« Hot town, summer in the city
Back of my neck getting dirty and gritty
Been down, isn’t it a pity?
Doesn’t seem to be a shadow in the city… »
The Lovin’ Spoonful – Summer in the city – 1966 [album Hums of the Lovin’ Spoonful]
« Hot town, summer in the city
Back of my neck getting dirty and gritty
Been down, isn’t it a pity?
Doesn’t seem to be a shadow in the city… »
The Lovin’ Spoonful – Summer in the city – 1966 [album Hums of the Lovin’ Spoonful]
« Lord, I was born a ramblin’ man
Tryin’ to make a livin’ and doin’ the best I can
And when it’s time for leavin’
I hope you’ll understand
That I was born a ramblin’ man… »
The Allman Brothers Band – Ramblin’ man – 1973 [album Brothers and sisters]
(live Gainesville, Université de Floride, 1982)
« They hung a sign up in our town
« If you live it up, you won’t live it down »
So she left Monte Rio, son
Just like a bullet leaves a gun« …
Tom Waits – Hold on – 1999 [album Mule variations]
(L’âne démocrate : « Les Russes essaient de diviser et affaiblir l’Amérique. »)
Cela faisait un moment que je voulais saluer l’admirable dévouement des soldats du feu en général et ceux de Californie en particulier après les désastreux incendies du mois de Novembre qui ont entraîné le plus pour bilan de l’histoire de cet état : « […] plusieurs incendies, qui ont déjà fait 44 morts. Quelque 80.000 hectares ont été réduits en cendre, de même que près de 7000 bâtiments. » (cf. Le Figaro du 12 novembre 2018).
Ces héros du feu nous changent de tous les pleutres et toutes les flottes de la politique française et des merdias, sans oublier leurs affidés de la « culture et du spectacle »…
« I can laugh
When things aint funny
(A haha) happy go lucky me … »
Paul Evans – Happy go lucky me – 1960
Je suis tombé par hasard sur un reportage évoquant une expérience sociologique qui s’est déroulée à l’Université du Québec à Montréal (UQAM) concernant la liberté d’expression et la liberté académique qui seraient en danger selon certains.
Aux États-Unis et en Angleterre, de nombreux cas de conférences annulées, même de professeurs réprimandés, ont été constatés après que les étudiants aient trouvé leurs propos offensants. De tels évènements sont aussi survenus en France comme à Sciences Po en novembre 2016 avec l’annulation d’une conférence du Front National par des étudiants qui ont empêché la venue de Florian Philippot (cf. article de Marion Pignot du 23 novembre 2016 dans 20 minutes).
On retrouve toujours les mêmes allumés du bocal des communautés LGBT, féministes,… (Clark Pignedoli, Stéphanie Gingras-Dubé : rien qu’à voir leur dégaine, on comprend vite leur engagement pour ce genre de collectif) qui assument complément l’aspect totalitaire de leur démarche sous couvert de sécuriser des espaces publics pour des minorités soi-disant oppressées, stigmatisées, injuriées.
La partie du reportage à partir de 3:20 à propos du pouvoir du collectif AFESH-UQAM sur les décisions de ce qui est bon ou pas pour les 42800 étudiants est édifiante (lors d’une AG, seulement 50 personnes de ce collectif sur ses 5000 membres étaient présents et ont adopté des mandats pour la totalité des étudiants !).
Les interventions du professeur que l’on découvre en début de reportage sont vraiment intéressantes notamment lorsqu’il évoque « une espèce de posture de supériorité morale qu’on se donne à peu de frais tient lieu d’argumentaire ».
Mais quelle différence entre cette posture des minorités et celle que les mouvements dits réactionnaires ont eux aussi vis-à-vis des idées progressistes ?
Pour ma part, elle est limpide : les minorités imposent leurs points de vues qui ne sont que des dogmes récents du XIX e et du XXe siècles alors que ceux des réactionnaires sont issus d’une évolution des idées, des moeurs, des pratiques sociales,… ayant fait leurs preuves depuis des siècles. Il me semble que notre argumentaire est étayé par le bon sens et par la longue histoire humaine.
À propos de diversité d’opinions tant vantée par tout gauchiste qui se respecte et tant valorisée par les enseignants, les incohérences soulevées dans cette vidéo me font penser à une citation de Thomas Sowell (parfaitement transposable en France) : « La prochaine fois qu’un universitaire vous dit à quel point la « diversité » est importante, demandez-lui combien il a de Républicains dans son département de sociologie. ».
Tellement vrai ! Et on se demande comment peut-on encore trouver des gugusses pouvant suivre ce genre d’universitaire ou d’intellectuel, et adhérer à leurs discours ?!!…
Au détour de ma lecture en diagonale des dépêches de l’AFP, je suis tombé sur l’une d’entre elles qui m’a conforté dans mon idée d’un monde « artistique » à la dérive, englué dans une posture politique de plus en plus intenable mais nécessaire car au service du monde de l’argent qu’ils représentent avec tant d’application. Il s’agissait d’un bref compte-rendu sur la dernière Berlinale où certains s’en sont pris de façon très originale à Trump.
Cette incessante propagande médiatisée contre lui, contre les partis politiques patriotes (dits « populistes » par une quantité innombrable de crétins), m’est de plus en plus insupportable.
Propagande dis-je ?… Bien entendu et en plus, cette démarche est complètement revendiquée comme on peut le lire dans Le Parisien du 13 février 2017 (cf. l’article « À la Berlinale, les critiques contre Donald Trump fusent ») : « La 67e Berlinale, premier grand festival de cinéma de l’année à la dimension politique assumée, a été le théâtre depuis son ouverture jeudi de nombreuses critiques des participants à l’égard du président américain Donald Trump. »
Cette propagande politique est l’essence même de ce festival puisqu’il fut créé par les « Alliés occidentaux, et plus précisément, à l’initiative d’Oscar Martay » afin « d’être « une vitrine du monde libre » et apporter une « touche de glamour » dans un Berlin-Ouest gris mais enfin délivré de l’influence soviétique », « Nul doute, la Berlinale est devenue le lieu de fortes revendications politiques et sociales. » nous apprend France Culture dans son article « La Berlinale, festival porteur d’Histoire » du 9 février 2017.
Ainsi, nous assistons à un défilé de célébrités se croyant chargées d’une mission quasi divine alors qu’elles ne sont que les misérables mais glamours porte-étendards d’une vaste entreprise d’anesthésiants cinématographiques administrés à une population docile car très satisfaite d’être repue de calmants visuels, d’individualisme et de droits, fondamentaux primordiaux au système consumériste décadent.
Ces célébrités jouent parfaitement leur rôle d’écran de fumée quant aux bouleversements mondiaux qui détruisent petit à petit et de façon insidieuse nos traditions, nos peuples porteurs d’une civilisation occidentale ancestrale.
Philippe Muray l’explique clairement dans « Exorcismes spirituels » (Éd. Les Belles Lettres, Paris, 2002, p. 243) : « L’onirisme des bonnes causes et des grands sentiments est d’autant plus souhaitable qu’il aide à ne jamais rien savoir de l’univers concret tandis que celui-ci se transforme. Et plus il se transforme, moins cet univers a envie d’être interrogé. ». Et de citer Élisabeth Lévy (p. 249) à propos des moyens artistiques utilisés pour ces manoeuvres de propagande toujours axée sur le pathos : « Cette idéologie dominante qui se pense libérée de toutes les idéologies, écrit-elle, ne peut triompher qu’au prix d’une abdication fondamentale qui conduit à faire prévaloir l’émotion sur la compréhension, la morale sur l’analyse, la vibration sur la théorie. ».
Voilà ce qu’est réellement ce type de festival : une vitrine du pathos, de l’émotion, de la vibration et d’une morale non pas basée sur l’analyse et le bon sens mais élaborée au service du système mondialiste de l’Argent.
Un tel système est très bien représentée par Maggie Gyllenhaal, membre du jury, qui se drape du costume de « résistante », elle qui ne vit pas dans un pays totalitaire, elle qui est pleinement intégrée dans un showbizz à mille lieues des problèmes concrets des peuples (fille du réalisateur Stephen Gyllenhaal, issu de la bourgeoisie suédoise, et de la scénariste Naomi Foner Gyllenhaal, mariée en secondes noces. Elle est la sœur de l’acteur Jake Gyllenhaal, coureur de jupons invétéré, côté moral, on repassera. Ils sont donc l’exemple même du népotisme, de la transmission de privilèges de génération en génération ce qui n’est pas très « gauchiste »). Elle ne sait rien de la résistance, du risque d’être poursuivi ou condamné pour des écrits ou de propos car lorsque l’on a l’argent et la notoriété (donc les soutiens juridiques et politiques), on peut rouler des mécaniques et faire la maline en usant de son privilège d’être diffusée à grande échelle. Elle n’hésite pas à dire qu’« Être Américain dans la période actuelle dans un festival international c’est un moment incroyable. Je veux que l’on sache qu’il y a de nombreuses personnes dans mon pays qui sont prêtes à résister ». Sérieusement…
Pour une propagande plus efficace, il ne faut pas hésiter à affirmer des contre-vérités sans arguments, sans sources vérifiées, juste en s’appuyant sur son nom, sa réputation surfaite comme le pitoyable et ringard Richard Gere qui ne s’étouffe même pas en balançant des énormités comme : « Dès que Donald Trump est devenu candidat à la présidence, le nombre de crimes motivés par la haine a considérablement augmenté, et je crois que vous constatez le même phénomène en Europe » où nombre de pays sont confrontés à un essor de partis populistes ou d’extrême droite. […] Malheureusement, nous avons des dirigeants qui attisent la peur et cette peur nous fait faire des choses terribles », a souligné l’acteur, connu pour être un défenseur des droits de l’homme. » ou comme le journaliste d’investigation américain Eric Schlosser (son père, Herbert Schlosser, était un avocat à Wall Street qui est devenu président de NBC en 1974. Schlosser est marié à Shauna Redford, fille de Robert Redford.Rien que ça !… là aussi, les rois du népotisme, des réseaux d’influences,… qui jouent les moralisateurs distribuant les bons et les mauvais points !) qui diffame sans preuve et sans sourciller : « mon président actuel (Donald Trump) ne serait pas admis au sein de l’US Air Force où à un quelconque endroit près d’une arme nucléaire. Et pourtant, en ce moment, il est la seule personne autorisée (aux Etats-Unis) à donner l’ordre d’utiliser une arme nucléaire ».
Ce stupide Richar Gere devrait savoir que depuis des décennies les violences avec armes sont le lot hebdomadaire des forces des polices dans le monde entier et en particulier aux États-Unis où il n’a pas fallu attendre Trump pour atteindre des statistiques effrayantes. Ce demeuré droit-de-l’hommiste (donc un mec forcément bien !) devrait savoir que le nombre de tués blancs par des noirs est plus élevé que celui des tués noirs par des blancs
(sans parler du nombre bien plus élevé de victimes de race blanche des tirs de policiers, 574 blancs pour 266 noirs en 2016 d’après The Counted de The Guardian), et qu’en Europe, les violences les plus fréquentes et les plus nombreuses sont celles de l’extrême-gauche (d’après Europol) !
Tous ces personnages du monde du spectacle ne sont que des outils très performants, non détectables et anesthésiants d’un système global protéiforme qui agit de façon douce, sous-jacente, à petites doses quotidiennes grâce à la magie du cinéma, de la télévision et de tous les moyens de communication dont il dispose pour imposer son message, sa pensée unique. C’est ce qui rend déloyal et complexe le combat contre ce pachyderme moderne dévastateur.
Claude Hagège l’exprime parfaitement dans « Contre la pensée unique » (Éd. Odile Jacob, 2012, p.238) : « La résistance, aujourd’hui, est d’autant plus urgente et indispensable que ce à quoi elle doit s’opposer n’est pas un front politique ou militaire explicite, mais une action que ses formes pacifiques rendent encore plus redoutable. En effet, la pensée unique est loin d’être immédiatement perçue comme telle par la masse d’une population qui, en France, notamment, est encore aveugle. »
Nous nous devons donc de continuer le combat en dénonçant régulièrement toute cette mascarade, en étant continuellement à l’affût même de ce qui peut paraître de l’ordre du détail, et en restant droits dans nos bottes que nous leur mettrons, je l’espère, bien vite et violemment dans le derrière.
« Magic moments, when two hearts are carin’
Magic moments, mem’ries we’ve been sharing
I’ll never forget the moment we kissed the night of the hay ride
The way that we hugged to try to keep warm while takin’ a sleigh ride… »
Perry Como – Magic Moments – 1957
La guerre est engagée par chaque groupe dirigeant contre ses propres sujets.
Gardons quelques idées au bout de nos pixels...
A l'abordage et pas de quartier
textes, grogs et patates chaudes...
Je suis venu apporter un feu sur la terre, et comme je voudrais qu'il soit déjà allumé ! Luc 12, 49
les reblogs de Corto 74
Puisqu'on vous répète, depuis trente ans, que c'est l'extrême-droite
Luttons pour la vérité intellectuelle
Dat virtus quod forma negat
Manuel du bonheur
«La pire menace qui puisse peser sur une démocratie, ce n'est pas la violence des armes, toujours ouverte et tangible, c'est la violence sournoise, insinuante, du mensonge ; c'est la manipulation des esprits, d'autant plus efficace et redoutable qu'elle revêt les oripeaux du moralisme.» ( Philippe Seguin ma référence )
Lectures, pensées et essais
Tintin au pays des soviets (a war blog from France)
(Réacosphère hérétique - @kernisian)
Je crois au pouvoir de l’information, qui rend le monde meilleur. [Veritas liberabit nos] ☞ The world is yours ! ☜
Nouveau blog de Nouratin
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"Choisis la pilule bleue et tout s’arrête, après tu pourras faire de beaux rêves et penser ce que tu veux. Choisis la pilule rouge : tu restes au Pays des Merveilles et on descend avec le lapin blanc au fond du gouffre."
Je proteste contre le monde moderne, mais j'adore ses femmes minces. (Nimier)
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Ecologie, permanence et libertés
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Les citoyens se contentent de ronger l’os sans moelle qu’on leur a jeté, l’os du suffrage universel. Et c’est pour des boniments, des discussions électorales qu’ils remuent encore la mâchoire – mâchoire qui ne sait plus mordre.
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