
Étiquette : 2014
Soros…ité cordicole
Tel un épanchement séreux bien répugnant, sorte d’ascite adipeuse libérale progressiste, l’influence de George Soros se répand partout où ses intérêts financiers et idéologiques sont protégés et promus, histoire d’étendre son influence au maximum et, par conséquent, d’augmenter considérablement sa capacité de nuisance internationale comme l’illustre son réseau d’influence pro-migrants en Italie (voir infographie ci-contre).
Les Observateurs donnent un aperçu de ses techniques de propagande par le réseau « Un responsable hongrois met en garde contre les plans de Soros de créer un nouveau réseau universitaire mondial« .
Grégor Puppinck , juriste français né en 1974, docteur en droit et diplômé de l’Institut des hautes études internationales, vient d’amener une preuve supplémentaire quant à l’importance de la « prégnance sorosienne » dans de nombreux dispositifs décisionnels et politiques en Europe comme ailleurs.
Il dénonce les pratiques de ce milliardaire sans scrupule, ni moralité (en plus de ses méthodes coercitives et son emprise abusive dans de trop nombreux secteurs économiques et politiques par l’intermédiaire d’ONG intrusives, ce donneur de leçons change de femmes comme de chemise : il en est à 3 mariages et sa dernière femme, Tamiko Bolton, a 40 ans de moins !), dans un article de Valeurs Actuelles le 28 avril 2020, intitulé « Emprise de Soros sur la Cour européenne des droits de l’Homme : la CEDH persiste et signe« , et dont voici un large extrait.
Mise en cause par le rapport de Grégor Puppinck révélé au mois de février par Valeurs actuelles, la Cour européenne des droits de l’homme vient de répondre à sa manière en annonçant l’élection du juge le plus contesté, Yonko Grozev, au poste important de président de section.
Pour Grégor Puppinck, docteur en droit, directeur du Centre européen pour le droit et la justice, la CEDH confirme ainsi la prégnance en son sein du réseau d’influence de l’Open Society de George Soros.
Deux mois après sa publication, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a enfin répondu au rapport de l’ECLJ qui a révélé l’existence à une large échelle de conflits d’intérêts entre 18 juges de la haute juridiction strasbourgeoise et 7 ONG financées par Georges Soros, dont la richissime et controversée Open Society.
Mais c’est à sa manière que la CEDH y a répondu : non par la contestation de faits incontestables, et dont la révélation a fait scandale dans toute l’Europe ; ni par l’adoption des mesures nécessaires pour éviter que ne se reproduisent de tels conflits d’intérêts ; moins encore par la sanction de ces juges, comme l’aurait pourtant fait n’importe quel conseil de la magistrature national. Elle y a répondu à l’inverse : par l’élection à l’importante fonction de “président de section” du juge le plus controversé, le bulgare Yonko Grozev.
Rappelons que celui-ci a fait toute sa carrière comme avocat militant dans des ONG proches de George Soros ou financées par celui-ci, jusqu’à devenir l’un des responsables mondiaux de la branche de l’Open Society spécialisée dans l’utilisation des institutions judiciaires à des fins politiques (l’Open Society Justice Initiative). Il s’est fait connaître, entre autres, comme avocat d’un groupe de femmes punks (Pussy Riot) ayant commis un spectacle sacrilège dans la cathédrale de Moscou.
Un militant dépourvu de toute expérience de magistrat
Déjà, en 2014, les modalités de sa nomination à Strasbourg avaient été contestées, car trois membres du comité de sélection bulgare étaient ses collègues au sein d’ONG. Une plainte dénonçant l’irrégularité de la procédure de sélection, adressée au Conseil de l’Europe par une organisation locale, fut classée sans suite.
C’est dans ces conditions que ce militant, dépourvu de toute expérience de magistrat (comme la majorité des juges de Strasbourg), est devenu l’un des 47 juges de la Cour européenne des droits de l’homme. Peu après son élection, ses nouveaux collègues lui donnèrent gain de cause dans l’affaire des Pussy Riot, et condamnèrent la Russie à lui verser, selon l’usage, une indemnité substantielle.
Comme juge, il fut saisi d’affaires qu’il avait lui-même introduites à la CEDH en tant qu’avocat, ou qui l’avaient été par ses anciens collègues d’ONG. Si dans 9 de ces affaires, il a renoncé à siéger comme il en avait le devoir, il a en revanche participé au jugement d’au moins 10 autres affaires introduites ou soutenues par des ONG qu’il avait lui-même fondées ou dirigées encore récemment. (La liste de ces affaires accessible dans les annexes du rapport)
Un tel comportement constitue, pour un juge, un manquement grave et répété à ses obligations déontologiques élémentaires. Dans n’importe quel État de droit, l’auteur de tels manquements encourrait de lourdes sanctions disciplinaires. D’ailleurs, à la suite de la publication du rapport, le ministre de la Justice de Bulgarie a évoqué publiquement l’hypothèse de la révocation de Yonko Grozev, tout en rappelant qu’il revenait à la CEDH d’en décider. Yonko Grozev s’est défendu en attaquant l’ECLJ, et en déclarant impossible sa révocation, car il faudrait alors destituer tous les juges visés dans le rapport. Il serait ainsi comme protégé par les autres juges mis en cause.
Manifestement, son élection comme président de section lui a donné raison. Les anciens juges qui avaient lu et approuvé le rapport avant sa publication m’avaient prévenu de cette probable réaction de défense mutuelle entre juges. Quatre des neuf juges de la section à laquelle le Bulgare appartient (celle en charge notamment des affaires françaises) sont d’ailleurs au nombre des 18 juges mis en cause.
La suite de l’article est à lire ici…
Grégor Puppinck est l’actuel directeur du Centre européen pour le droit et la justice (ECLJ, European Centre for Law & Justice), organisation non gouvernementale internationale fondée en 1998 à Strasbourg et titulaire du statut consultatif spécial auprès des Nations-Unies depuis 2007. Opposé aux dérives transhumanistes et notamment à la GPA, ardent défenseur de la liberté de conscience, il s’est fait remarquer dans l’affaire Lautsi et autres c. Italie, dans laquelle la Grande Chambre de la Cour européenne des droits de l’homme a finalement jugé que la présence de crucifix dans les écoles publiques ne violait pas la Convention européenne des droits de l’homme. Son dernier livre, Les droits de l’homme dénaturé, est paru aux éditions du Cerf.
Souviens-toi d’Hector !
« Arose from the ashes
The remains of a time set aside
The warrior of Eden
Bound by honor when two worlds collide… »
Hammerfall – Hector’s hymn – 2014 [(r)Evolution]
Traduction du début :
Surgi des cendres
Les restes d’un temps réservé
Le guerrier d’Eden
Lié par l’honneur lorsque deux mondes se rencontrent
Encore et encore
Avec gloire il est venu, il a vu qu’il a vaincu
Il a rassemblé ses armées
Véritables carrés d’élite, les templiers en acier
Ils ont cherché le dragon
Fait saigner l’ennemi, les fait s’agenouiller
Le petit garçon d’Haarlem
Le petit garçon hollandais, dessin inspiré de cette histoire…
« Hans Brinker était un petit garçon des belles étendues de Hollande, habitant dans la commune de Spaarndam. Amoureux de ce « pays » que l’on a qualifié de « bas » en raison de son souci constant du niveau des eaux, il vivait comme beaucoup de ses camarades et compatriotes proche d’une digue. Et c’est naturellement qu’il empruntait chaque soir le chemin qui la longeait afin de rentrer chez lui. Rien de bien particulier ne s’y passait. Pourtant un soir, alors qu’il revenait à la maison à vélo, fredonnant un air avec insouciance, un bruit inattendu attira son attention. De quoi pouvait-il bien s’agir ? Hans jeta un œil en bas de la digue et un frisson le gagna. Une toute petite brèche laissait passer un filet d’eau. Ô quiconque ne connaît pas la puissance de l’eau, et sa capacité à renverser tous les obstacles placés sur sa route, n’y aurait sans doute pas prêté attention. Mais Hans, comme tout un chacun ici, était un vrai connaisseur des dégâts qu’elle peut occasionner et il se précipita donc au bas de la digue. Que faire ? Personne aux environs… Aucune possibilité de colmater cette petite brèche. Il n’hésita pas plus longtemps et glissa son doigt dans l’interstice d’où s’échappait l’eau. Le « bouchon » fonctionna à merveille. Jusqu’à quand ? Il était soudain prisonnier de la digue mais il savait que c’était son devoir de se comporter ainsi. Alors Hans patienta, et nul ne vint davantage durant l’heure qui s’écoula qui lui parut désespérément longue. Son doigt était enflé à présent, et une douleur communiquée à travers le bras gagnait tout son corps. Le regard perdu au loin à la recherche d’une aide providentielle, Hans savait que la nuit bientôt viendrait. Ce qu’elle fit, inéluctablement. Et de longues et interminables heures, à moins que ce ne soit des siècles, se succédèrent. Au petit matin, le premier passant, un pasteur dit-on le retrouva, transi de douleur, grelottant de froid. Hans avait sauvé le village. Et il devint naturellement un héros. Si vous passez par Haarlem, ne manquez pas de faire un détour par sa statue qui se dresse sur l’une des écluses entrecoupant la digue de Spaarndam. »
Mary Mapes Dodge – Les Patins d’Argent – 1865
Certains se donnent corps et âmes pour sauver une digue dont la destruction entraînerait un drame pour leur peuple, d’autres facilitent cet effondrement.
Quand l’australien se met au français…
« On a pas vu les limites
On a pas vu qu’on allait trop vite
Nous voilà devant l’inconnu
Et on file à des années lumières
De tout ce qui nous retenait hier
Seuls dans la nuit… »
Josef Salvat – Une autre saison – 2014 [Night Swim]
Arnaque moderne
« Le réac ne croit pas aux bienfaits d’une « culture pour tous » censée abolir dans les bourbiers du « dialogue » le privilège du penseur, de l’artiste, de l’érudit au profit des masses miraculeusement ouvertes à la créativité.
[…] Il ne croit pas que tout se vaut, cet article du crédo-moderne, selon lequel il est illégitime de hiérarchiser l’émotion esthétique. Entre Mozart et le rap, entre Vermeer et le tag, il discerne un fossé qualitatif.
[…] Si tout se valait, rien ne vaudrait sinon son prix aux étals du marché et il ne croit pas aux vertus civilisatrices du grand souk mondialisé. »
Denis Tillinac – Du bonheur d’être réac (Éd. des Équateurs, p. 79 et 80) – 2014
Album type caucasien
« Je ne suis pas musicien
Je ne suis pas chanteur
Dieu m’a donné des mains
Pour consoler mon cœur
Si j’avais pu savoir
Combien tu t’en foutais
J’aurais tué l’espoir
De pouvoir t’emmener… »
Vianney – Je te déteste – 2014 (Idées blanches)
Recadrage
Rappelons deux, trois bricoles à tous les gauchistes qui font la morale à tout bout de champ et qui font de la chasse aux fantasmagoriques nazis, une priorité nationale, que c’est l’hôpital qui se fout de la charité.
Au lieu de crier au retour de la bête immonde, les bêtes faisant d’ailleurs partie du bestiaire mythologique relevant de l’invention pure et simple, tous ces effarouchés pour pas grand chose, tous ces traumatisés du vote populaire, de l’expression du ras-le-bol des marionnettes politiques installées là depuis trop longtemps (comme l’explique clairement l’Amiral) feraient bien de proposer plutôt des solutions à la crise, au chômage, au grand remplacement des populations européennes, aux chocs des civilisations,…
Au lieu de cela, les médias complices relaient indéfiniment les agitations du chiffon rouge brun des politicards sans imagination et soucieux que d’une chose, leur poste et leur rémunération. La situation est grave, très grave, c’est un choc, un séisme pour la maçonnerie, il faut un sursaut républicain face à l’expression du peuple… du grand guignol !
Là encore, au lieu de se poser les bonnes questions, on cherche un bouc-émissaire pour occuper les esprits vides des gauchistes, on cherche à stigmatiser une grande partie de la population française en faisant appel à des méthodes éculées, des artifices ridicules faisant appel aux HLPSDNH (j’aime bien utiliser le vocable gauchiste…).
Donc, pour faire clair, et pour rétablir une vérité historique comme d’autres l’ont fait avec plus de talent, voilà de qui sont les héritiers chasseurs de la bête immonde… sûrement de l’Action française, l’extrême-droouuaaaate la plus terrible, qui fut la première à lutter contre les allemands et Vichy.
Ainsi, Pierre Laval, le plus célèbre des collabo, brilla dans les rangs de l’extrême-gauche révolutionnaire avant d’être élu en 1914 député socialiste d’Aubervilliers et de devenir maire de cette cité ouvrière en 1923, mandat qu’il conservera jusqu’à la Libération.
Réformé pendant la Grande Guerre (bravo l’athlète, le guerrier !..), il ne cesse de militer en faveur d’une paix de compromis, vu son potentiel pour lutter physiquement, réellement, c’était une lutte militante plus à sa portée !
Après le conflit, il quitte la SFIO (le parti socialiste de l’époque) et se fait réélire sous l’étiquette de socialiste indépendant en 1924, lors des élections qui voient la victoire du Cartel des Gauches. Il devient ministre de la Justice dans le gouvernement de gauche de Briand, en 1926, et ministre du Travail dans celui de Tardieu en 1930.
C’est dire si à Vichy, il n’y avait pas plus socialiste que Laval !!!
Il y a eu beaucoup d’autres gauchistes à l’origine de la collaboration ou pour être à son service comme l’ami de Laval, le communiste Doriot (secrétaire des Jeunesses communistes, maire de Saint-Denis en 1930, au PCF de 1928 à 1934, date de son exclusion pour avoir créer un comité… antifasciste !!! quelle farce…) ou Déat (secrétaire d’Etat au Travail dans le gouvernement de Pierre Laval (adhère au PS en 1914, secrétaire général du parti socialiste de France-Union Jean-Jaurès en 1933, ministre de l’Air du gouvernement Sarraut en 1936).
Pour des informations complémentaires, allez voir par-là.
Doriot hurle dans la vidéo qu’il veut le redressement de la France (tout comme d’autres qui avant de parler de redressement parlaient de changement…), il hurle comme Valls qu’il veut que la France conserve son rang de grande puissance européenne,… je fais à tous les coups des parallèles nauséabonds…
En tous les cas, voici un excellent livre que je me suis procuré et dont Zemmour fait l’éloge dans la vidéo : Le Paradoxe français de Simon Epstein, né en 1947 à Paris, qui est un économiste et historien israélien qui vit à Jérusalem depuis 1974 où il est professeur et chercheur à l’Université de Jérusalem.
Voeux 2014
Voici à peine 1 an que ce blog a ouvert ses portes et, à vrai dire, je n’espérais pas en retirer autant de satisfaction. Pas tant en terme quantitatif, ce modeste établissement n’a que 25 adhérents (mais j’en suis ravi car leurs zincs valent eux aussi le détour qu’il s’agisse de mes camarades nauséabonds ou ceux ayant plutôt une fibre artistique) et n’a généré péniblement que 13 000 clics (ils seraient plus intéressant de connaître le nombre de réels visiteurs mais je ne dois pas maîtriser correctement WordPress… d’ailleurs, je n’ai pas réussi à trouver le rapport dont Woland ou Regard naïf parlent et je n’ai rien reçu par courriel …), mais en terme de stimulation intellectuelle avec des échanges de point de vue et de connaissances très enrichissants ou des recherches des plus instructives lors de l’élaboration d’un article, et en terme de rencontres avec de belles surprises qui se reconnaîtrons, j’en suis sûr.
Je regrette par contre certains départs d’abominables réac sans explication, mon manque de temps comme je le signalais déjà ici et beaucoup d’autres choses qui sont fort bien énoncées dans cet excellent « billet de feignasse » du non moins fameux Noix Vomique.
et pour finir, un petit message de circonstance très drôle (avec une légère référence à De Funès dans le bruitage de Dieudo à la fin) en cette période « obscure » selon l’inénarrable grande intellectuelle et veilleuse de la sainte république Sonia Rolland (certes très mignonne…) dont l’avis vaut référence étant donné ses qualités morales et vertueuses !!…
merci à Cloaque.info pour la vidéo !! (et pour le reste aussi, toujours du super boulot !)
Alors tous mes voeux de renouveau pour la nation française, pour le peuple de cette Gaule pas si fantasmée que ça et pour tous les visiteurs (réguliers ou non) s’attardant à ce fichu comptoir !!