Déliquescence républicaine

Le pire, c’est de savoir qu’ils ont été choisi par une partie de mes compatriotes… hallucinant et consternant !

Aucun charisme, des physiques d’épinglettes, des discours sans queue (et pourtant…) ni tête, des tronches de bouc émissaire de cours d’école, adeptes plus ou moins d’un zozotement des plus virils, des discours creux et une inaction politique navrante,… et ces « types » qui n’ont pas fait leur preuve (fonder une famille, élever des enfants et les amener au statut de citoyen autonome, construire sa maison soi-même, pratiquer un métier des plus utiles pour sa communauté, avoir fait son service militaire ou avoir pratiqué un sport de combat,… et j’en passe !), ont accédé aux plus hautes fonctions de la nation ??!!!… Et cela se constate dans tous les pays occidentaux ! Cordicopolis a les dirigeants chiffe-molles qu’elle mérite…

Non mais… sérieusement… Darmanin est ministre de l’Intérieur !!! Tout comme l’ont été Sarkozy, Baroin, Cazeneuve, Valls,… que des branquignoles !

Ou Lecornu, ministre des Armées… un « chef » de guerre, ça ?!!…Pitoyable !

La France et l’Occident sont vraiment tombés bien bas, dans les abysses les plus obscurs de la décadence moderne !

Kali Yuga

« Evola emprunte à Johann Jakob Bachofen sa lecture de la morphologie des civilisations, en rejetant l’aspect évolutionniste, y préférant la thèse involutive de Guénon. Tout au long de l’histoire connue, on a assisté à une altération du monde de la Tradition, avec notamment la dissociation entre autorité spirituelle et pouvoir temporel, inséparables aux origines. La civilisation, à l’origine, est patriarcale, héroïque, solaire, olympienne, virile ; elle se détériore sous les influences altératrices de la civilisation matriarcale, lunaire, tellurique, chtonienne, et aboutit à l’âge sombre, au kali-yuga« .

« À l’âge de vingt-trois ans, alors qu’il est décidé à mettre fin « librement » à ses jours, à la façon des philosophes Otto Weininger et Carlo Michelstaedter, Julius Evola a une illumination en lisant un texte du Majjhima Nikaya : « Celui qui prend l’extinction comme extinction, qui pense l’extinction, qui pense à l’extinction, qui pense ‘L’extinction est mienne’ et se réjouit de l’extinction, celui-là, je le dis, ne connaît pas l’extinction. » Evola comprend que la liberté par laquelle il désire en finir est encore un lien, une ignorance opposée à la vraie liberté. Dès lors, il sent naître en lui une « fermeté capable de résister à toute crise » existentielle et, plus largement, à la crise du monde moderne« .

« Julius Evola soumettra ainsi ses connaissances et expériences, si diverses, à cette seule discipline : le détachement ferme. Lorsqu’il sera victime d’un bombardement à Vienne, qui lui causera une lésion partielle et une paralysie des membres inférieurs, il ne se sentira pas particulièrement touché par cette incapacité physique, son activité spirituelle et intellectuelle n’en étant en aucune façon compromise. Il manifestera également très tôt une insensibilité, voire une certaine froideur d’âme, envers la manière de vivre de ses contemporains. Son souci de considérer les arts, la philosophie, la politique, le sacré, malgré son détachement intérieur, s’expliquent par ce qu’il appelle son « équation personnelle » : une impulsion, dès sa prime jeunesse, vers la transcendance ; et une disposition de kshatriya, terme hindou désignant un type humain « guerrier », enclin à l’action et à l’affirmation, par opposition au brahmâna, type sacerdotal ou contemplatif. Ces deux tendances détermineront entièrement Evola dans son rapport au monde« .

La suite et fin ici.

Une bataille d’idées !

Merci à Ideae Proelium pour leurs montages originaux avec lesquels ils ont envoyé (jusqu’en 2020) des messages d’une importance capitale, messages que nous devons tous, autant que possible, relayés et affirmés, encore et toujours, pour clamer haut et fort notre désaccord avec ce monde moderne, cette décadence généralisée, cette destruction minutieuse et systématique de tout ce qui faisait de l’Occident un modèle de civilisation unique et d’exception.

Il faut marteler ça et là, sans crainte et sans vergogne, notre exaspération du politiquement correct, des idéologies gauchistes absurdes distillées partout sous prétexte de bonnes actions. L’enfer est pavé de bonnes intentions… La radicalisation est un moyen pour mettre un coup d’arrêt au progressisme mondialiste, pour bien faire comprendre aux vermines modernes qu’il est temps de reprendre en main ce monde occidental qui part à vau-l’eau. Il ne faut pas en douter un instant et, surtout, ne pas écouter les mous du genou et autres adeptes de la tiédeur !

Gardons à l’esprit l’avertissement de Léon Daudet : « Le péril d’être tiède, dans les temps où nous vivons, c’est qu’on risque vite d’être un veul. Il y a une faiblesse, j’allais dire une lâcheté, dans la modération, et celle-là sort aux heures tragiques ».

Caravansérail du Frankistan

« La survie réelle, c’est-à-dire la continuité de notre substance biologique est la condition réelle de notre indépendance. Si l’Hexagone du XXe s. doit être un campement multi-racial, son indépendance ne nous fait ni chaud, ni froid. Même si un rectangle d’étoffe bleu-blanc-rouge y flotte le 14 juillet sur des grouillements colorés, un caravansérail n’est pas une patrie« .

Gilles Fournier  Europe-Action n°37 – janvier 1966

(trouvé chez Breizh-Info du 15 janvier 2017, Réédition de « Qu’est ce que le nationalisme ? » d’Europe Action)

Les barbares contemporains

Affiche bassement populiste de Police du Monde Parodique

« Est-ce que, à des indices déjà trop visibles, il n’est pas évident que, malgré les progrès de la civilisation matérielle, la civilisation morale, la vraie civilisation penche déjà vers la ruine, que l’équilibre est rompu et que notre société ne vit plus que des restes de l’ordre renversé« 

Léon DaudetLa France en alarme (Éd. Ernest Flammarion, Paris, p. 34) – 1904