Une nouvelle campagne des merdias du courant dominant a démarré depuis quelques mois, depuis la course à l’élection présidentielle américaine 2016 pour être plus exact; campagne qui dénonce les « fausses informations » (fake news) distillées sur le net selon des critères… du courant dominant !
Pauline Mille, dans un article intéressant sur Réinformation.TV du 7 février 2017, analyse les alliances entre des titres de la presse écrite traditionnelle et des grands groupes de la toile (réseaux sociaux, moteurs de recherche,…) afin de contrecarrer l’expansion des sites et blogues d’informations dissidents.
Du copinage au service d’une pensée unique, globalisée et mondialiste, façonnage des peuples pour un nouvel ordre mondial.
« Menacés par la concurrence sur internet, les médias dominants s’allient avec Facebook et Google pour censurer les « fake news » : sous couleur de lutter contre la désinformation, il s’agit d’imposer leur vérité au monde, en faisant jouer au public le rôle de policier.
Qu’est-ce que la vérité ? Cela fait longtemps que Ponce Pilate a posé la question, et les médias dominants y donnent aujourd’hui leur réponse : la vérité est ce qui leur permet de subsister et de garder leur pouvoir d’influence. Ils souffrent depuis plusieurs années d’une défiance croissante du public, les gens ne croient plus à ce que disent la radio et la télévision, grâce au retour de l’esprit critique nourri d’éléments d’information alternatifs trouvés sur internet ? Qu’à cela ne tienne, les médias dominants ont trouvé la parade : seuls (Le Monde, décodex, Slate, this is fake), ou avec l’aide des réseaux sociaux (huit grands médias français s’associent à Facebook) ou de Google, ils discréditeront ceux qui les gênent en les accusant de répandre des « fake news », de la désinformation. Cette campagne ne vise pas à réduire le nombre de fausses nouvelles (la presse n’en fut jamais avare), mais à persuader le public que les sites alternatifs sur Internet en regorgent. »
Cette justice se fait secouer par les dernières déclarations de Toutmou sur la « lâcheté » de la magistrature, propos révélés « dans le livre Un président ne devrait pas dire ça… des journalistes du Monde, Fabrice Lhomme et Gérard Davet » d’après Alain Acco dans un article chez Europe 1.fr du 13 octobre 2016.
Quel plaisir de constater dans quel embarras se trouve l’incompétent corrézien, d’autant plus savoureux que ses tracas ont été générés par les démarches de salariés du Monde, organe de presse socialiste, à sa botte normalement !
« L’entourage du président est tout de même effondré par les propos rapportés par les journalistes qui viennent ruiner, nous dit-on, cinq ans de pratique irréprochable. »… tout simplement jubilatoire !
En plus, « les explications du chef de l’Etat n’ont pas calmé la colère des deux hauts magistrats. Ils doivent prononcer jeudi, à la Cour de cassation, un discours en réponse à ces déclarations. » donc nous n’avons pas fini de nous régaler.
Finalement, on se rend compte qu’il bavasse trop et que cela lui retombe sur le nez. Ma foi, c’est bien fait.
Toutmou a donc eu « des propos qui ont mis en colère l’institution judiciaire » et « cette dernière, représentée par le premier président et le procureur général de la Cour de cassation, Bertrand Louvel et Jean-Claude Marin, a rencontré le président de la République mercredi soir à l’Elysée. Selon les informations d’Europe 1, François Hollande, lors de cet entretien qui a duré à peine plus d’un quart d’heure et s’est déroulé dans un climat glacial, n’a pas cherché à démentir ses propos. Le chef de l’Etat était accompagné de son ministre de la Justice, Jean-Jacques Urvoas, mais aucun conseiller n’était présent. »
Bon, le climat glacial, il a l’habitude. Quoiqu’il dise ou fasse, il obtient ce résultat, que ce soit avec ses ex-compagnes ou avec le président Poutine.
Par contre, et pour revenir au sujet de ce billet, cette anecdote présidentielle soulève tout de même les problèmes liées à la justice de ce pays.
Comme nous le révélait Valeurs Actuelles le 22 septembre 2015 dans l’article « En une semaine, trois personnes libérées par la justice en raison de défauts de procédure », le fonctionnement du pouvoir législatif paraît de plus en plus chaotique : « La justice française va décidément de plus en plus mal. En moins de deux semaines, trois personnes, qui avaient été condamnées en première instance, ont été libérées, alors qu’elles auraient dû rester incarcérées. » concernant trois affaires, dont deux gravissimes, pour lesquelles les prévenus ont été relâchés (« la veuve noire de l’Isère a été libérée par la cour d’appel de Grenoble, en raison d’un délai trop long entre le procès de première instance et celui d’appel. Manuela Gonzalez avait été condamnée à 30 ans de prison pour le meurtre de son dernier mari en 2008 » puis« Rajeswaran Paskaran a été libéré mercredi dernier, alors qu’il était condamné à vingt ans de prison pour avoir abattu un policier à la Courneuve en 2009 » et« Charles Pieri avait été condamné en 2013 à deux ans de prison pour détention d’armes par la cour d’appel de Bastia »).
Plus récemment, « Vingt-quatre personnes placées en centre de rétention administrative à Nîmes et menacées d’expulsion ont été libérées pour un vice de procédure. Leur transfert en urgence depuis le centre de Vincennes où un début de mutinerie avait éclaté, s’est fait en dehors du cadre légal. « Les procureurs et les juges des libertés et de la détention de Paris et Nîmes n’avaient été prévenus que le lendemain de ce transfert, ce qui est illégal », explique à Midi Libre l’avocat Wafae Ezzaïtab qui a plaidé et obtenu la relaxe pour vice de procédure. » nous apprenait 20 minutes dans un article de Jérôme Diesnis du 17 juillet 2016. Voici 24 gugusses lâchés dans la nature alors qu’ils ont été à l’origine d’une mutinerie, une action violente contre les dépositaires de l’autorité de l’état français (au passage, on notera que l’avocat ayant permis cette saloperie porte un nom qui pourrait être celui d’un des réfugiés…).
Ne parlons même pas des multiples affaires judiciaires aux verdicts plus que scandaleux avec des condamnations soient exagérées, soient trop laxistes pour des faits qui auraient mérités à l’inverse soit plus de clémence, soit plus de sévérité.
Et dernièrement, à propos d’une affaire que je connais bien ayant été tout près au moment des faits, L’indépendant du 15 septembre 2016 nous apprend, par un article de A.F. (avec Midi Libre) intitulé « Procés de la Féria de Béziers : quand le juge couche avec l’avocat », que dans une affaire concernant le meurtre d’un jeune homme au cours de la féria 2012 à laquelle je participais, dans une bodéga de l’avenue Saint-Saëns, à quelques encablures du drame.
Il s’agit d’un exemple, éclatant au grand jour, du manque de discernement et de moralité d’acteurs de la justice. Mais combien d’autres restent non dévoilés, immondes secrets d’alcôves ayant sûrement des implications injustes, malhonnêtes dans les décisions ultimes d’affaires judiciaires ?!!…
Finalement, les magistrats outrés par la sortie de Toutmou devraient éviter de faire les vierges effarouchées car de trop nombreux cas illustrant la déliquescence de l’appareil judiciaire et son manque de vertu, nous démontre que la justice française sombre et qu’il serait temps de mettre un gros coup de vis et de faire un grand ménage au sein de cette institution.
Comme d’habitude, les actualités défilent à une allure tellement ahurissante qu’il est toujours difficile, en tous les cas pour moi, de réagir instantanément aux évènements.
Concernant la sortie de l’éminence grise Myriam chez Bourdin le 15 novembre dernier, devant tant d’incompétence (face à la grossièreté et l’imbécilité de Bourdin), j’avais pensé à la phrase de Françoise Giroud mais pas au montage ci-dessus (merci à Contre-Info et Walfroy).
Même si, entre autres, Skandal en avait fait déjà le tour ici, je ne pouvais pas ne pas ajouter mon grain de sel.
Cette illustre inconnue n’est pas là par hasard, elle le sait très bien, bien qu’elle s’en défende (déjà pour les municipales de 2008, « les ténors du coin (Delanoë, Vaillant, Caresche…) cherchent un profil atypique. « Une femme jeune, issue de la diversité », se souvient le député Christophe Caresche » selon le Point du 2 septembre 2015 qui ajoute « Bertrand Delanoë, toujours friand de « diversité » et de visages frais, puis en 2014 Anne Hidalgo la nommeront adjointe »).
Issue d’une promotion, non pas « canapé » mais « gastronomique » suite à « un dîner qui a changé bien des choses dans la vie de Myriam El Khomri. L’an dernier, au début de l’été, l’ancien maire du 18e Daniel Vaillant convie à La Table d’Eugène, un restaurant du coin, plusieurs élus de l’arrondissement parisien et… le président de la République. Adjointe du maire de Paris, Myriam El Khomri, comme toujours souriante et chaleureuse, s’assied non loin de François Hollande.À peine deux mois plus tard, la jeune femme (37 ans aujourd’hui) est bombardée ministre de la Ville. « François Hollande s’est manifestement souvenu d’elle », raconte un convive« , elle n’a obtenue ce poste uniquement par népotisme puisque « Elle ne connaît pas grand-chose à la politique de la ville ? Et alors ? En 2008, elle ne connaît pas non plus grand-chose à la petite enfance quand Bertrand Delanoë la nomme adjointe à la Mairie de Paris »… tout est dit !
Cette personne n’a jamais travaillé dans le privé d’où son ignorance à propos des types de contrat que l’on y trouve comme le CDD, et c’est à « cette jeune femme de 37 ans, benjamine du gouvernement, inconnue du grand public, qu’incombe de réaliser enfin l’inversion de la courbe du chômage et de négocier les réformes ultra-sensibles de l’assurance-chômage et du Code du travail. » (Les Échos du 2 septembre 2015) : on sent tout le sérieux de Toutmou, tout son intérêt pour le peuple de France !
Cerise sur le gâteau, « C’est un pari », avoue-t-on au sein du gouvernement. Myriam El Khomri n’est pas à proprement parler une spécialiste des questions d’emploi… » : un pari !!!…
Nos dirigeants jouent avec l’avenir des travailleurs français et des forces vives de notre nation ! Et personne ne relève tous ces aveux, personne ne s’indigne, notamment les spécialistes de l’indignation…
« En réalité, Manuel Valls entend s’y atteler lui-même. « La réforme du marché du Travail, ce sera la réforme du Premier ministre », prévient déjà un ministre. »… comment ? à quoi va donc servir cette fonctionnaire grassement rémunérée par les français ?… cette nomination ne serait donc pas un pur casting ??!!!… Vous dites qu’elle n’a pas été choisie pour ses origines ethniques ??…
Quelle mauvaise farce… et une nouvelle fois, ce sont les français qui paieront l’addition mais ils ont l’habitude et ils sont déjà passés à autre chose… certains finiront même par revoter pour cet armada d’amateurs puisqu’il suffit d’un dramatique évènement pour que Toutmou remonte de manière fulgurante dans les sondages (cf. Le Monde du 1er décembre 2015), sachant toutes les réserves que l’on peut prendre avec ces derniers et toute l’estime que j’ai pour eux…
En tous les cas, cette infographie est claire : ce ne sont pas les actions de Flamby qui le rendent populaires (popularité a priori) mais celles des autres, celles des ennemis de la France et de la chrétienté. Pitoyable inaction présidentielle…
Siné m’a toujours gonflé, je ne l’ai jamais trouvé drôle mais on doit bien admettre qu’il a toujours été « gauche » dans ses bottes jusqu’à se faire virer comme un mal-propre de Charlie Hebdo où il avait officié durant 27 ans, avec plus ou moins de soutien.
Dans cet entretien filmé par Fluctuat.net en 2009, il évoque ses anciens « camarades » en des termes peu glorieux : un ramassis de pseudo-rebelles bien intégrés dans les rouages politiques, plus préoccupés par leurs réussites personnelles que par leurs profondes convictions.
Nous nous en doutions tant leurs éructations picturales et scripturales toujours dans l’excès ne pouvaient être que les symptômes de leur trahison.
Ils avaient bien compris qu’ils avaient trouvé un bon filon dans l’excrémentation, l’invective gratuite, l’injure, les pratiques sodomites,… et ils ne se privaient pas d’en rester au stade anal, au degré zéro de l’intelligence pour le plus grand bonheur de leur public de moins en moins nombreux avant les évènements du 7 janvier 2015 (ils étaient tombés en-dessous des 50 000 exemplaires vendus à partir de 2011 selon le Monde du même jour ! une misère à la hauteur de leurs dessins).
Finalement, des trous du cul (qu’ils adorent dessiner à Charlie Hebdo !), des traîtres qui faisaient la morale à tout le monde, ayant des idées bien arrêtées sur de nombreux sujets se croyant la crème de la société (rigidité idéologique pourtant critiquée de manière virulente chez leurs ennemis), et qui n’ont jamais été guère mieux que tous les « beaufs » qu’ils conchiaient…
En tous les cas, le souhait de Siné en fin d’entretien s’est réalisé. Il ne pensait sûrement pas à ce type de « cassage de gueule » même si la trahison ne paie jamais !
Il est toujours bon de revenir aux fondamentaux comme nous avons l’habitude de le dire lors des entraînements ou des matches de rugby.
Je n’ai d’ailleurs jamais pris le temps d’expliquer le titre de ce blog puisque son origine n’est pas des plus complexes pour qui sait observer au quotidien et qui a lu Philippe Muray…
Pour le premier terme « décadence », je m’attarderai ultérieurement sur sa définition afin d’y associer quelques documents personnels de ces vacances estivales, juste après avoir donné la signification de « Cordicopolis ».
Pour se faire, je vous citerai un passage de l’Empire du bien (p. 97 à 99) de ce regretté Muray, parti bien trop tôt.
« J’aimerais maintenant, d’un mot d’un seul, clouer au papier cet Empire terrorisant du Sourire, avec ses raz de marée de litotes, ses musiques onctueusement atoniques, tout cet envahissement lignifiant, ces positivités, ces euphories, cette invasion perpétuelle des thérapies les plus douceâtres, ce massage systématique des âmes et des corps pour les faire adhérer définitivement à l’ultime idéologie encore possible parce qu’elle ne comporte rien qui ne soit naturel, normal, souhaitable, désirable absolument pour tout un chacun. […]
[…] C’est délicat à exprimer. Je ne vois qu’un mot, à vrai dire, un seul capable de condenser, de rassembler tout le sabbat, mais alors tellement oublié qu’il va falloir que je l’explique.
Le mot « Cordicole ».
Nous vivons en plein fascisme cordicole, en plein asservissement cordicolique.
Voilà.
Cordicole.
De cor, cordis, coeur; et colo, j’honore.
Terme par moi ressuscité, exhumé de l’ancien vocabulaire religieux : on appelait « cordicoles » au XVIIe siècle les membres d’une association de jésuites qui cherchaient à introduire en France l’adoration du Coeur de Jésus et la fête du Sacré-Coeur. […]
[…] Oh ! bien sûr, il ne s’agit plus du tout de l’adoration du Coeur de jésus, chacun aura su rectifier. Non, non, le Coeur tout seul. En soi. Absolu. Le Coeur « siège des émois et des passions ». L’organe en tant que signe de notre époque, hiéroglyphe résumant le monde, sa réalité, son ombre, sa trame, son sens, tout en même temps, le Totem et ses tabous.
Prospérités du Viscère !
Appelons donc Cordicopolis la planète où nous nous trouvons, du moins les pays occidentaux, ceux qui ont déjà la chance de posséder la démocratie à tous les étages et le tout-aux-droits-de-l’homme dans les villes. »
Nous y sommes, Cordicopolis est l’endroit où prospère l’Empire du Bien, le bonheur à tout prix et malgré vous, où « nous vivons l’âge du sucre sans sucre, des guerres sans guerre, du thé sans thé, des débats où tout le monde est d’accord pour que demain soit mieux qu’hier, et ces procès où il faut réveiller les morts, de vrais coupables jugés depuis longtemps, pour avoir une chance de ne pas se tromper ».
Cette société guimauve où le relativisme et l’individualisme sont rois, où tout et son contraire sont équivalents pour atteindre une unité, une uniformité dont l’apogée est « le transsexualisme de masse » qui « a cessé d’être une utopie pour devenir notre réalité de remplacement. […] Le tout culminant dans la célébration de « l’être androgyne », héros idéal, comme de juste, de la nouvelle bien-pensance », où la réalité des choses qui déplaît à l’un doit être façonnée à sa guise, selon ses désirs quite à faire des lois car on ne supporte plus la cruauté dont parfois cette réalité peut faire preuve (les femmes stériles ou les invertis « doivent » forcément avoir les enfants qu’ils désirent par GPA par exemple) est la société du caprice, du bien-être absolu de gré ou de force, de « l’épanouissement pour tout le monde » obligatoire, sans contrainte car les limites imposées par des millénaires d’expériences au sein des groupes humains sont des freins à la liberté (« liberté individuelle » bien entendu !…).
Forcément, il s’agit de la société de la table rase et non plus de celle de l’héritage.
C’est une société de traumatisés fragiles et pacifistes, et non plus de fiers guerriers honorables.
Tout ce qui a été fait auparavant est rétrograde, insupportable car les générations actuelles savent… oui, elles savent mieux que les précédentes. Elles sortent de l’oeuf mais elles savent…
Ce qui est épatant avec les destructeurs de traditions, de savoirs-être, d’habitudes patiemment modelés au cours des siècles, c’est qu’ils sont convaincus qu’il faut éviter de regarder derrière soi, qu’il faut combattre ceux qui souhaitent revenir à des institutions dites surannées alors que dans le même temps, ils voudraient que le monde entier adhère à des écrits (droits de l’Homme, constitution républicaine,…), sorte de bibles de la religion cordicole, et à des courants de pensée vieux de plusieurs décennies ou siècles : contradictoires !!!…
Il est bon parfois de savoir revenir en arrière, d’être rétrograde au sens premier du terme, lorsque l’on s’est trompé de chemin.
Bref.
Pour revenir à l’objet de ce billet, après avoir établi le sens de « Cordicopolis », donnons tout simplement la définition de « décadence ».
Selon le littré, il s’agit d’un état de ce qui commence à choir, à tomber. D’un point de vue étymologique, ce terme provient du latin « decidere » signifiant déchoir, soit se retrouver dans un état moins brillant que dans celui où on était.
Le Larousse enfonce le clou en indiquant :état d’une civilisation, d’une culture, d’une entreprise, etc., qui perd progressivement de sa force et de sa qualité.
Comment ne pas en être persuadé lorsque l’on regarde un tant soit peu autour de soi !!…
Par exemple, en allant sur fdesouche faire un tour, je suis tombé sur ce document amateur… que l’auteur a depuis supprimé sur youtube (ici) !!…
J’ai pu le retrouver sur SpiOn.com dont j’ai pris une capture d’écran craignant que la vidéo de dailymotion ci-dessous ne soit effacée à son tour.
On y voit donc des jeunes femmes en Roumanie exécuter un « twerk » devant une assistance a priori non adaptée à ce type de spectacle (c’est mon côté fermé et rétrograde…).
Qu’est-ce que le « twerk » me direz-vous ? (si vous n’avez pas suivi la trépidante aventure de Miley Cyrus aux MTV MVA 2013)
Et bien, « le Twerking a été introduit dans la culture hip-hop grâce à la scène “bounce” de la Nouvelle Orléans » explique Fannie Sosa, professeur de danse à Paris dans un article de Caroline Lazard dans le Nouvel Observateur du 25 juin 2013 (article valant à lui seul un billet et valant son pesant d’or pour les réponses prévisibles et imbéciles de la danseuse, comme ces pépites si modernes « Il s’agit de réveiller son « cul cosmique », l’agrandir, le rendre visible, le rendre beau. » ou « […] résistance à la terreur binaire, homme vs femme, corps vs esprit, naturel vs. culturel. » !!… réveiller son cul cosmique… sérieusement… comment peut-on sortir de telles inepties ??!!!…). Elle ajoute que « c’est une danse issue des diasporas africaines dont les populations ont été le plus souvent redistribuées et assignées aux périphéries urbaines, aux ghettos des grandes villes » et que « c’est une danse qui met en mouvement le cul, le périnée, les organes génitaux: le ghetto du corps ».
Cette danse des plus suggestives reproduisant des postures et des actes sexuels n’a pas à être proposée à des mineurs et encore moins à des enfants comme nous pouvons le constater sur la vidéo (la regarder jusqu’à la fin).
Une société dans laquelle ce type d’évènement se banalise est bel et bien une société décadente.
Ne pas trouver cela choquant et pervers démontre l’indignité d’un peuple.
Ceci ne relève pas de l’anecdote puisque le hasard a voulu que cet été, lors d’une visite familiale, dans un village près de Carcassonne, je sois le témoin d’une animation nocturne équivalente à celle de la vidéo du Magic Delta Fest de la ville de Sfântu Gheorghe en Roumanie.
Les « danseuses » affublées d’un déguisement de soubrette essayaient tant bien que mal de « twerker » en mimant avec une cravache des rapports sado-masochistes… tout un programme pour de jeunes bambins toujours sur la scène à ce moment là !!!… Désespérant !
Que dire aussi de ces mots croisés que mon aînée de 12 ans a acheté au bureau de tabac (je n’y étais pas, souhaitant la laisser seule y aller pour faire SON achat…). Quel type de société en arrive à mettre une femme (très belle, c’est sûr !) quasiment nue sur la couverture d’un « mots fléchés » ??!!!… Il est vrai qu’il s’agit d’un livret « tonic » et que c’est l’été mais tout de même !… Encore un exemple de l’hypersexualisation de Cordicopolis !
Que dire aussi de cette publicité pour une entreprise américaine de voyages, Kayak, dans laquelle j’ai observé, médusé, la promotion de la gérontophilie… On y voit les mains d’une dame de certain âge, pour ne pas dire d’un âge certain, environ 70 à 80 ans, au-dessus d’un clavier d’ordinateur portable et la main d’un jeune garçon qui caresse la main droite de la dame qui pourrait être sa grand-mère !!!… La vidéo est intitulée « week-end romantique » et les caresses du jeune homme ne laissent aucun doute quant à la relation entre les deux individus. Tout simplement immonde !
L’histoire d’Harold et Maud m’a toujours agacé et écoeuré, que la pièce de théâtre ou le film de Hal Ashby (encore un artiste équilibré, pas du tout marqué par le divorce de ses parents et le suicide de son père voulait même inclure une scène d’amour dans son film, ce que Paramount Pictures refusa dans un dernier élan de bon sens… aujourd’hui, ce serait accepté…) aient obtenu tant de reconnaissances me laisse abasourdi. Quoique… le milieu « artistique » n’étant pas une référence en terme de vertu et de droiture ne peut que se féliciter de pouvoir promouvoir de tels rebuts.
Je n’y vois pour ma part qu’une ode à l’individualisme des deux personnages, une promotion de l’usage de stupéfiants, du suicide, du désordre et de la gérontophilie.
Les rebelles à deux francs pensent « combattre » (le sens de ce terme à l’air d’échapper à de nombreux utilisateurs comme les socialopes au pouvoir qui parlait d’un gouvernement de combat !!… quelle farce !) les conventions sociales, ils ne font qu’utiliser des méthodes sournoises au travers de « l’humour » qui souvent permet de faire passer les plus grosses pilules infectes de la modernité. Ce n’est pas du combat, c’est du sabotage !
Nous en arrivons même aujourd’hui à avoir un type de 60 ans, Pietro Lamberti, travailleur social, qui fut pris en 2011 en flagrant délit au lit avec une fillette de 11 ans dont il avait la charge, libéré après avoir été condamné dans un premier temps. La Cour de Cassation de Calabre a en effet considéré qu’il existait entre l’homme et la fillette une « relation amoureuse » comme l’indique Il Quotidiano della Calabria du 7 décembre 2013.
Cette destruction des codes traditionnels, résultats d’expériences de vie et de bon sens, est réalisée puis véhiculée et promue depuis longtemps et par l’intermédiaire de multiples vecteurs; qu’ils soient des artistes reconnus par leurs pairs (le même milieu s’auto-félicite, s’auto-décore en donnant l’illusion d’être la référence) ou qu’ils soient des détenteurs d’un pouvoir économique ou politique, et profitant ainsi de leur notoriété et leur influence pour faire absolument n’importe quoi, faisant passer, auprès de l’opinion publique, leurs délires, leurs travers et leurs perversions comme des non-évènements.
Dans le cas de Woody Allen, cet « adulte » sain d’esprit et fiable (un autre artiste équilibré aux 4 compagnes successives avec lesquelles il n’a pas été foutu de faire des gosses, c’est dire sa fiabilité, son sérieux, son assurance, sa virilité.. un homme quoi !) a tout de même été pris à avoir des photos de sa jeune « fille » nue et il avait déjà une liaison avec elle alors que ce gros porc était toujours avec sa femme Mia Farrow. Ensuite, il a épousé sa « fille »… que du banal… Et ce vieux pervers en rigole estimant qu’il est fier de faire scandale !!…
Serait-il un pédophile protégé (quand Mia Farrow le quitte en 1992, Soon-Yi n’a que 17 ans et l’histoire avait débuté avant, il y a donc détournement de mineur !!!..) comme semble l’être Roman Polanski ??…
Quand on voit sa tête, on voit bien que l’on a à faire à un tordu, ce que le visionnage de ses films confirme !
Je ne parle même pas des services gérant les adoptions qui ont permis dans un tel environnement d’accéder à la demande de ce duo improbable !!!… Les services publiques font vraiment n’importe quoi et pas uniquement en France !!!
Un beau duo bien pathétique, de belles têtes de vainqueurs épanouies et à la dégaine irrésistible…
En fait, l’accumulation de ces faits divers permet insidieusement d’habituer les esprits aux situations les plus absurdes ou les plus glauques qui sont alors normalisées, acceptées par le plus grand nombre, ce plus grand nombre qui a oublié de raisonner, de réfléchir sur notre éthique, sur ce qui a fait de nous une civilisation de haut niveau.
Ainsi, dernièrement, certains en arrivent même à se poser la question « doit-on dépénaliser l’inceste ? » dans le Huffington Post du 4 novembre 2013… aberrant ! mais logique… dans l’air du temps…
Même en Suisse, ils s’interrogent !!!…
Alors des situations comme celles de Woody Allen, de ce « père » de la région de la Somme avec un inceste consenti (Le Monde du 13 novembre 2012 ou Le Nouvel Observateur du 17 décembre 2012 plus consternant encore) ou de cet autre « bon père » britannique (Paris Match du 22 avril 2012) ne seront plus considérées comme immondes, anormales et amorales mais comme des rapports habituels entre père et fille.
Là encore, comme pour le pseudo-mariage des invertis et l’adoption qui en découle, la filiation est mise à mal, remise en cause !!! Comme nous le ressortent les invertis, les pères incestueux invoquent la corcicolâtrie, « l’amour » qui existe soi-disant entre eux. Cordicopolis ne peut que les absoudre…
Notons au passage, dans l’article du Monde, les propos répugnants de Me Hubert Delarue qui estime que « la justice n’a pas compris le fonctionnement de cette famille. » Il s’agit d’un cas « surprenant, décoiffant », de « confusion totale des genres », mais la justice « est-elle là pour dire le droit ou la morale ? ».
Notons que l’avocat, le réalisateur américain, les journalistes qui minimisent ou défendent de tels actes ont une grande influence sur l’évolution des moeurs, des comportements individuels. Ils ont une grande responsabilité dans le processus de décadence. Ils devront être les premiers à rendre des comptes et à payer lors du grand nettoyage !
Le monde du spectacle et des artistes, de nombreux « intellectuels » type BHL ou Joy Sorman, avec la complicité de certains politiques et hommes d’affaires puissants (souvent aux moeurs dissolues comme l’illustre le Rubygate de Berlusconi ou l’affaire de l’orgie sado-maso de Max Mosley en 2008) sont les manipulateurs de leviers idéologiques et législatifs décadents qui rongent les piliers fondamentaux de notre civilisation occidentale.
Comme l’explique très bien Vincent Vauclin sur son blog « La dissidence française« , je cite :
« Le monde Spectaculaire-Marchand dépense chaque année des dizaines de milliards d’euros en publicités et autres campagnes marketing. Ce n’est pas pour rien. Au-delà de l’impact immédiat de ces campagnes sur les consommateurs, qui sont ainsi quotidiennement incités à se tourner vers telle ou telle marque, tel ou tel produit, il est évident qu’un tel conditionnement rempli une fonction politique et « culturelle », inoculant insidieusement l’idéologie dominante au corps social, façonnant jour après jour cet homme-masse, éternel esclave de toutes les tyrannies, sur le consentement tacite duquel repose l’ensemble du totalitarisme moderne. On notera d’ailleurs la teinte systématiquement « politiquement correcte » des campagnes publicitaires, surtout lorsque celles-ci se drapent d’un caractère subversif pour cibler, par exemple, la jeunesse : il s’agit toujours de faire l’apologie de la transgression morale, du métissage, du mondialisme, de l’antifascisme, de la « tolérance » et de je ne sais quelle autre connerie gauchisante. »
Nous le voyons donc bien, la décadence prospère depuis plusieurs décennies et elle est le processus suicidaire de notre splendide civilisation occidentale.
J’en ai la certitude. Cordicopolis n’est qu’une étape…
La question à laquelle je n’arrive toujours pas à avoir une réponse claire et argumentée, c’est : pourquoi ?…
Le Barbet, à l’origine de la race des Caniches, était très apprécié auprès des Grognards de la Grande Armée de Napoléon 1er.
Le Barbet breton Urvoas de la première circonscription du Finistère souhaiterait apparemment devenir le favori du grognard hispanique prétentieux de François Normal 1er dont la popularité a pris un coup de mou (Le Parisien du 24 août 2014).
Suite à la énième fanfaronnade du pédant Montebourg dans Le Monde du 23 août 2014 (la critique de la politique économique des bouffons au pouvoir est justifiée mais il faut prendre les décisions et les initiatives adéquates lorsque l’on est en position de le faire plutôt que de jacasser devant les caméras sachant pertinemment que l’on perdra alors les moyens d’action pour contrer une telle politique économoue désastreuse ! Quand on appelle à « hausser le ton », il faut en avoir les moyens…), à laquelle s’est associé le pitchoun Hamon apprend-on dans Le Parisien du lendemain, Urvoas a sauté sur l’occasion pour montrer de façon bien visible sa fidélité à son maître.
Il déclare le même jour au micro de Bourdin sur RMC lorsque ce dernier lui demande si les deux ministres doivent être sanctionnés : « Je crois que oui. Je souhaite qu’ils le soient (…). Dans le code de la route, lorsqu’on franchit la ligne jaune, il y a amende ou retrait de permis (…). C’est le Premier ministre, en accord avec le président, qui décidera. On ne devrait pas attendre trop longtemps pour savoir » après avoir sèchement critiqué l’expression publique politique, la qualifiant de « navrante » (à partir de 0:43)… et sur ce point, tout le monde s’accordera à dire qu’il a bien raison !!
Le Figaro du 25 août 2014 rapporte en outre que, d’après le servile Urvoas, « l’autorité de Manuel Valls a été mise en cause. Il doit décider de la sanction. (…) Montebourg et Hamon doivent être sanctionnés. » et il rajoute « il y a un manquement dans le sens de la collégialité, ça ne peut pas passer comme une lettre à la poste ».
Un sacré bon coup de lèche somme toute puisqu’il me semble que Valls ou Le Foll, actuel porte-parole du gouvernement, sont assez grand pour mettre les pendules à l’heure hollandaise sans avoir recours à la parlote bretonne.
Force est de constater tout de même que le Barbet qui nous préoccupe maîtrise bien la flagornerie afin de faire carrière puisqu’il en avait déjà usée avec le dhimmiimmigrationniste Cazeneuve en avril dernier lors du remaniement ministériel. En vain… mais il sait se placer le bougre !
Urvoas sait très bien ce qu’il veut, un poste de ministre sinon rien, pas même secrétaire d’état ! Lui qui était pressenti pour faire partie du premier gouvernement Valls et qui n’a pu obtenir satisfaction espère bien prendre sa revanche.
Verdict aujourd’hui… et finalement, le Barbet n’a pas eu son nonos !…
En tous les cas, cette tête d’ampoule ne brille pas par son expression publique qui, elle aussi, est navrante voire pitoyable. En effet, ses différentes sorties n’ont pas brillé par leur intelligence.
Tout d’abord, lors de l’affaire Merah, Le Parisien du 22 mars 2012 révélait le « couac » du parlementaire à la rose dont le tweet était qualifié par Éric Ciotti de honteux, indigne et grotesque.
Un témoignage édifiant sur l’impulsivité et la bétise des politiques à l’affut de la moindre actualité pour faire le « buzz » et faire le malin, avant de se rétracter, s’excuser ou d’essayer de sortir des théories fumeuses sur les « phrases sorties de leur contexte », le » manque de place ou de temps pour donner des explications précises » ou ‘l’usage de simplifications malheureuses »…
Ensuite, après avoir manqué de respect au RAID, il s’attaqua un an après à un autre corps d’élite français (élite française dont il est loin de faire partie !) lorsqu’il crut remplir une mission essentielle de salut publique en tant que bon chasseur de nazis ou fascistes ou extrême-droitiste, au choix, en dénonçant le 4 août 2013 sur son blog, comme tout bon collabo qui espionne ses semblables, la mise en ligne sur le portail virtuel de la légion étrangère d’un cliché illustrant un billet sportif.
Par des raccourcis imbéciles et la bétise idéologique habituelle de tout bon gauchiste consistant à assimiler toute croix celtique à un symbole d’extrême-droite (et même si cela était le cas, y aurait-il un problème avec la liberté d’expression individuelle par le tatouage ??!!…), il arriva à faire changer cette photo de part la pression politique qu’il réussit à exercer par sa dénonciation. Un breton indigne de son héritage culturel que dénonça Danielle Roméro dans l’Union Républicaine du 9 août 2013.
Vous avez dit censure ????…. meuh non, mon brave, pas de censure chez les socialo !
À ce propos, un caporal-chef avait adressé au dénonciateur un lettre pas piquée des vers, lettre destinée aussi à tous les incompétents de gauche en général que Nouvelles de France du 9 août 2013 mettait en ligne.
Carine à l’époque rappelait justement ce que sont triskell et croix celtiques dans un billet, nécessaire mise au point.
Pour revenir à l’olibrius du moment, il fut à l’origine d’un bel exercice de propagande et de manipulation des esprits à l’aide des médias à propos des chiffres concernant la délinquance en France.
Passons sur le classique « sous la droite, c’était pire » (ce que sait très bien éructer aussi la droite dans l’autre sens!), Urvoas le cynique se félicite que les violences aux personnes aient diminué alors que la journaliste aborde le phénomène de l’explosion des cambriolages perpétrés par la mafia d’Europe de l’Est, ne pas répondre directement à la question posée par la belle Windy Bouchard (houla… la gestapo féministe risque de me tomber dessus ! aurais-je fait un tel commentaire pour un homme ??!… non bien entendu, n’étant pas un inverti) est un exercice de contorsion politique qu’il réussit à merveille mais relève d’une incorrection exemplaire.
Ce qui est sûr, c’est qu’il n’a aucun scrupule à tordre la réalité en n’évoquant que des parties des chiffres de la délinquance en France. Il est possible de faire dire tout et son contraire à une base de données chiffrées selon le prisme politique ou idéologique utilisé. Mais seules la réalité et la vérité comptent.
Certes les atteintes aux personnes ont baissé d’après la Police Nationale mais pas d’après les services de gendarmerie qui ne constatent que des hausses tant en homicides volontaires qu’en tentatives d’homicides ou en violences sexuelles (ces dernières ne baissant pas non plus selon les données policières… ce qui peut nous interpeller quant à un autre sujet, celui de l’hypersexualisation de notre société et son impact sur les comportements individuels).
Force est de reconnaître que dans l’ensemble des atteintes aux biens et aux personnes, les pourcentages sont à la hausse !
Il ose dire : « quand on mène uns action, elle porte ses fruits »… mais de quelle action parle-t-il précisément ? de qui se moque-t-il ?!!!… Je donnerai beaucoup pour l’avoir comme sparring-partner à ce moment là !!!
Plutôt que de rouler des mécaniques à la radio, surtout lorsque l’on est taillé comme une allumette, Urvoas le baratineur ferait mieux de s’occuper d’un thème chers à ses administrés, la délinquance dans le Finistère, car les chiffres ne sont pas bons selon Ouest-France du 28 janvier 2014.
Au lieu de fanfaronner sur les plateaux parisiens, ce politicard devrait se pencher sérieusement sur ce qui se passe chez lui avant de tomber des raisonnements à deux francs au niveau national, surtout qu’il avoue lui même dans le JDD du 3 avril 2011 : »La sécurité, c’est même pas un sujet à Quimper, je n’y connais rien. ». Désespérant baltringue !!…
Nous sommes bel et bien en présence d’un menteur qui transforme la réalité comme tout bon gauchiste.
Le déni est leur spécialité ! Déni du grand remplacement, déni de ce qu’est un homme et une femme, déni du mariage,…
Il est bon de savoir aussi que ce même monsieur osa publiquement déclarer qu’il séchait une partie des heures qu’il doit à la nation sous le faux prétexte de débats indignes lors des questions d’actualité à l’Assemblée, temps qu’il doit tout simplement effectuer en raison de ses fonctions, comme si l’ouvrier à la chaîne pouvait lui choisir de ne pas se présenter à tel ou tel moment à son poste !!!….
Ce menteur est donc aussi un branleur payé par nos soins.
Il s’essaie en plus au petit kapo jouant la fermeté face au sénat à propos de la réforme territoriale dont l’importance est pourtant loin d’être négligeable et les impacts à court et moyen termes catastrophiques pour de nombreuses régions, réforme qui n’est décidément pas urgente et je dirai même, pas nécessaire, quand on sait les nombreux problèmes préoccupant les français actuellement qui sont tout autre !
Finalement, ce président de la commission des lois (rien que ça !) ne voit aucun inconvénient à se passer de l’avis du Sénat alors que le débat au sein de cette institution fait partie intégrante du processus démocratique si cher aux socialistes et aux gauchistes en général.
Pour finir, Urvoas détient aussi la casquette de « monsieur sécurité » du PS (au secours !!…) et démontre une fois de plus, dans un article du Point du 4 juillet 2013, toute son incompétence et sa propension à la propagande et au mensonge. Ses déclarations qu’il avait faites au Monde le même jour ont été mises en pièces sur le site Reflets.com le lendemain, expliquant pourquoi monsieur sécurité racontait n’importe quoi, alors que le député breton venait à nouveau de fanfaronner sur twitter.
D’ailleurs, il semble pratiquer le tweet de façon régulière, c’est dire qu’il est débordé…
À présent, il serait bon que le Barbet breton file à sa niche et qu’on ne l’entende plus ! Couchez JJ ! Couchez !
En regardant les dépêches d’aujourd’hui, il y en a une qui m’a rappelé qu’il existait depuis quelques années une « journée sans pantalon » et je me suis brusquement demandé où était passé ce cher docteur Spivey et ses électrochocs, histoire de relancer les cortex des nombreux adeptes de cette ridicule et lamentable manifestation mondiale considérée comme « loufoque » (donc susceptible d’intéresser un service psychiatrique…) par la pravda française.
Mais, que fait-on en cédant encore une fois à une énième pulsion, soi-disant pour casser des codes ou se sentir libre, si ce n’est d’imposer à l’autre la vision d’un spectacle relevant de l’intime, de suivre finalement d’autres codes plus libertaires et décadents, d’assouvir pitoyablement une envie en suivant sans réfléchir l’appel des néocrétins consumméristes de Cordicopolis.
La satiété d’indignes pratiques relève des plus primaires instincts et manque au plus élémentaire respect des autres comme l’illustre les deux clichés de ces dames d’origine asiatique détournant le regard des exhibitionnistes malsains. Sans parler de l’immense affront fait aux us et coutumes locales par des occidentaux persuadés par leur génie de la provocation.
« La pudeur est le parfum de la volupté; la satiété est l’arôme du dégoût. Et la pudeur accroît la volupté, comme la satiété l’écoeure. » disait André Suarès…
Quelle volupté à exhiber sa cellulite, ses bourrelets disgracieux, ses jambes filiformes d’anorexique ou ses cuisses velues à vous rendre jaloux le moindre Komondor passant par là ??…
Soyons stupéfaits par cette preuve d’un élan génialement icônoclaste qui fait se tenir droit comme un i une sorte de « blues brother » échappé de l’asile, dans une indifférence totale des voyageurs et typique des sociétés modernes constituées de robots humains blasés par les stupidités de leurs compatriotes.
Ces deux crétins sans nom sont les symboles incontestables de ce désir de se différencier par tous les moyens, souvent les plus absurdes car les plus faciles et accessibles (il est plus aisé de se mettre en caleçon et de se teindre les cheveux en mauve que de devenir prix Nobel), dans un monde de standardisation extrême tendant vers une finalité asexuée et métissée.
Là encore, le manque de pudeur qui n’est pas de la pudibonderie mais seulement l’expression de plusieurs siècles d’évolution vestimentaire, de ce que l’on appelle l’héritage d’une civilisation millénaire, n’est autre que le témoignage de la vacuité des êtres issus de cette société mondialisée, globalisée au sein de laquelle le terreau riche de ses composants culturels, traditionnels a été remplacé par l’indigence d’un support artificiel de croissance en plastique PET.
Il n’y a qu’une fierté imbécile pour fédérer un groupe de demeurés en réalisant un événement aussi vide de sens comme celui des défilés printaniers d’invertis.
Ce cliché montrant un gros benêt en t-shirt violet contemplant béatement son voisin de wagon, à l’air tout aussi niais et respectant à la lettre la consigne
« être prêt à prendre le métro sans pantalon et être capable de garder un air sérieux en le faisant » émanant de ce misérable interface qu’est « face-de-bouc », consigne ne faisant appel à aucune sorte d’intelligence mais juste à une capacité à oser un défi digne des cours l’école primaire et relevant du stade anal puisqu’en l’occurrence, au bout du compte, il ne s’agit que de montrer son fondement !…
Et s’il vous paraît appréciable, son fondement, honte à vous s’il vous vient l’envie de le toucher, de le tripoter car le pervers, c’est vous et vous seul, ce n’est pas celle ou celui qui porte une culotte ou un slip possédant l’inscription « hands off » (« pas touche » !).
Sûrement la même personne qui serait scandalisée par la bourgeoise paradant avec des signes ostentatoires de richesse et qui excuserait le malheureux ayant eu l’envie de les toucher, de les prendre à pleines mains !!… Encore un paradoxe cordicole…
Sachez aussi que selon les dernières recommandations des organisateurs : « Dès que les portes se ferment à l’arrêt avant le vôtre, enlevez votre pantalon (…). Si quelqu’un vous demande pourquoi vous avez retiré votre pantalon, dites-lui qu’il vous gênait ou que vous aviez trop chaud », car le courage est proportionnel à la température extérieure, tout comme le nombre d’épaisseurs vestimentaires sur un corps, on attend d’être bien au chaud pour se dessaper. Il ne faut pas déconner, être valeureux à des limites !
Sinon, que dire de cette mère à l’exemplarité douteuse, comme celle du mollasson de l’élysée se disant normal, qui trimbale son enfant à moitié nu dans un endroit où le froid est bien présent au vu de son pull-over et des polaires des adultes à côté de lui ??!!…
Pauvre gosse… Peut-on parler d’une mère responsable ??… On enlève des gamins pour des raisons bien moins graves que cela !!…
J’écris ces quelques lignes tout en écoutant Adagio for strings de Samuel Barber et je me demande avec une profonde tristesse comment des centaines d’années d’évolution peuvent donner à la fois cette œuvre musicale exceptionnelle et à la fois aboutir à « une journée sans pantalon » !!!… Consternant !
Et je repense à cette phrase de mère Térésa : « La perte d’une certaine pudeur comme la perte de la pureté sont les causes profondes de la décadence du monde.». Amen…
En me baladant du côté du torchon gauchiste Huffington Post appartenant au groupe Le Monde (tiens… comme c’est étrange…) alors que je réalisais quelques recherches pour mon billet « Convictions solubles » àvenir, je suis tombé par hasard sur un article concernant un rassemblement de néo-nazis vers Perpignan.
Bizarrement, juste après l’article, une petite vidéo est proposée sur la « nébuleuse de l’extrême-droite » avec comme image fixe celle de Marine Le Pen et son père. Je ne suis pas un adepte de ce dernier et je ne suis pas encarté au front mais force est de constater qu’ils ne disent pas que des inepties !
Je trouve vraiment curieux que les chantres du combat contre la stigmatisation et les amalgames soient les premiers à user des méthodes qu’ils condamnent en associant sur une même page du net « néo-nazis » et « front national » !
Pour de nombreux sujets, les gauchistes hurleront « surtout, pas d’amalgames !! » mais là, pour le parti honni… il n’y a aucun problème, le rapprochement est évident lorsque l’on est des adeptes inconditionnels des points Godwin comme Pierre Bergé (multimillionnaire pas forcément emballé par les 75% d’imposition pourtant a priori dans un logique égalitaire, principal actionnaire du Monde avec Xavier Niel de Free et Matthieu Pigasse des Inrockuptibles qui fut accessoirement patron d’Audrey Pulvar et puissant soutien de Hollande et du PS durant la campagne présidentielles avec à la clé un mandat de conseil polémique, ancien propriétaire du magazine inverti Têtu racheté par un proche de Hollande, Jean-Jacques Augier, inverti notoire… comme quoi, la nébuleuse n’est pas toujours là où on la croit ou, en tous les cas, les liens sibyllins sont bien fortement ancrés à gauche !!) qui a déclaré vendredi 25 janvier 2016 sur BFM TV chez Ruth Elkrief que les opposants à la dénaturation du mariage et au droit à l’enfant représentaient « un humus antisémite, antigay » et d’enchaîner sans sourciller :« chacun a son bon pédé comme chacun a son bon juif »… (à partir de 2:04 sur la vidéo d’Alain Soral)
ou Christian Assaf (député PS) à propos des « triangles roses » lors d’une intervention à l’assemblée nationale le 30 janvier 2013 en faveur du mariage guignol (point Godwin sous-entendu avec cet antisémitisme nous rappelant nos HLPSDNH…)
Non, je ne vais pas parler ici de cette incompétente qui est un des meilleurs échantillons de l’équipe de bras cassés qui a fait perdre les élections à Sarkozy, ce qui n’a pas été un évènement des plus traumatisants pour moi. Je n’aime ni les gnomes vulgaires et arrogants, ni les gnomes mous et invisibles !
Non, je ne vais pas non plus m’attarder sur le fait qu’une ancienne ministre (si, si !!… de la justice en plus…) puisse apparaître en plateau avec un tel symbole sur le dos en prétextant par la suite qu’il s’agit d’une feuille d’eucalyptus. En plus de prendre les gens pour des andouilles, elle démontre en direct tout la considération qu’elle peut avoir quant à son rôle d’influence médiatique et à sa fonction !!…
Non, cette image consternante n’est qu’un prétexte pour aborder un sujet sur les drogues en France, un sujet sur le cannabis en particulier.
Il faut croire que Marisol Touraine, ministre de la Santé, n’a pas d’autres priorités que de s’occuper des toxicomanes français, un des soucis majeurs qui tourneboule aussi le ministre de l’Éducation Nationale, Vincent Peillon, qui, lui non plus, n’a pas d’autres sujets plus importants à traiter que la dépénalisation du cannabis (Le Point, 15-10-2012) !…
Il est vrai que le manque des médecins en milieu rural, l’abandon des structures médicales des territoires français, notamment les maternités, le manque d’efficacité de nombreux gestionnaires d’hôpitaux,… ou les classes surchargées, la mauvaise gestion des personnels et des crédits de l’EN, l’abandon du RASED, l’amélioration de la formation et du recrutement des enseignants, la réduction des congés sur l’année,… toutes ces pistes de travail ne doivent pas avoir la primauté !!!…
Concernant la ministre, on savait déjà par une dépêche APM qui révélait sa demande à l’ANSM d’examiner le dossier d’AMM du dérivé de cannabis Sativex qu’elle se positionnait pour une autorisation du cannabis thérapeutique, ce que confirmait Le Monde du 1er mars.
Certes, on peut toujours rester à l’écoute d’éventuelles propositions thérapeutiques concernant les malades de la drogue. Mais en même temps, je ne considère pas que ces personnes, et peu importe leurs raisons et leurs parcours, méritent autant d’attention de la part de la société. C’est mon côté darwiniste social qui ressort mais surtout, je reste convaincu que plus on instaurera des salles d’injection ou des locaux de vente de cannabis thérapeutiques, plus cela fera flancher ceux qui seraient tentés de prendre des drogues devant une telle banalisation de ses substances sous couvert d’humanisme et de solidarité envers les toxicomanes (sur le principe de « plus il y a de cafés dans un quartier, plus il y a d’alcooliques »).
Comme elle n’est plus à un mensonge près, nous pouvons légitimement nous interroger sur les réelles motivation de toutes ces démarches lorsque l’on connait les pressions du lobby pharmaceutique (qui n’existe pas comme le lobby gay ou le lobby FM…) et lorsque l’on se rend compte de l’incapacité de ses gens là à résoudre d’autres problèmes bien plus importants pour la majorité des français, je veux parler du mariage gai de la crise, du chômage,… et qu’il est donc plus simple de montrer de l’intérêt pour des sujets qui ne coûtent rien.
En attendant, grâce à Valeurs Actuelles n°3980 du 7 mars 2013, nous apprenons, et je ne cache pas une certaine satisfaction de savoir que cette pimbêche s’est faite remballée, que l’Académie de médecine s’est dite « totalement opposée à ce texte » (projet d’autoriser le cannabis thérapeutique) dans un courrier du Professeur Ardaillou et que Serge Lebigot (je sens venir le bon mot gauchiste : « ah… il porte bien son nom »… toujours dans l’argumentation imparable !…), président de l’association Parents contre la drogue, s’inscrit en faux contre l’affirmation de la ministre qui consiste à dire (méthode typique des progressiste de défendre une idée en prenant en soutien une problématique touchant de près ou de loin au pathos, ici la sclérose en plaques) que le savitex permettrait (utilisation du conditionnel importante : on n’en est pas sûr mais bon, puisque je parle de la sclérose en plaques, je suis une gentille personne que l’on va écouter et suivre…) de lutter contre certains effets de la sclérose en plaques. Faux d’après Serge Lebigot qui cite un rapport de la National Multiple Sclerosis Society (NMSS) américaine concluant à l’absence de preuves convaincantes quant à une quelconque amélioration, du fait du cannabis, des conditions des personnes atteintes par cette pathologie.
Quel beau camouflet !
Oui, je sais, le professeur et Serge sont à coup sûr d’affreux réactionnaires hermétiques au progrès en marche qui ouvrira de nouveaux horizons en faisant table rases des préjugés passéistes sur les toxicomanes et la drogue, et toussa, toussa… mais quand même, merci à eux pour cette dépêche réjouissante !!!
«La pire menace qui puisse peser sur une démocratie, ce n'est pas la violence des armes, toujours ouverte et tangible, c'est la violence sournoise, insinuante, du mensonge ; c'est la manipulation des esprits, d'autant plus efficace et redoutable qu'elle revêt les oripeaux du moralisme.» ( Philippe Seguin ma référence )
"Choisis la pilule bleue et tout s’arrête, après tu pourras faire de beaux rêves et penser ce que tu veux. Choisis la pilule rouge : tu restes au Pays des Merveilles et on descend avec le lapin blanc au fond du gouffre."
Les citoyens se contentent de ronger l’os sans moelle qu’on leur a jeté, l’os du suffrage universel. Et c’est pour des boniments, des discussions électorales qu’ils remuent encore la mâchoire – mâchoire qui ne sait plus mordre.
#rebelle#liberté...ouvert d'esprit et adepte de la QUENELLE...il faut être combattant ! Ne rien lâcher ! Nationaliste ! Anti SIONISTE ! LANGUEDOC-ROUSSILLON !!!!
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