
Étiquette : télévision
Manipulations fantômes


Guignols complotistes !
Patoch est parti mais le coca reste, l’abrutissement aussi…
Progrès technique, pas social…
Modèle familial ripoublikain
Mazerolle rime avec asshole !
(vidéo twitter trouvée sur fdesouche, en date du 08/12/2018)
Oui, je sais, le titre est loin d’être fin, distingué mais au bout d’un moment…
Olivier Mazerolle, avec son air de faux-jeton et de fayot de première catégorie (dans son édito RTL du 7 décembre 2018, il parlait de Macron en président incarnant la fonction et faisant la leçon aux horribles Poutine et Trump !!! vous rendez-vous compte ?!!! un messie quoi…), qui devrait franchement réfléchir (si cela est encore possible à ce déchet très usagé..) à intégrer un EHPAD pour profiter de sa fin de vie, n’a pas trouvé rien de mieux que de balancer à la télévision que les gilets jaunes avaient pour stratégie de provoquer les forces de l’ordre pour se faire volontairement matraquer pour ensuite passer pour des victimes !!!…
« on a vu quelqu’un tout à l’heure qui a jeté un petit projectile [charge à ce moment], vooooilàààà, hé bien ils ont obtenu ce qu’ils voulaient, c’est « les policiers se sont jetés sur nous à genoux, voilà, et inoffensifs, voilà. Ça c’est de la… c’est de la manipulation politique, voilà » (direct de LCI du 8 décembre 2018
Ce sont finalement, pour cette prostituée journalistique au service de la Gueuse, les gilets-jaunes qui sont des manipulateurs politiques !!! un comble….
« Ils ont obtenu ce qu’ils voulaient« … une réelle preuve de la déconnexion totale de cette caste de privilégiés, véritables clébards du système ripoublikain corrompu et mortifère pour notre France !
Sans parler de son acolyte avec sa belle tête de vainqueur de dîner de cons… Jean-Baptiste Giraud, passé par Radio France et BFM (excellentes écoles du savoir-faire en terme de propagande journalistique et idéologique) qui nous explique que « puisque l’on ne retiendra que l’image d’hommes à genoux matraqués… forcément… » en écho à l’analyse stupide de papi Mazerolle.
Comment peut-on encore laisser s’exprimer des séniles pareils au travers d’un merdia à grande audience ?.. Comment peut-on débiter des énormités aussi imbéciles à heure de grande écoute ?!!!…
Pour « Mazerolle l’asshole », cette andouille de niveau exceptionnel et ce chroniqueur de bas étage, le jet d’un papier (à la 2:03 jusqu’à la 2:05 de l’extrait aux pieds des CRS est un lancer de projectile (sûrement type pavé de rue ou cocktail molotov…), papier que l’on distingue très bien en bas à gauche de l’image avant qu’ait lieu la charge des cerbères de la Ripoublik.
De la part d’un incompétent de l’information comme lui (il avait été viré démissionné de France 2 pour une fausse information sur le futur politique d’Alain Juppé, cf. l’édito de Jean-Claude Souléry de La Dépêche du 12 février 2004) , un tel jugement démontre bien le niveau du journalisme français en général et de la morgue de ces élites parisiennes, des ces « journalistes » cul-et-chemise avec des politiques dont ils dépendent quant aux divers avantages qu’ils peuvent en obtenir.
Moi je dirais, en écoutant Mazerolle, que… « ils ont obtenu ce qu’ils voulaient (les journaleux de LCI)… voilà… ça c’est de la… de la manipulation médiatique ! »
Complicités 2.0
Une nouvelle campagne des merdias du courant dominant a démarré depuis quelques mois, depuis la course à l’élection présidentielle américaine 2016 pour être plus exact; campagne qui dénonce les « fausses informations » (fake news) distillées sur le net selon des critères… du courant dominant !
Pauline Mille, dans un article intéressant sur Réinformation.TV du 7 février 2017, analyse les alliances entre des titres de la presse écrite traditionnelle et des grands groupes de la toile (réseaux sociaux, moteurs de recherche,…) afin de contrecarrer l’expansion des sites et blogues d’informations dissidents.
Du copinage au service d’une pensée unique, globalisée et mondialiste, façonnage des peuples pour un nouvel ordre mondial.
« Menacés par la concurrence sur internet, les médias dominants s’allient avec Facebook et Google pour censurer les « fake news » : sous couleur de lutter contre la désinformation, il s’agit d’imposer leur vérité au monde, en faisant jouer au public le rôle de policier.
Qu’est-ce que la vérité ? Cela fait longtemps que Ponce Pilate a posé la question, et les médias dominants y donnent aujourd’hui leur réponse : la vérité est ce qui leur permet de subsister et de garder leur pouvoir d’influence. Ils souffrent depuis plusieurs années d’une défiance croissante du public, les gens ne croient plus à ce que disent la radio et la télévision, grâce au retour de l’esprit critique nourri d’éléments d’information alternatifs trouvés sur internet ? Qu’à cela ne tienne, les médias dominants ont trouvé la parade : seuls (Le Monde, décodex, Slate, this is fake), ou avec l’aide des réseaux sociaux (huit grands médias français s’associent à Facebook) ou de Google, ils discréditeront ceux qui les gênent en les accusant de répandre des « fake news », de la désinformation. Cette campagne ne vise pas à réduire le nombre de fausses nouvelles (la presse n’en fut jamais avare), mais à persuader le public que les sites alternatifs sur Internet en regorgent. »
la suite est ici…
La berlinale, ça trump énormément…
Au détour de ma lecture en diagonale des dépêches de l’AFP, je suis tombé sur l’une d’entre elles qui m’a conforté dans mon idée d’un monde « artistique » à la dérive, englué dans une posture politique de plus en plus intenable mais nécessaire car au service du monde de l’argent qu’ils représentent avec tant d’application. Il s’agissait d’un bref compte-rendu sur la dernière Berlinale où certains s’en sont pris de façon très originale à Trump.
Cette incessante propagande médiatisée contre lui, contre les partis politiques patriotes (dits « populistes » par une quantité innombrable de crétins), m’est de plus en plus insupportable.
Propagande dis-je ?… Bien entendu et en plus, cette démarche est complètement revendiquée comme on peut le lire dans Le Parisien du 13 février 2017 (cf. l’article « À la Berlinale, les critiques contre Donald Trump fusent ») : « La 67e Berlinale, premier grand festival de cinéma de l’année à la dimension politique assumée, a été le théâtre depuis son ouverture jeudi de nombreuses critiques des participants à l’égard du président américain Donald Trump. »
Cette propagande politique est l’essence même de ce festival puisqu’il fut créé par les « Alliés occidentaux, et plus précisément, à l’initiative d’Oscar Martay » afin « d’être « une vitrine du monde libre » et apporter une « touche de glamour » dans un Berlin-Ouest gris mais enfin délivré de l’influence soviétique », « Nul doute, la Berlinale est devenue le lieu de fortes revendications politiques et sociales. » nous apprend France Culture dans son article « La Berlinale, festival porteur d’Histoire » du 9 février 2017.
Ainsi, nous assistons à un défilé de célébrités se croyant chargées d’une mission quasi divine alors qu’elles ne sont que les misérables mais glamours porte-étendards d’une vaste entreprise d’anesthésiants cinématographiques administrés à une population docile car très satisfaite d’être repue de calmants visuels, d’individualisme et de droits, fondamentaux primordiaux au système consumériste décadent.
Ces célébrités jouent parfaitement leur rôle d’écran de fumée quant aux bouleversements mondiaux qui détruisent petit à petit et de façon insidieuse nos traditions, nos peuples porteurs d’une civilisation occidentale ancestrale.
Philippe Muray l’explique clairement dans « Exorcismes spirituels » (Éd. Les Belles Lettres, Paris, 2002, p. 243) : « L’onirisme des bonnes causes et des grands sentiments est d’autant plus souhaitable qu’il aide à ne jamais rien savoir de l’univers concret tandis que celui-ci se transforme. Et plus il se transforme, moins cet univers a envie d’être interrogé. ». Et de citer Élisabeth Lévy (p. 249) à propos des moyens artistiques utilisés pour ces manoeuvres de propagande toujours axée sur le pathos : « Cette idéologie dominante qui se pense libérée de toutes les idéologies, écrit-elle, ne peut triompher qu’au prix d’une abdication fondamentale qui conduit à faire prévaloir l’émotion sur la compréhension, la morale sur l’analyse, la vibration sur la théorie. ».
Voilà ce qu’est réellement ce type de festival : une vitrine du pathos, de l’émotion, de la vibration et d’une morale non pas basée sur l’analyse et le bon sens mais élaborée au service du système mondialiste de l’Argent.
Un tel système est très bien représentée par Maggie Gyllenhaal, membre du jury, qui se drape du costume de « résistante », elle qui ne vit pas dans un pays totalitaire, elle qui est pleinement intégrée dans un showbizz à mille lieues des problèmes concrets des peuples (fille du réalisateur Stephen Gyllenhaal, issu de la bourgeoisie suédoise, et de la scénariste Naomi Foner Gyllenhaal, mariée en secondes noces. Elle est la sœur de l’acteur Jake Gyllenhaal, coureur de jupons invétéré, côté moral, on repassera. Ils sont donc l’exemple même du népotisme, de la transmission de privilèges de génération en génération ce qui n’est pas très « gauchiste »). Elle ne sait rien de la résistance, du risque d’être poursuivi ou condamné pour des écrits ou de propos car lorsque l’on a l’argent et la notoriété (donc les soutiens juridiques et politiques), on peut rouler des mécaniques et faire la maline en usant de son privilège d’être diffusée à grande échelle. Elle n’hésite pas à dire qu’« Être Américain dans la période actuelle dans un festival international c’est un moment incroyable. Je veux que l’on sache qu’il y a de nombreuses personnes dans mon pays qui sont prêtes à résister ». Sérieusement…
Pour une propagande plus efficace, il ne faut pas hésiter à affirmer des contre-vérités sans arguments, sans sources vérifiées, juste en s’appuyant sur son nom, sa réputation surfaite comme le pitoyable et ringard Richard Gere qui ne s’étouffe même pas en balançant des énormités comme : « Dès que Donald Trump est devenu candidat à la présidence, le nombre de crimes motivés par la haine a considérablement augmenté, et je crois que vous constatez le même phénomène en Europe » où nombre de pays sont confrontés à un essor de partis populistes ou d’extrême droite. […] Malheureusement, nous avons des dirigeants qui attisent la peur et cette peur nous fait faire des choses terribles », a souligné l’acteur, connu pour être un défenseur des droits de l’homme. » ou comme le journaliste d’investigation américain Eric Schlosser (son père, Herbert Schlosser, était un avocat à Wall Street qui est devenu président de NBC en 1974. Schlosser est marié à Shauna Redford, fille de Robert Redford.Rien que ça !… là aussi, les rois du népotisme, des réseaux d’influences,… qui jouent les moralisateurs distribuant les bons et les mauvais points !) qui diffame sans preuve et sans sourciller : « mon président actuel (Donald Trump) ne serait pas admis au sein de l’US Air Force où à un quelconque endroit près d’une arme nucléaire. Et pourtant, en ce moment, il est la seule personne autorisée (aux Etats-Unis) à donner l’ordre d’utiliser une arme nucléaire ».
Ce stupide Richar Gere devrait savoir que depuis des décennies les violences avec armes sont le lot hebdomadaire des forces des polices dans le monde entier et en particulier aux États-Unis où il n’a pas fallu attendre Trump pour atteindre des statistiques effrayantes. Ce demeuré droit-de-l’hommiste (donc un mec forcément bien !) devrait savoir que le nombre de tués blancs par des noirs est plus élevé que celui des tués noirs par des blancs
(sans parler du nombre bien plus élevé de victimes de race blanche des tirs de policiers, 574 blancs pour 266 noirs en 2016 d’après The Counted de The Guardian), et qu’en Europe, les violences les plus fréquentes et les plus nombreuses sont celles de l’extrême-gauche (d’après Europol) !
Tous ces personnages du monde du spectacle ne sont que des outils très performants, non détectables et anesthésiants d’un système global protéiforme qui agit de façon douce, sous-jacente, à petites doses quotidiennes grâce à la magie du cinéma, de la télévision et de tous les moyens de communication dont il dispose pour imposer son message, sa pensée unique. C’est ce qui rend déloyal et complexe le combat contre ce pachyderme moderne dévastateur.
Claude Hagège l’exprime parfaitement dans « Contre la pensée unique » (Éd. Odile Jacob, 2012, p.238) : « La résistance, aujourd’hui, est d’autant plus urgente et indispensable que ce à quoi elle doit s’opposer n’est pas un front politique ou militaire explicite, mais une action que ses formes pacifiques rendent encore plus redoutable. En effet, la pensée unique est loin d’être immédiatement perçue comme telle par la masse d’une population qui, en France, notamment, est encore aveugle. »
Nous nous devons donc de continuer le combat en dénonçant régulièrement toute cette mascarade, en étant continuellement à l’affût même de ce qui peut paraître de l’ordre du détail, et en restant droits dans nos bottes que nous leur mettrons, je l’espère, bien vite et violemment dans le derrière.