La balance est bousillée depuis un bail !

Rien de nouveau sous le soleil… dès qu’un arriviste se retrouve aux responsabilités, il se croit tout permis, encore plus dans une Ripoublik bananière.

Voici un exemple, parmi tant d’autres, trouvé sur Contre-info.com et datant d’aujourd’hui, le 20 mars 2020 qui illustre bien le « deux poids, deux mesures » des « gauchistes de l’égalité sans limite » alors qu’il n’y a aucune urgence absolue et vitale.

Cela me rappelle une phrase de Nicolás Gómez Dávila qui explique dans Carnets d’un vaincu (Éd. L’Arche, Paris, 2009, p. 70) : « Il suffit au dirigeant actuel de se proclamer de gauche pour que tout lui soit permis et que tout lui soit pardonné« .

La balance de l’équité, de la justice est bousillée depuis un bail dans ce pays et surtout, elle n’est pas réparée.

Faudrait pas déconner non plus !

Le député Laetitia Avia, censeur d’internet, veut forcer son attachée parlementaire à enfreindre le confinement

« Laetitia Avia est ce député africain chargé d’organiser la censure complète d’internet pour le compte du Régime. Elle s’était auparavant fait connaître par un comportement frisant le cannibalisme.

« Restez chez vous et recourez au télé-travail ». La consigne du gouvernement est plutôt claire. »

« Or, selon des informations de Libération mercredi, une élue ne donnerait pas vraiment l’exemple. Il s’agit de Laetitia Avia, députée LREM de Paris. Cette dernière insisterait pour que son attachée parlementaire, pourtant confinée dans sa maison secondaire dans le Gard, revienne dans la capitale.

«Cette collègue est en vacances depuis le 7 mars dans le Gard et sa députée veut depuis lundi soir (soit après l’allocution d’Emmanuel Macron, ndlr) qu’elle rentre à Paris. Ce qu’elle a clairement refusé pour faire prévaloir sa santé. Cela n’a aucun sens», a déploré Laurence de Saint-Sernin, la secrétaire générale du syndicat Solidaires de l’Assemblée nationale, alertée mardi. Détail notable : l’attachée parlementaire est atteinte d’une maladie auto-immune, ce qui l’expose davantage au risque de contamination du coronavirus. Pour la secrétaire générale du syndicat Solidaires, Laetitia Avia «met en danger sa collaboratrice, prend le risque de propager l’épidémie et ignore les règles liées au confinement de la population». Selon Libération, la députée LREM aurait même proposé de demander au ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, de mettre des moyens en œuvre pour assurer le retour de son assistante. […] » (source Le Figaro)

Ce « deux poids, deux mesures » est la règle depuis toujours mais ces dernières décennies, il s’agit le plus souvent d’une balance ne penchant pas pour les Français de souche, les natifs européens enracinés de longue date. Ainsi, le 17 mars 2020, Contre.info balançait aussi cette information :

« Fabuleux message d’une préfecture posté sur Twitter (à 23h28 lundi!). D’autres préfectures ont fait de même.
Voici bien les priorités du Régime.
La « préférence étrangère » parfaitement illustrée.

Les Français discriminés négativement, chez eux. »

« Comme c’est la guerre (comme s’en ait gargarisé le minot puisqu’il n’est pas foutu de déclencher la vraie contre les envahisseurs, les destructeurs de notre. monde), les services publics sont interdits aux Français, mais pas aux clandestins».

 

Corde sensible

Je suis tombé par hasard sur un reportage évoquant une expérience sociologique qui s’est déroulée à l’Université du Québec à Montréal (UQAM) concernant la liberté d’expression et la liberté académique qui seraient en danger selon certains.

Aux États-Unis et en Angleterre, de nombreux cas de conférences annulées, même de professeurs réprimandés, ont été constatés après que les étudiants aient trouvé leurs propos offensants. De tels évènements sont aussi survenus en France comme à Sciences Po en novembre 2016 avec l’annulation d’une conférence du Front National par des étudiants qui ont empêché la venue de Florian Philippot (cf. article de Marion Pignot du 23 novembre 2016 dans 20 minutes).

On retrouve toujours les mêmes allumés du bocal des communautés LGBT, féministes,…  (Clark Pignedoli, Stéphanie Gingras-Dubé : rien qu’à voir leur dégaine, on comprend vite leur engagement pour ce genre de collectif) qui assument complément l’aspect totalitaire de leur démarche sous couvert de sécuriser des espaces publics pour des minorités soi-disant oppressées, stigmatisées, injuriées.

La partie du reportage à partir de 3:20 à propos du pouvoir du collectif AFESH-UQAM sur les décisions de ce qui est bon ou pas pour les 42800 étudiants est édifiante (lors d’une AG, seulement 50 personnes de ce collectif sur ses 5000 membres étaient présents et ont adopté des mandats pour la totalité des étudiants !).

Les interventions du professeur que l’on découvre en début de reportage sont vraiment intéressantes notamment lorsqu’il évoque « une espèce de posture de supériorité morale qu’on se donne à peu de frais tient lieu d’argumentaire ».

Mais quelle différence entre cette posture des minorités et celle que les mouvements dits réactionnaires ont eux aussi vis-à-vis des idées progressistes ?

Pour ma part, elle est limpide : les minorités imposent leurs points de vues qui ne sont que des dogmes récents du XIX e et du XXe siècles alors que ceux des réactionnaires sont issus d’une évolution des idées, des moeurs, des pratiques sociales,… ayant fait leurs preuves depuis des siècles. Il me semble que notre argumentaire est étayé par le bon sens et par la longue histoire humaine.

À propos de diversité d’opinions tant vantée par tout gauchiste qui se respecte et tant valorisée par les enseignants, les incohérences soulevées dans cette vidéo me font penser à une citation de Thomas Sowell (parfaitement transposable en France) : « La prochaine fois qu’un universitaire vous dit à quel point la « diversité » est importante, demandez-lui combien il a de Républicains dans son département de sociologie. ».

Tellement vrai ! Et on se demande comment peut-on encore trouver des gugusses pouvant suivre ce genre d’universitaire ou d’intellectuel, et adhérer à leurs discours ?!!…

La loi au service de la pourriture

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La situation à Calais est lamentable, insupportable comme dans de trop nombreuses autres régions françaises qui, finalement, deviennent plutôt des zones tampons, véritables territoires oubliés, sans réelle appartenance à une patrie.

Comment de tels flots humains en situation irrégulière, hors-la-loi, peuvent-ils circuler ou rester sur zone ?

Comment peut-on tolérer et participer à l’africanisation et la balkanisation de nos territoires ?

Quel raisonnement tordu, ubuesque permet d’interdire une manifestation de patriotes, puis de la réprimer et d’arrêter certains participants, et pas des moindres avec l’arrestation surprenante (et brutale n’en déplaise à cet imbécile et manipulateur de Nicolas Domenach, cf. LNE du 8 février 2016) du général Piquemal, et à côté de cela laisser faire un défilé pro-migrants de gauchistes et de clandestins (cf. le JDD du 23 janvier 2016) ?!!…

Il me revient une citation qui illustre bien que le pouvoir politique et législatif, même en démocratie ou en république, est un instrument de domination au service de quelques-uns. Le pouvoir qu’ils possèdent leur permet de maintenir un cadre, un système corrompu qu’ils vantent avec grande malice, et avec l’aide de tous les moyens de communication modernes dont ils disposent, pour faire croire que les lois votées servent la cause de ceux qu’elles oppriment.

Et je repense forcément au marquis de Beccaria, Cesare Bonesana, qui écrivit dans Des délits et des peines : « Les lois, qui sont ou devraient être des pactes conclus entre les hommes libres, n’ont été le plus souvent que l’instrument des passions d’un petit nombre ».

Ainsi, les merdias mainstream, les fonctionnaires au service de « puissants » n’ayant rien à voir avec les vrais aristocrates, les vrais chefs de clans ou de lignées, et les politiques culpabilisent la population à grand renfort d’émissions débordant de chroniqueurs engagés, de spécialistes et d’experts vendus au système dans l’espoir d’obtenir les faveurs de celui-ci. Ils les culpabilisent en expliquant mais le plus souvent en affirmant que telle démarche est nuisible à la Raie publique, qu’il est dangereux et impensable de s’opposer aux lois, qu’il faut obéir tête baissée et accepter les bouleversements civilisationnels qui sont dits et vendus inévitables et bons pour le peuple.

Fadaises, foutaises !

Nous n’avons de cesse de constater que le bon sens est trop souvent ignoré, bafoué et que les véritables aspirations du peuple de France sont balayées d’un revers de main méprisant accompagné systématiquement des qualificatifs de la novlangue démocratico-libérale-libertaire que sont « islamophobe », « xénophobe », « raciste », « ignorant », « antisémite », « facho », « réactionnaire obtus » (pléonasme pour les gauchistes),…

Oui, la loi n’est pas toujours juste et qu’il faut se faire un devoir de s’y opposer si elle est contraire à la morale et si elle ne défend pas l’intérêt général d’un peuple, d’une nation comme c’est le cas pour le pseudo-mariage des invertis, pour l’immigration de remplacement, pour l’abandon progressif de notre souveraineté au profit du N.O.M..

Il faut en fait faire la différence entre la légitimité se référant à une justice de bon sens et naturelle, et la légalité qui n’exprime au final que des intérêts particuliers de quelques groupes mis au pouvoir selon les humeurs populaires du moment.

Chamfort disait d’ailleurs « qu’il est plus facile de légaliser certaines choses que de les légitimer » ainsi on rend légal une interdiction de manifester pour Pegida à Calais pour ne pas avoir à se justifier du laxisme actuel face à une immigration illégale mais tolérée, pour ne pas faire face à ses responsabilités non prises, pour ne pas avoir à légitimer l’impossible, l’aberrant, c’est-à-dire la stockage et l’acceptation de populations étrangères clandestines sur notre sol.

Il y a comme un air de soumission à l’invasion actuelle des « gens du Sud »…

Il me semble reconnaître la mélodie de Raspail et de Houellebecq.

Pitoyable démocratie

Quand un élu gauchiste, édile de Montpellier, à l’allure de poivrot de comptoir d’un café d’un bled du fin fond de l’Hérault (regard vicelard, sale gel (à sonSaurelâge…) dans les cheveux, léger prognathisme (signe d’une légère arriération mentale ?.. pour un chirurgien-dentiste, c’est tout de même un comble !)) fait le malin en profitant de son statut pour rouler des mécaniques en faisant le guignol et en tentant l’originalité simpliste d’un humour des plus nuls et au ras des pâquerettes face à un autre gauchiste naïf communiste Hervé Martin défendant une idéologie imbécile et absurde, cela donne une bien piètre image de notre politique.

Image d’un niveau aussi lamentable que celui de l’épisode des gants de boxe du non-regretté Paul Amar).

Ce coup préparé à l’avance démontre la correction de l’affreux, sa spontanéité, sa droiture… sans évoquer ses arguments minables pour expliquer ses interruptions successives et insupportables de l’intervention du communiste.

Notons que l’élu brocardé aurait pu brandir un casquette du national-socialisme si l’idiot socialiste avait respecté l’équité en ne prenant pas le communiste au dépourvu…

Quel effet M. Saurel !!!… J’espère ne jamais vous entendre parler des discussions de comptoir pour décrédibiliser les propos d’adversaires politiques…

Voilà un bel exemple du niveau de la pitoyable démocratie française au cours du conseil municipal de Montpellier du 23 juillet 2015… (cf. vidéo du conseil municipal à 3:24:40)

 

 

Saurel vs Martin casquette

Rappelons tout de même que ce médiocre édile doit son élection à la trahison de dernière minute envers Jean-Pierre Moure de l’incompétente Hélène Mandroux, « connue pour ses retards (elle s’est même fait insulter un 31 décembre lors d’une cérémonie de voeux en plein air par des Montpelliérains excédés), Hélène Mandroux néglige les visites sur le terrain, décale sans cesse ses rendez-vous, improvise des discours sans talent, change souvent de collaborateurs (elle a épuisé cinq directeurs de cabinet…). Au congrès de Toulouse du PS, elle a misé sur le mauvais cheval et, aux dernières législatives, n’a soutenu aucun candidat. En échange d’une vague mission sur la santé confiée par Jean-Marc Ayrault, elle doit désormais soutenir Jean-Pierre Moure, le dauphin de celui qui avait juré sa perte. » (cf. Le Point du 13 décembre 2013 « Le fiasco Mandroux »), et à la trahison de nombreux militants, soutenant Moure au départ, d’après un cacique socialiste (cf. Metronews du 31 mars 2014 « La dissidence victorieuse de Philippe Saurel à Montpellier »).

Se satisfaire de telles manoeuvres confirme la bassesse dont Saurel fait preuve au conseil municipal du 23 juillet 2015 comme  nous pouvons le constater dans la vidéo (et comme en témoigne sa stratégie douteuse avec la polémique liée à ses tracts électoraux… cf. Midi Libre du 29 janvier 2015), sans parler de son impolitesse en coupant la parole  tort et à travers à son interlocuteur. Ils sont formidables ces élus socialistes !

Qu’il y ait deux, trois communismes ou socialismes, ce n’est pas le propos, et, surtout, dans les deux cas, c’est une catastrophe.

Vive la Raie publique ! Vive la Fronze…

Squat estival (suite)

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Il fait beau, c’est l’été, les oiseaux gazouillent dans les prés, les enfants profitent pleinement de cette période estivale pour faire quelques pages de cahier de vacances, pour faire quelques parties de jeu de société avec l’horrible tenancier barbu de ce blog ou pour réaliser quelques « oeuvres » picturales qui viendront agrémenter la décoration d’un bureau parental à peine surchargé.

Mais une fois encore, la colère monte, mon sang ne fait qu’un tour à la lecture d’un nouvel article sur le squat de Montchauvet que j’évoquais ici.

Close up of angry man with steam coming out from his ears

Dans Ouest-France du 20 juillet 2015, Florent Guérin amène quelques précisions sur l’affaire ubuesque que subisse la famille Prudhomme (il faut le faire tout de même… avec un tel patronyme, on n’ose imaginer qu’ils puissent être ennuyés !!…).

« On voudrait savoir dans quel état est la maison mais si on entre, on risque d’être accusés de violation de domicile. C’est un comble… », pestent-ils. Car informés par la gendarmerie du Bény-Bocage de l’occupation de leur résidence secondaire, le 26 juin, les propriétaires ont porté plainte dans les 48 heures, le 28 juin.

Une courte période durant laquelle n’ont pu être expulsés les squatteurs. Et passé 48 heures de squat, les forces de l’ordre ne sont plus habilitées à intervenir directement.

Déjà, je serais curieux de connaître les raisons qui sont à l’origine de l’établissement d’un tel texte de loi et d’un tel délai !

Un squat reste une occupation illégale d’un lieu que ce soit avant ou après 48h !!!

Les forces de l’ordre devraient pouvoir, à n’importe quel moment, botter le fondement des crasseux protégés par des lois imbéciles.

Il parait incroyable que les rédacteurs de la loi originelle ait pu envisager un texte aussi tordu et qu’il ait fallu voter une nouvelle loi pour lever cette absurde délai (adoptée à l’unanimité par le Parlement, le 24 juin 2015, la loi n°2015-714 supprime le délai d’intervention de 48h après la découverte du squat par la police ou de la gendarmerie – cf. Le Parisien du 11 juin 2015 ).

Selon le voisinage, dans le hameau La Bruyère, à Montchauvet, l’occupation aurait même en réalité commencé début juin. Les squatteurs seraient entrés en forçant un volet, situé à l’arrière de la maison.

« Pour des soucis de santé, notre père ne peut plus prendre la voiture. Ça fait plus d’un an que nos parents ne sont pas venus ici », indique Georges Prudhomme. « Ils n’ont pas vraiment la force de s’occuper de tout ça, poursuit sa sœur Carine. Avec mon frère, on a donc pris le relais en lançant d’abord une pétition sur internet. »

Puis la famille n’a eu d’autre choix que de passer par la case justice. Elle a obtenu une ordonnance d’expulsion et fait appel à un huissier mais ce dernier doit trouver l’identité d’au moins un des occupants, puisqu’il ne peut pas y avoir d’assignation contre X. Si un nom est trouvé, une procédure en référé pourrait alors être engagée, pour aboutir à une expulsion assez rapide.

Là encore, quel esprit tortueux a pu indiquer une telle marche à suivre afin qu’une victime puisse se débarasser de baltringues squatteurs indésirables, des nuisibles ??!!!….

montage crasseux

« Trouver l’identité d’au moins un des occupants »… sérieusement ! C’est exactement ce genre de débilités qui décrédibilisent la notion de loi et le travail parlementaire qui en est à l’origine.

Et des textes de lois stupides, obscurs, inutiles, tordus sont légions !

Comment alors adhérer à la notion de « justice républicaine » et comment avoir de la considération  pour les pouvoirs législatifs et judiciaires devant autant d’iniquité ?

Mais le frère et la sœur sont sceptiques : « Après trois semaines d’enquête, nous n’avons toujours pas le droit d’entrer dans la maison et nous ne voyons pas d’avancée réelle. Pire, on entend pas mal de discours contradictoires. Nous n’avions jamais été confrontés à une situation aussi complexe et pénible que celle-là. »

« Dans notre malheur, on relativise en se disant que l’on n’est pas à la rue, que ce n’est qu’une maison secondaire », souligne Carine Chomarat-Prudhomme. Ce qui n’empêche pas de ressentir un pincement au cœur. « Nos parents ont acquis deux biens dans leur vie : leur domicile en région parisienne et cette maison, qu’ils ont commencé à rénover en 1968, témoigne Georges Prudhomme. On a passé notre enfance ici, on est attachés aux lieux. C’est dur d’admettre qu’aujourd’hui on ne peut rien faire, à part attendre. »

Voilà une famille qui s’est donnée les moyens d’avoir une maison secondaire, le domicile des grands-parents au départ, et qui se voit priver de l’utilisation de son bien par des inconnus qui s’arrogent un droit au logement qui est une escroquerie intellectuelle, tirée d’une idéologie pour les feignasses.

Finalement, ceux qui sont empêtrés dans des procédures insupportables, ceux qui subissent une violence psychologique et un stress imposés par une situation qu’ils n’ont jamais souhaitée, ceux qui supportent des circonstances pénibles et désagréables, ce ne sont pas les vils crasseux investissant les propriétés d’autrui mais comme d’habitude les banals citoyens qui se saignent aux quatre veines pour acquérir des biens.

Il y en a vraiment ras le bol de surprotéger ceux qui ne le méritent pas et de continuer d’abuser de la mansuétude voire de la naïveté des citoyens « vaches à lait » !!

Certains diront que c’est bien fait pour eux (les banals citoyens), que nous ne sommes que des moutons et qu’il n’en tient qu’à nous de réagir… attention, car le mouton est en train de devenir bélier et lorsque nous chargeront, lil sera bien trop tard pour un pan de la population.