devenue mère et j’ai commencé à enseigner le français dans différents établissements. Et cette flamme que mes parents ont su faire naître en mon cœur ne s’est jamais éteinte. Consciente du legs transmis par mes ancêtres européens, j’ai vu les délires politiques toujours plus fous entamer l’esprit de certains dans mon entourage. À quoi bon s’engager quand le pays va à veau-l’eau ? Pression migratoire toujours plus violente, wokisme, cancel culture. Nos ennemis se renforcent, puisant leurs forces dans les cadavres de nos contemporains totalement soumis à une machine qui désormais les domine.
Mais il existe des cœurs rebelles à ce déclin. Dominique Venner en était un. Samouraï d’Occident, il a voulu faire de sa mort sacrificielle un acte de fondation, un réveil brutal pour un peuple en dormition. Dominique Venner est pour nous un éveilleur de conscience. Il nous rappelle que nous ne sommes que les maillons d’une chaîne, dépositaires d’un héritage multi-séculaire qu’il nous faudra un jour transmettre aux générations suivantes. Nous, Européens, devons placer nos pas dans ceux de nos aïeux qui ont fait la grandeur de notre vieux continent. Des guerriers spartiates aux vieux romains, des dieux païens au Moyen Âge flamboyant, de la forêt profonde aux ruines antiques, des batailles épiques au chant enivrant des Nibelungen, de Nietzsche à Wagner, de Sainte Jeanne d’Arc à Charles Quint, tout parle au cœur d’un Européen. Mais que faire devant le constat de la décadence qui nous entoure ? Comment agir face à l’ennemi qui cherche à établir un nouveau monde dans lequel il nierait toute spécificité ? Peut-on accepter de vivre dans un monde où un petit Canadien ou Américain vivraient de la même manière qu’un Espagnol, un Français ou un Italien ? La matière humaine indifférenciée, telle que Renaud Camus la définit, semble tristement se contenter d’un matérialisme absolu, d’un individualisme à toute épreuve et d’une quête du plaisir sans limites.
Mais il s’agit, dans le sillage de Dominique Venner et des fondateurs de l’Institut Iliade de se tenir droit devant l’ennemi et de refuser la laideur qu’il propose. Partir en quête de la beauté pour éviter la seule recherche des plaisir ; former des esprits conscients de leur héritage et reformer un peuple européen pour lutter contre l’individualisme ; recourir aux forêts et quitter le confort matériel pour affronter le choc de l’histoire, voilà ce qui a guidé mes pas vers l’Institut Iliade, institut pour la longue mémoire européenne. La formation reçue de mes parents, de mes enseignants, de mes maîtres m’oblige. Je suis un maillon, bien imparfait je le reconnais, de cette histoire européenne. Je veux pouvoir me tenir, à l’aube de ma vie, face à ceux de ma race, mes enfants, mes petits-enfants et pouvoir affirmer que je n’ai pas rompu avec le fil de l’Europe, que je leur ai transmis cette flamme qui m’anime, que j’ai su chevaucher le tigre, parfois avec la peur au ventre mais toujours avec foi.
Histoire Forme d’exercice du pouvoir apparue à partir du XVIe siècle, l’absolutisme a marqué de son legs nos institutions politiques comme notre culture administrative.
Par Damien Larrouqué*, Le Point du 29/07/2022
Dans son dernier ouvrage intitulé Le Roi absolu : une obsession française, 1515-1715 (Paris, Tallandier, 2022), l’historien Joël Cornette nous livre un récit passionnant sur l’institutionnalisation contrariée du pouvoir absolu, depuis l’avènement de François Ier à la mort de Louis XIV. Pour ce spécialiste du Grand Siècle, la construction de l’État moderne va de pair avec la consolidation de l’absolutisme, en particulier louis-quatorzien. Formulé pour la première fois sous la plume de Chateaubriand, le terme désigne cette modalité autocratique d’exercice du pouvoir où l’autorité politique est tout entière concentrée dans la figure du monarque.
Sans être tout à fait une singularité nationale, l’absolutisme a façonné notre histoire institutionnelle et politique au point d’atteindre, par réminiscence, la fonction présidentielle. Le chef de l’État sous la Ve République n’a-t-il pas quelque chose de « monarque républicain » ? Et son élection au suffrage universel ne fait-elle pas figure de « sacre démocratique » ? Et que dire encore du premier mandat d’Emmanuel Macron qu’il a lui-même voulu « jupitérien » ? À bien des égards, l’absolutisme nous a laissé un héritage durable, dont ce livre nous permet de dresser une partie de l’inventaire.
D’après l’auteur, un « premier absolutisme » émerge sous l’impérieuse houlette de François Ier. Son essor s’interrompt néanmoins avec les guerres de religion, au cours desquelles l’autorité de l’État est mise à mal durant cette période de grands « malcontentements » et autres « épouvantements ». Au demeurant, en 1576, soit quatre ans après le massacre de la Saint-Barthélemy, un certain Jean Bodin, juriste bien connu des étudiants en droit, publie ses célèbres Six Livres de la République. Si son ouvrage est considéré comme une œuvre de théorie politique majeure, c’est parce qu’il a posé les bases du concept de souveraineté, qualifiée de « perpétuelle et absolue ».
En somme, l’autorité politique se distingue désormais de la figure du prince pour s’incarner en l’État (« la République »), vu comme une entité abstraite et autonome. Ce livre opère une révolution théorique, dans la mesure où il annonce la dépersonnalisation du pouvoir, soit la transition de l’ordre féodal à l’État moderne. Dans cette perspective, l’absolutisme – auquel les Bourbons du lignage d’Henri IV donnent ses lettres de noblesse – apparaît moins comme la personnification du pouvoir absolu que comme la transmutation de l’autorité royale en pouvoir souverain. Autrement dit, l’imposition du principe de souveraineté constitue le premier legs de l’absolutisme.
Valentin Martel : « Les Prohibés » est un collectif d’artistes, d’artisans et de créateurs de contenus français souhaitant remettre le Beau au centre de notre société. En cela, nous avons une volonté clairement assumée de lutter contre le wokisme et la cancel culture, qui gangrènent le milieu culturel actuel.
Nous avons créé le collectif il y a un an de cela avec Clémence Facqueur (qui est dessinatrice) – il est aujourd’hui fort d’une soixantaine d’artistes, artisans et autres créateurs de contenus, qui nous ont rejoints.
Aujourd’hui, nous venons de nous structurer en association. Les créateurs souhaitant faire partie du collectif doivent payer une cotisation annuelle de 30 euros pour nous permettre d’avoir une trésorerie. Cependant, il n’est pas obligatoire d’adhérer au collectif pour être posté sur nos réseaux. Le collectif « Les Prohibés » se nomme ainsi, comme un clin d’œil vis-à-vis de cette invisibilisation que rencontre les artistes souhaitant faire vivre leur art, ancré sur nos traditions. En effet, il est difficile de trouver une exposition médiatique, un relais, si on ne crée pas avec les codes du mainstream culturel omniprésent. « Les Prohibés » veut donc promouvoir ces créateurs fondant leurs travaux sur le patrimoine français, son histoire, sa culture, sa religion ; et finalement, c’est comme si nous œuvrions à son soft power…« .
L’Incorrect en remet une couche le 31 mai 2023 par l’intermédiaire d’Émeline Paulsen.
Petit extrait :
Le culte du beau a-t-il disparu dans la société contemporaine ? De quel beau parlez-vous ?
« Nous n’aimons pas du tout cet art contemporain qui mêle wokisme et cancel-culture. On ne veut pas de cet art abstrait qui ne représente rien, sans aucune culture, qui ne transmet rien. Quand nous parlons du beau dans l’art, nous faisons référence à notre héritage artistique, avec par exemple dans l’artisanat, la peinture ou la pyrogravure, toutes les techniques anciennes qui ont fait leurs preuves dans le temps. Personnellement, dans mes poèmes, j’aime les formes plus classiques comme les alexandrins ou encore les sonnets. Il en va de même avec les thèmes de nos créations : nous partons principalement de notre patrimoine, de notre culture historique et de la religion catholique – car c’est aussi ça la France. Nous voulons transmettre en nous référant à nos pères. La transmission est très importante pour nous« .
Tout ce qui, de près ou de loin, fait l’apologie de notre passé français et européen, de la notion de Beau et de l’excellence artistique et artisanale, doit être soutenu et félicité !
« Evola emprunte à Johann Jakob Bachofen sa lecture de la morphologie des civilisations, en rejetant l’aspect évolutionniste, y préférant la thèse involutive de Guénon. Tout au long de l’histoire connue, on a assisté à une altération du monde de la Tradition, avec notamment la dissociation entre autorité spirituelle et pouvoir temporel, inséparables aux origines. La civilisation, à l’origine, est patriarcale, héroïque, solaire, olympienne, virile ; elle se détériore sous les influences altératrices de la civilisation matriarcale, lunaire, tellurique, chtonienne, et aboutit à l’âge sombre, au kali-yuga« .
« À l’âge de vingt-trois ans, alors qu’il est décidé à mettre fin « librement » à ses jours, à la façon des philosophes Otto Weininger et Carlo Michelstaedter, Julius Evola a une illumination en lisant un texte du Majjhima Nikaya : « Celui qui prend l’extinction comme extinction, qui pense l’extinction, qui pense à l’extinction, qui pense ‘L’extinction est mienne’ et se réjouit de l’extinction, celui-là, je le dis, ne connaît pas l’extinction. » Evola comprend que la liberté par laquelle il désire en finir est encore un lien, une ignorance opposée à la vraie liberté. Dès lors, il sent naître en lui une « fermeté capable de résister à toute crise » existentielle et, plus largement, à la crise du monde moderne« .
« Julius Evola soumettra ainsi ses connaissances et expériences, si diverses, à cette seule discipline : le détachement ferme. Lorsqu’il sera victime d’un bombardement à Vienne, qui lui causera une lésion partielle et une paralysie des membres inférieurs, il ne se sentira pas particulièrement touché par cette incapacité physique, son activité spirituelle et intellectuelle n’en étant en aucune façon compromise. Il manifestera également très tôt une insensibilité, voire une certaine froideur d’âme, envers la manière de vivre de ses contemporains. Son souci de considérer les arts, la philosophie, la politique, le sacré, malgré son détachement intérieur, s’expliquent par ce qu’il appelle son « équation personnelle » : une impulsion, dès sa prime jeunesse, vers la transcendance ; et une disposition de kshatriya, terme hindou désignant un type humain « guerrier », enclin à l’action et à l’affirmation, par opposition au brahmâna, type sacerdotal ou contemplatif. Ces deux tendances détermineront entièrement Evola dans son rapport au monde« .
Une belle brochette de pompes à vélo que Jean-Dominique Michel dénonce tranquillement en démontrant leur inanité et leur imposture ! Fallait-il démontrer ce que l’on soupçonnait déjà très fortement ?… À une époque où une princesse anglaise est une noire dans une série ou une secrétaire d’état américaine est un homme, toutes les évidences doivent être malheureusement prouvées…
Si il était nécessaire d’en rajouter, l’OJIM soulignait fin avril les abus de Rudy Reichstadt et de ses petits copains qui se prennent pour des grands justiciers, des guerriers du monde terrible du complotisme : » Ces révélations sont venues s’ajouter à d’autres : Rudy Reichstadt, le pseudo spécialiste du fact-checking, a bénéficié, au bas mot, de 60 000 euros de ce fonds pour son association Conspiracy Watch. La polémique prenant du poids, Libération s’est penché sur le sujet et l’article vaut le détour. […] le contenu posté par Conspiracy Watch n’a pas bougé d’un iota malgré la subvention. Avec ce fonds, le site a publié 81 notices et en a mis à jour 142. Le thème dominant est resté celui de la pandémie de coronavirus. Les mauvaises langues diront que ça fait cher la fiche ou la notice. Pour couronner le tout, sur son site, Conspiracy Watch n’indique absolument pas avoir reçu cet argent. Si l’on va dans l’onglet des partenaires, on trouve la fondation pour la mémoire de la Shoah, la DILCRAH, mais pas le fonds Marianne ou le CIPDR, alors que cette page a été mise à jour en septembre 2022.Le sieur Reichstadt apparaît également dans d’autres bénéficiaires du fonds. Il intervient dans le projet de vidéos qu’a pu financer la LICRA grâce aux 95 000 € reçus par le fonds Marianne. Il apparaît dans deux d’entre elles sur le complotisme, et également dans une série de vidéos publiées sur la chaîne LCP intitulée Conspirations ? ».
Et le titre de leur officine « française » qui est en anglais… le pompon !
Une officine créée dans le cadre d’un partenariat public-privé (Macron-Rothschild), qui restera dans les anthologies de la propagande d’Etat la plus malsaine.
« La Bêtise publique me submerge. Depuis 1870, je suis devenu patriote. En voyant crever mon pays, je sens que je l’aimais. La Prusse peut démonter ses fusils. Pas n’est besoin d’elle pour nous faire mourir. La Bourgeoisie est tellement ahurie qu’elle n’a plus même l’instinct de se défendre. — Et ce qui lui succédera sera pire ! J’ai la tristesse qu’avaient les patriciens romains au IVème siècle. Je sens monter du fond du sol une irrémédiable Barbarie. — J’espère être crevé avant qu’elle n’ait tout emporté. Mais en attendant, ce n’est pas drôle. Jamais les intérêts de l’esprit n’ont moins compté. Jamais la haine de toute grandeur, le dédain du Beau, l’exécration de la littérature enfin n’a été si manifeste. J’ai toujours tâché de vivre dans une tour d’ivoire. Mais une marée de merde en bat les murs, à la faire crouler. […] Je ne peux plus causer avec qui que ce soit sans me mettre en colère. Et tout ce que je lis de contemporain me fait bondir. Joli état ! — ce qui ne m’empêche pas de préparer un bouquin où je tâcherai de cracher ma bile. Je voudrais bien en causer avec vous. Je ne me laisse donc pas abattre, comme vous voyez. Si je ne travaillais pas, je n’aurais plus qu’à piquer une tête dans la rivière avec une pierre au cou. — 1870 a rendu beaucoup de gens fous, ou imbéciles, ou enragés. Je suis dans cette dernière catégorie. C’est là le vrai.«
Extrait d’une lettre de Flaubert du 13 novembre 1872, adressée à Ivan Tourguéniev
«La pire menace qui puisse peser sur une démocratie, ce n'est pas la violence des armes, toujours ouverte et tangible, c'est la violence sournoise, insinuante, du mensonge ; c'est la manipulation des esprits, d'autant plus efficace et redoutable qu'elle revêt les oripeaux du moralisme.» ( Philippe Seguin ma référence )
"Choisis la pilule bleue et tout s’arrête, après tu pourras faire de beaux rêves et penser ce que tu veux. Choisis la pilule rouge : tu restes au Pays des Merveilles et on descend avec le lapin blanc au fond du gouffre."
Les citoyens se contentent de ronger l’os sans moelle qu’on leur a jeté, l’os du suffrage universel. Et c’est pour des boniments, des discussions électorales qu’ils remuent encore la mâchoire – mâchoire qui ne sait plus mordre.
#rebelle#liberté...ouvert d'esprit et adepte de la QUENELLE...il faut être combattant ! Ne rien lâcher ! Nationaliste ! Anti SIONISTE ! LANGUEDOC-ROUSSILLON !!!!
Venez parler de tout ce dont vous avez envie avec moi. Donnez vos opinions en toute liberté. Laissez vos commentaires. Je vous attends nombreuses et nombreux !!! / Translation in English for people who don't speak French : come to speak about all you want with me. Give your opinions with complete freedom. Leave your comments. I await you many and many !!!