Sans parler des autres effets néfastes de ces vaccins à ARNm, encore plus dangeureux lorsqu’on descend en âge… (cf. article France Soir du 14 juin 2021)
Catégorie : Sciences
La déconstruction du wokisme
Julien Rochedy fait un très bon résumé de la mascarade et la supercherie wokiste qui est une idéologie, un mouvement, tirant l’essentiel de sa substance du nihilisme et du relativisme. La « théorie française« , dont s’est inspiré le wokisme, est un ignoble conglomérat de toutes les folies progressistes qui habitaient les « penseurs » du post-strucutralisme, ayant tout fait pour normaliser leurs déviances ou leurs fantasmes (vie dissolue de Sartre et Beauvoir, défense de la pédophilie par Foucault, Barthes ou Deleuze, etc) en les présentant dans un enrobage philosophique et en leurs donnant l’apparence d’arguments d’autorité.
Il paraît tout de même stupéfiant que ce mouvement prenne une telle ampleur depuis ces dernières années ! En même temps, l’Homme a toujours tendance à fuir l’exigence et la droiture pour se vautrer dans la facilité et l’hédonisme…
Maltraitance covidiste

Et ça continue encore et encore… c’est que le début, d’accord, d’accord !
Nous nous doutions depuis longtemps de l’inutilité, voire de la nocivité, du masque chirurgical pour les enfants, et ceci était déjà pointé du doigt par les spécialistes de l’enfance et l’OMS en 2021. Le Dr Nicole Delépine, pédiatre, oncologue et ancien Chef de service à l’AP-HP, confiait, dans un article du 18 juin 2021 d’Aurélie Blaize dans Le journal des femmes, que « s’il dure plusieurs mois (le port du masque) peut avoir beaucoup de conséquences chez les enfants : il y a une perte de facultés respiratoires du coup les enfants somnolent, ne retiennent pas bien en classe. Certains ont la sensation d’étouffer. Le port du masque a des conséquences cognitives, sur leurs capacités d’apprentissage, d’écoute, d’attention. Il y a aussi les troubles cutanés (peau sèche, eczéma par exemple), des nausées chez certains enfants, et des maux de tête liés à une diminution d’oxygène et à l’augmentation de gaz carbonique. Sans oublier que le masque est un milieu de cultures énorme en particulier en ce moment où il pleut. Vous avez des masques mouillés qui sont des bouillons de bactéries et éventuellement de champignons (un masque mouillé doit être jeté et remplacé sans attendre) ».
Elle ajoutait : « […] on voit bien que ça donne des effets secondaires alors que son port ne protège pas contre le virus. Beaucoup de gens ont commencé à le comprendre ne serait-ce que parce que c’est marqué sur les boîtes »… On a peine à croire ce que nous lisons !…
De plus, dès 2020, bien avant les trop nombreuses mesures coercitives infligées à nos enfants, nous savions que cette catégorie de la population était très peu affectée par le Covid-19 en termes de transmission à un tiers (enfant ou adulte) ou de mortalité (de la naissance jusqu’à 40 ans, les chiffres ont oscillé de 0% à 1% ! Même l’obligation vaccinale paraît aberrante !).
Une étude de l’Institut Pasteur du 23 juin 2020 indiquait que : « Dans l’ensemble, les résultats de cette étude sont comparables à ceux d’autres études réalisées à l’étranger, qui laissent entendre que les enfants de 6 à11 ans s’infectent plutôt en milieu familial qu’à l’école. La principale information nouvelle apportée par cette étude est que les enfants infectés n’ont transmis le virus ni aux autres enfants, ni aux enseignants et ni aux autres personnels des établissements scolaires« .


Trois ans après les études de l’Institut Pasteur et de l’Imperial College de Londres de 2020, tout ceci est confirmé par une nouvelle étude révélant que le port du masque engendrerait de graves conséquences chez les enfants (cf. billet de Franck Pingam du 1er mai 2023 chez Les moutons enragés, d’après le billet original de Steve Watson du 24 avril 2023 de Summit News).
Il est ainsi révélé que cette « nouvelle étude réalisée par des chercheurs allemands a conclu que les masques faciaux peuvent provoquer une intoxication au dioxyde de carbone lorsqu’ils sont portés, (même pendant de courtes périodes) et qu’ils peuvent avoir contribué de manière significative à la mortinatalité lorsqu’ils étaient portés par des femmes enceintes, ainsi qu’au dysfonctionnement testiculaire et au déclin cognitif chez les enfants, parmi d’autres problèmes de santé destructeurs.
Comme le rapporte le Daily Mail (du 23 avril 2023), la recherche publiée dans la revue Heliyon comprend un examen de 43 études précédemment publiées sur l’exposition au CO2, le port de masques et la grossesse.
L’étude note que même une exposition à court terme à des concentrations de CO2 aussi faibles que 0,3 % a provoqué des lésions cérébrales, une augmentation de l’anxiété et une altération de la mémoire chez les rates enceintes et les jeunes souris en laboratoire.
Dans un autre cas, des souris mâles exposées à 2,5 % de CO2 pendant quatre heures ont vu leurs cellules testiculaires et leurs spermatozoïdes détruits ». La suite ici chez Les moutons enragés…
Nous voyons bien que toutes les précautions abusives et les obligations sanitaires ayant joué sur les peurs et les inquiétudes des parents, ont fait parti d’un processus global d’avilissement des populations (à commencer par les plus jeunes) et ont été à l’origine d’une véritable et inadmissible maltraitance de nos enfants.
Tous les responsables politiques et les autorités éducatives, autant que sanitaires, doivent à présent rendre des comptes et payer pour tout cela. La sévérité du châtiment devra être à la hauteur de l’abjection des mesures sanitaires prises à l’encontre des enfants et des dégâts causés à leur développement psycho-moteur.
Regrets éternels…

Depuis plus d’un an aux urgences de ma ville où je suis infirmier, j’observe depuis 3 mois une recrudescence d’admissions pour palpitations, tachycardies, douleurs thoraciques chez de jeunes adultes (surtout des hommes) s’étant fait vacciner récemment… sûrement une coïncidence malheureuse !
La tyrannie du transgenre – Ostracisme

L’arrivée de Joe Biden à la Maison Blanche a, comme il se doit, été à peu près unanimement saluée par les médias et la classe politique française comme une sorte de bienfaisant retour à la normalité et à la raison après la « folie » supposée des quatre années de présidence Trump.
Pour marquer ce retour à la raison, au bon sens, à la modération et à la normalité, l’une des toutes premières mesures prises par Joe Biden a été de restaurer un décret signé par Barack Obama et abrogé par Donald Trump, décret qui considère que la législation fédérale visant à combattre les discriminations sur la base du sexe doit être comprise comme s’appliquant aux « discriminations sur la base du genre », c’est-à-dire comme s’appliquant aussi aux personnes transgenres.
Concrètement, cela signifie qu’il est illégal de traiter un homme qui prétend être une femme comme s’il était un homme, ou une femme qui prétend être un homme comme si elle était une femme. Plus concrètement encore, cela signifie que toutes les considérations d’ordre biologique, ou liée à la biologie, doivent être suspendues lorsque vous avez à faire à quelqu’un qui se déclare transgenre. Vous ne pouvez donc pas interdire à un homme qui prétend être une femme d’utiliser les toilettes, les vestiaires ou les dortoirs des femmes, ni même prévoir toilettes, vestiaires et chambre à lui spécialement destinés. Ce serait de la « discrimination ». Vous ne pouvez pas davantage interdire à un homme qui prétend être une femme de concourir dans des compétitions sportives féminines, et d’écraser les athlètes femmes de sa musculature et de ses capacités athlétiques masculines. Et ainsi de suite.
Lorsqu’il est question de transgenre, la parole des intéressés, et elle seule, fait foi. Ils sont ce qu’ils prétendent être. La nature n’existe plus. Voilà très exactement ce que signifie ce décret signé dans les premières heures de son mandat par Joe Biden, le président raisonnable qui succède à Trump le fou.
Par ailleurs, Joe Biden a nommé comme secrétaire-adjoint à la santé un certain Richard Levine, pédiatre de 63 ans qui a effectué sa « transition de genre » en 2011 et se fait désormais appeler Rachel.
Sans doute n’avons-nous pas encore bien pris la mesure de ce qu’implique le fait qu’un président des Etats-Unis nouvellement élu ne trouve rien de plus urgent que de prendre des décisions de ce type.
Bien sûr, en ce qui concerne Joe Biden lui-même, cela implique juste qu’il est un politicien opportuniste, qui s’empresse de donner des gages à « l’aile gauche » de son parti en croyant ainsi l’apaiser, alors qu’il ne fait, en réalité, que lui permettre de devenir bientôt le « centre » dudit parti. Aucune surprise en cela.
Mais les revendications liées à « l’identité de genre » ont ceci d’extraordinaires – et qui devrait nous terrifier, si nous y réfléchissons un peu – qu’elles sont ouvertement contradictoires et qu’elles nous demandent de déclarer publiquement comme vrai quelque chose que nous savons être impossible – dont l’impossibilité nous saute littéralement aux yeux. Elles nous demandent de nier les évidences de nos sens et de notre raison.
Avec le « mouvement transgenre », nous sommes sommés de croire et d’affirmer à la fois que le masculin et le féminin sont des constructions arbitraires inventées par « la société » dans une intention mauvaise, qu’il est cependant possible pour une personne d’être un homme né dans un corps de femme, ou vice-versa, et, qui plus est, qu’il possible pour un enfant d’avoir conscience dès trois ans de cette mystérieuse incohérence entre le corps et l’esprit. Comme le résume justement Anthony Esolen, « C’est à peu près comme de dire que Napoléon n’existe pas, que vous êtes Napoléon et que vous saviez que vous étiez Napoléon peu après le moment où vous avez cessé de porter des couches. »
Nous sommes aussi sommés de nous comporter comme si la personne en face de nous était une femme (ou un homme), alors que nous voyons qu’elle est un homme (ou une femme) de manière aussi claire, indubitable et inévitable que nous percevons la lumière du jour lorsque nous ouvrons les yeux.
L’affirmation au centre de l’activisme transgenre est que le sentiment qu’une personne a de son « genre » détermine son sexe, autrement dit que ses « sentiments » déterminent la réalité de ce qu’elle est.
Bien entendu, nous savons tous qu’il n’en est pas ainsi et que se conduire comme si nos sentiments déterminaient la réalité ne peut que conduire à une mort rapide, ce qui est une sorte de réfutation en acte. Nous savons tous obscurément, même si nous ne sommes pas philosophes, que la vérité est l’adéquation entre notre pensée et la réalité et que la folie est justement de prendre ses désirs pour la réalité sans qu’il soit possible de vous convaincre de votre erreur. Et, d’ailleurs, les militants transgenres montrent bien qu’ils savent que leurs sentiments et la réalité sont deux choses très différentes, puisqu’ils exigent que la médecine intervienne pour mettre la réalité de leur corps sexué en accord avec leurs « sentiments de genre ».
Mais cette intervention de la médecine, loin de mettre les sentiments en accord avec la réalité, ne fait que rajouter un mensonge au mensonge initial. Car la médecine est incapable de transformer un homme en femme ou une femme en homme. La médecine est capable, dans une mesure limitée, de donner à un homme l’apparence d’une femme et à une femme l’apparence d’un homme. Elle peut faire pousser des seins à un homme et elle peut le castrer. Elle peut ôter ses seins à une femme, augmenter sa musculature et sa pilosité et lui bricoler un simulacre de pénis. Mais tout cela ne fait ni une femme ni un homme, car nous sommes des êtres sexués jusqu’au fond de nos cellules. Le corps d’un homme et celui d’une femme sont structurellement différents : de la tête aux pieds et des os jusqu’au cerveau nous sommes biologiquement homme ou femme, et la médecine ne peut absolument pas modifier cette structure fondamentale. Pas plus d’ailleurs qu’elle ne peut donner un vagin à un homme ou un pénis à une femme. Un vagin n’est pas un orifice situé entre les jambes, c’est un organe qui fait partie d’un ensemble reproducteur extrêmement sophistiqué ; un pénis n’est pas un appendice vaguement érectile, c’est un organe hautement complexe qui sert à la fois à la miction et à la reproduction. La médecine est incapable de « construire » l’un ou l’autre.
Le genre d’intervention médicale censée constituer une « transition de genre » s’apparente en fait à de la chirurgie esthétique, avec cette différence que la chirurgie esthétique, elle, peut parfois donner des résultats esthétiquement convaincants.
Car le caractère intégralement sexué de notre corps a pour conséquence inévitable que les quelques « retouches » superficielles dont la médecine est capable jurent terriblement avec la myriade de détails sexués qu’elle est incapable de toucher. Ces retouches grossières sont comme une série de notes discordantes au milieu d’une symphonie harmonieuse : quelque chose qu’il est impossible de ne pas percevoir, et impossible de ne pas percevoir comme discordant.
Nous rions de bon cœur en regardant « Madame Doubtfire » ou « Certains l’aiment chaud », et ce qui nous fait rire est précisément la différence évidente entre l’apparence féminine et la réalité masculine, mais nous sommes enjoints, sous peine de sanctions légales, de traiter le plus sérieusement du monde Richard Levine – ou n’importe quelle autre personne transgenre – comme s’il était réellement une femme, alors que nous VOYONS qu’il est juste un homme qui prétend être une femme et qui voudrait que les autres le considèrent comme une femme.
Bref, il nous est ordonné d’affirmer que 2+2 font 5.
La suite chez Aristide…






