Gardez-le votre anglais !

Sortie de Marc-Antoine Dequoy après avoir remporté la Coupe Grey avec Les Alouettes de Montréal contre les Blue Bombers de Winnipeg le 20 novembre 2023 (28 à 24).

Je suis tombé, par hasard, sur ce cri du coeur d’un francophone québécois, étouffé par l’ultra-prédominance (superlatif absolu très à la mode aujourd’hui…) de cette « fucking » langue du monde globalisé : l’anglais.

Au-delà du fait qu’il utilise lui-même une sorte de bouillie franglaise qui fait sourire au regard de sa revendication (le paradoxe est le propre de ce cher humain…), il crie haut et fort ce que je ressens depuis plusieurs décennies, d’autant plus que ma délicieuse môman est une ancienne professeure d’anglais, devenue inspectrice d’académie en fin de carrière : une sorte de sensation d’étouffement et d’oppression quant à l’omniprésence de l’anglais dans le société.

Il n’est évidemment pas question de remettre en cause l’apprentissage d’une langue étrangère puisque tout ce qui peut développer et augmenter les capacités cognitives est une excellente chose (n’étant un bobo progressiste, je ne ferai pas de l’enrichissement culturel le premier argument en faveur de ce type d’apprentissage puisqu’il est concomitant à celui-ci) mais pourquoi avoir fait une fixation aussi intense sur la langue d’Albion et ne pas avoir mis autant d’enthousiasme et de détermination dans l’apprentissage des langues mortes ou des patois locaux ?!!!

Ah, oui… « Le latin, le grec ou l’occitan, ça sert moins aujourd’hui »… voilà le principal argument que j’ai pu entendre à chaque fois que j’évoquais cette main-mise de l’anglais, la langue vivante principalement enseignée. Il faut que « ça serve »… l’utilité pratique au service de la soumission au monde anglophone et de la capitulation face au monde libéral globalisé. Finalement, la meilleure arme d’homogénéisation des peuples pour que leurs citoyens deviennent les consommateurs lobotomisés d’une société anglicisée…

Je fais partie des dernières cohortes d’élèves à avoir eu, fin des années 80, le latin jusqu’au lycée, et bien qu’à l’époque, ces cours linguistiques étaient laborieux et parfois pénibles pour le jeune immature que j’étais, je me suis rendu compte très vite à l’âge adulte de tous les bienfaits que cet enseignement du latin m’a apporté : rigueur, meilleure compréhension de ma langue maternelle par l’étymologie, développement cérébral,…

Mais, j’aurais aussi aimé apprendre l’occitan (je connais de nombreux mots mais je ne le parle pas), la langue qu’utilisait souvent mon grand-père maternel mais il a toujours été plus important pour l’institution de me faire oublier mes racines et de me rendre conforme au futur monde globalisé. Aujourd’hui, je constate que les mêmes qui ont toujours défendu la diversité, la conservation des typicités locales de peuplades lointaines,… ont toujours pourfendu les patois français (interdiction de parler le breton, l’occitan,… pour « faire république »… hum !) et promu l’anglais partout et pour tous ! Paradoxe consternant…

Finalement, les Québécois sont un peu les « gaulois » du Canada, sorte d’irréductibles francophones qui résistent encore et toujours face à l’envahisseur linguistique du continent américain. Il ont donc encore plus ce sentiment désespérant de lent mais inéluctable engloutissement de la langue française. Les Français, quant à eux, ont perdu pied depuis longtemps à en croire la quantité astronomique d’anglicismes qui sont entrés dans le langage courant et l’augmentation ahurissante des publicités ou des brochures touristiques françaises contenant des termes anglophones. Cela m’énerve au plus haut point, alors que je maîtrise à peu près la langue des Rosbeefs, mais je ne vois pas de solution miracle à ce tranquille et inévitable envahissement linguistique. Misère…

Patoch est parti mais le coca reste, l’abrutissement aussi…

MAJ 23/06/2022… je me rends compte que le titre qui était évident pour moi ne l’était peut-être pas pour tout le monde ! Il s’agissait d’un clin d’oeil à la saloperie en col blanc de Patrick Le Lay décédé le 18 mars 2020 et qui était fier de préparer les cerveaux des téléspectateurs pour qu’ils soient des consommateurs de Coca-cola !

https://www.telerama.fr/television/nous-vendons-du-temps-de-cerveau-humain-disponible-quand-patrick-le-lay-tentait-de-se-defendre,n6618251.php

Pas de paix à son âme !

Le Suicide de la France

  • La « francité » disparaît au profit d’enclaves balkanisées incapables de communiquer entre elles … ce n’est pas une bonne recette.
  • Plus les élites françaises pratiquent un entre-soi doré sur le plan financier et culturel, moins il leur est possible d’imaginer l’impact quotidien de l’immigration de masse et du multiculturalisme.
  • Les « classes supérieures mondialisées » (les bourgeois-bohèmes) se calfeutrent dans leurs « nouvelles citadelles » – comme à l’époque de la France médiévale – et votent en masse pour Macron. Cette classe dominante a développé « une manière unique de parler et de penser … qui lui permet d’échapper à la réalité d’une nation soumise à un stress sévère et qui met à mal la fable d’une société aimable et accueillante ». – Christophe Guilluy, Crépuscule de la France d’en haut, Flammarion, 2016.

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« « Pour ce qui est de la France en 2019, nul ne peut nier qu’une transformation capitale et hasardeuse, un « Grand changement », est désormais en cours », a déclaré Michel Gurfinkiel, président-fondateur de l’Institut Jean-Jacques Rousseau. Il a déploré « le décès de la France en tant que pays, ou plutôt en tant que nation occidentale et judéo-chrétienne ce qu’elle a été jusqu’à présent ». Une couverture récente de l’hebdomadaire Le Point décrivait le phénomène comme « le grand bouleversement ».

Grand changement ou bouleversement, les jours de la France telle que nous l’avons connue sont comptés ; la société a perdu son centre de gravité culturel ; l’ancien mode de vie s’estompe et semble en voie d’extinction. La « francité » disparaît au profit d’enclaves balkanisées incapables de communiquer entre elles. Pour le pays le plus touché par le fondamentalisme islamique et le terrorisme, ce n’est pas une bonne recette.

Le grand changement français est également de nature géographique. La France apparait désormais divisée en « ghettos pour les riches » et « ghettos pour les pauvres », selon une analyse de la carte électorale publiée par le journal Le Monde. « Dans le secteur le plus pauvre, six ménages sur dix nouvellement installés ont une personne de référence née à l’étranger » note Le Monde. Des abysses séparent désormais la France périphérique – petites villes, banlieues et zones rurales – des métropoles mondialisées où résident les « bourgeois bohèmes » ou « bobos ». Plus les élites françaises pratiquent un entre-soi doré sur le plan financier et culturel dans des enclaves résidentielles fermées, moins elles se donnent les moyens de comprendre l’impact quotidien de l’immigration de masse et du multiculturalisme. »

La suite est sur l’excellent blog de Lupus : Le Suicide de la France — Le blog A Lupus un regard hagard sur Lécocomics et ses finances (via Gatestone Institute, article de Giulio Meotti du 26 juin 2019)

Le constat effrayant et bien triste de ce que devient le sol de mes ancêtres, la patrie qui m’a vu naître, et qui est le résultat d’un long processus complexe mêlant volonté idéologique issue de l’alliance du libéralisme et des idiots utiles gauchistes, et l’absence de réaction des natifs, des patriotes; processus débuté il y a plus de 50 ans.518YZ0QKHWL._SX298_BO1,204,203,200_

Déjà, Alfred Sauvy alertait ses contemporains sur l’amplification du phénomène et parlait d’un « déversement »… aujourd’hui, certains parlent de « grand bouleversement » comme Jérome Fourquet dans Le Point, le 27 février 2019, ou de « grand remplacement » comme Renaud Camus… il s’agit en fait d’un immense cataclysme ethnique et culturel qui doit être contré !
51cY8crz7VL._SX330_BO1,204,203,200_Jean Raspail aussi, avec Le Camps des Saints, dénonçait déjà par un roman d’anticipation, l’abominable modification de l’ensemble du pays, tant au niveau racial que coutumier.

Je m’étonne et je trouve étrange que les sondages réguliers et/ou les dernières élections n’illustrent pas vraiment ce que je peux constater autour de moi, avec un nombre important de personnes que je rencontre et qui sont d’accord avec moi et mes camarades; qu’ils soient issus des milieux favorisés (préfecture, professeur,…) ou des milieux plus défavorisés (artisans, chômeurs,…).

Les lanceurs d’alerte que sont Christophe GuillyÉric Zemmour, Michèle Tribalat ou Christopher Caldwell. sont de moins en moins dénigrés et honnis par la population

française qui a commencé à bien ouvrir les yeux, après des années de propagande et d’embrigadement par l’Éducation Nazionale, les merdias officiels, les « zintellectuels » et politicards amoraux et soudoyés par le système, le Nouvel Ordre Mondial.

Il n’y a qu’une certaine « intelligentsia » parisienne (artistes, merdias, politicards…) aux bras longs qui continue à être dans le déni idéologique.

La théorie des « isolats » émise par Jean Raspail face à André Bercoff sur Sud Radio, le 26 juin 2019, est une réalité de plus en plus prégnante comme dans de nombreux territoires ruraux (en Lozère ou en Dordogne où l’on retrouve une certaine homogénéité ethnique et culturelle). Ma femme et moi sommes partis de Montpellier pour venir en Lozère, il y a 21 ans, département de sa famille, pour ne plus assister au suicide français, bien en place dans l’Hérault.

Nous ne sommes pas les seuls à agir de la sorte. Le phénomène s’amplifie (départs des « petits blancs » des banlieues, désertions des grandes villes où le multikulti a été imposé,…) et nous n’allons pas vers de beaux jours si une unité nationale n’est pas rapidement retrouvée.

Peu importe… je suis prêt !

Mazerolle rime avec asshole !

(vidéo twitter trouvée sur fdesouche, en date du 08/12/2018)

Oui, je sais, le titre est loin d’être fin, distingué mais au bout d’un moment…

Olivier MazerolleOlivier Mazerolle, avec son air de faux-jeton et de fayot de première catégorie (dans son édito RTL du 7 décembre 2018, il parlait de Macron en président incarnant la fonction et faisant la leçon aux horribles Poutine et Trump !!! vous rendez-vous compte ?!!! un messie quoi…), qui devrait franchement réfléchir (si cela est encore possible à ce déchet très usagé..) à intégrer un EHPAD pour profiter de sa fin de vie, n’a pas trouvé rien de mieux que de balancer à la télévision que les gilets jaunes avaient pour stratégie de provoquer les forces de l’ordre pour se faire volontairement matraquer pour ensuite passer pour des victimes !!!…

« on a vu quelqu’un tout à l’heure qui a jeté un petit projectile [charge à ce moment], vooooilàààà, hé bien ils ont obtenu ce qu’ils voulaient, c’est « les policiers se sont jetés sur nous à genoux, voilà, et inoffensifs, voilà. Ça c’est de la… c’est de la manipulation politique, voilà » (direct de LCI du 8 décembre 2018

Ce sont finalement, pour cette prostituée journalistique au service de la Gueuse, les gilets-jaunes qui sont des manipulateurs politiques !!! un comble….

« Ils ont obtenu ce qu’ils voulaient« … une réelle preuve de la déconnexion totale de cette caste de privilégiés, véritables clébards du système ripoublikain corrompu et mortifère pour notre France !Jean-Baptiste Giraud

Sans parler de son acolyte avec sa belle tête de vainqueur de dîner de cons… Jean-Baptiste Giraud, passé par Radio France et BFM (excellentes écoles du savoir-faire en terme de propagande journalistique et idéologique) qui nous explique que « puisque l’on ne retiendra que l’image d’hommes à genoux matraqués… forcément… » en écho à l’analyse stupide de papi Mazerolle.

Comment peut-on encore laisser s’exprimer des séniles pareils au travers d’un merdia à grande audience ?.. Comment peut-on débiter des énormités aussi imbéciles à heure de grande écoute ?!!!…

Pour « Mazerolle l’asshole », cette andouille de niveau exceptionnel et ce chroniqueur de bas étage, le jet d’un papier (à la 2:03 jusqu’à la 2:05 de l’extrait  aux pieds des CRS est un lancer de projectile (sûrement type pavé de rue ou cocktail molotov…), papier que l’on distingue très bien en bas à gauche de l’image avant qu’ait lieu la charge des cerbères de la Ripoublik.

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De la part d’un incompétent de l’information comme lui (il avait été viré démissionné de France 2 pour une fausse information sur le futur politique d’Alain Juppé, cf. l’édito de Jean-Claude Souléry de La Dépêche du 12 février 2004) , un tel jugement démontre bien le niveau du journalisme français en général et de la morgue de ces élites parisiennes, des ces « journalistes » cul-et-chemise avec des politiques dont ils dépendent quant aux divers avantages qu’ils peuvent en obtenir.

Moi je dirais, en écoutant Mazerolle, que… « ils ont obtenu ce qu’ils voulaient (les journaleux de LCI)… voilà… ça c’est de la… de la manipulation médiatique ! »

La berlinale, ça trump énormément…

Au détour de ma lecture en diagonale des dépêches de l’AFP, je suis tombé sur l’une d’entre elles qui m’a conforté dans mon idée d’un monde « artistique » à la dérive, englué dans une posture politique de plus en plus intenable mais nécessaire car au service du monde de l’argent qu’ils représentent avec tant d’application. Il s’agissait d’un bref compte-rendu sur la dernière Berlinale où certains s’en sont pris de façon très originale à Trump.

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Cette incessante propagande médiatisée contre lui, contre les partis politiques patriotes (dits « populistes » par une quantité innombrable de crétins), m’est de plus en plus insupportable.

Propagande dis-je ?… Bien entendu et en plus, cette démarche est complètement revendiquée comme on peut le lire dans Le Parisien du 13 février 2017 (cf. l’article « À la Berlinale, les critiques contre Donald Trump fusent ») : « La 67e Berlinale, premier grand festival de cinéma de l’année à la dimension politique assumée, a été le théâtre depuis son ouverture jeudi de nombreuses critiques des participants à l’égard du président américain Donald Trump. »

Cette propagande politique est l’essence même de ce festival puisqu’il fut créé par les « Alliés occidentaux, et plus précisément, à l’initiative d’Oscar Martay » afin « d’être « une vitrine du monde libre » et apporter une « touche de glamour » dans un Berlin-Ouest gris mais enfin délivré de l’influence soviétique », « Nul doute, la Berlinale est devenue le lieu de fortes revendications politiques et sociales. » nous apprend France Culture dans son article « La Berlinale, festival porteur d’Histoire » du 9 février 2017.

Ainsi, nous assistons à un défilé de célébrités se croyant chargées d’une mission quasi divine alors qu’elles ne sont que les misérables mais glamours porte-étendards d’une vaste entreprise d’anesthésiants cinématographiques administrés à une population docile car très satisfaite d’être repue de calmants visuels, d’individualisme et de droits, fondamentaux primordiaux au système consumériste décadent.

Ces célébrités jouent parfaitement leur rôle d’écran de fumée quant aux bouleversements mondiaux qui détruisent petit à petit et de façon insidieuse nos traditions, nos peuples porteurs d’une civilisation occidentale ancestrale.

Philippe Muray l’explique clairement dans « Exorcismes spirituels » (Éd. Les Belles Lettres, Paris, 2002, p. 243) : « L’onirisme des bonnes causes et des grands sentiments est d’autant plus souhaitable qu’il aide à ne jamais rien savoir de l’univers concret tandis que celui-ci se transforme. Et plus il se transforme, moins cet univers a envie d’être interrogé. ». Et de citer Élisabeth Lévy (p. 249) à propos des moyens artistiques utilisés pour ces manoeuvres de propagande toujours axée sur le pathos : « Cette idéologie dominante qui se pense libérée de toutes les idéologies, écrit-elle, ne peut triompher qu’au prix d’une abdication fondamentale qui conduit à faire prévaloir l’émotion sur la compréhension, la morale sur l’analyse, la vibration sur la théorie. ».

Voilà ce qu’est réellement ce type de festival : une vitrine du pathos, de l’émotion, de la vibration et d’une morale non pas basée sur l’analyse et le bon sens mais élaborée au service du système mondialiste de l’Argent.

Un tel système est très bien représentée par Maggie Gyllenhaal, membre du jury, qui se drape du costume de « résistante », elle qui ne vit pas dans un pays totalitaire, elle qui est pleinement intégrée dans un showbizz à mille lieues des problèmes concrets des peuples (fille du réalisateur Stephen Gyllenhaal, issu de la bourgeoisie suédoise, et de la scénariste Naomi Foner Gyllenhaal, mariée en secondes noces. Elle est la sœur de l’acteur Jake Gyllenhaal, coureur de jupons invétéré, côté moral, on repassera. Ils sont donc l’exemple même du népotisme, de la transmission de privilèges de génération en génération ce qui n’est pas très « gauchiste »). Elle ne sait rien de la résistance, du risque d’être poursuivi ou condamné pour des écrits ou de propos car lorsque l’on a l’argent et la notoriété (donc les soutiens juridiques et politiques), on peut rouler des mécaniques et faire la maline en usant de son privilège d’être diffusée à grande échelle. Elle n’hésite pas à dire qu’« Être Américain dans la période actuelle dans un festival international c’est un moment incroyable. Je veux que l’on sache qu’il y a de nombreuses personnes dans mon pays qui sont prêtes à résister ». Sérieusement…

Pour une propagande plus efficace, il ne faut pas hésiter à affirmer des contre-vérités sans arguments, sans sources vérifiées, juste en s’appuyant sur son nom, sa réputation surfaite comme le pitoyable et ringard Richard Gere qui ne s’étouffe même pas en balançant  des énormités comme : « Dès que Donald Trump est devenu candidat à la présidence, le nombre de crimes motivés par la haine a considérablement augmenté, et je crois que vous constatez le même phénomène en Europe » où nombre de pays sont confrontés à un essor de partis populistes ou d’extrême droite. […] Malheureusement, nous avons des dirigeants qui attisent la peur et cette peur nous fait faire des choses terribles », a souligné l’acteur, connu pour être un défenseur des droits de l’homme. » ou comme le journaliste d’investigation américain Eric Schlosser (son père, Herbert Schlosser, était un avocat à Wall Street qui est devenu président de NBC en 1974. Schlosser est marié à Shauna Redford, fille de Robert Redford.Rien que ça !… là aussi, les rois du népotisme, des réseaux d’influences,… qui jouent les moralisateurs distribuant les bons et les mauvais points !) qui diffame sans preuve et sans sourciller : « mon président actuel (Donald Trump) ne serait pas admis au sein de l’US Air Force où à un quelconque endroit près d’une arme nucléaire. Et pourtant, en ce moment, il est la seule personne autorisée (aux Etats-Unis) à donner l’ordre d’utiliser une arme nucléaire ».

Ce stupide Richar Gere devrait savoir que depuis des décennies les violences avec armes sont le lot hebdomadaire des forces des polices dans le monde entier et en particulier aux États-Unis où il n’a pas fallu attendre Trump pour atteindre des statistiques effrayantes. Ce demeuré droit-de-l’hommiste (donc un mec forcément bien !) devrait savoir que le nombre de tués blancs par des noirs est plus élevé que celui des tués noirs par des blancs tueursblancs-530x285 tueursblack-530x263

 

(sans parler du nombre bien plus élevé de victimes de race blanche des tirs de policiers, 574 blancs pour 266 noirs en 2016 d’après The Counted de The Guardian), et qu’en Europe, les violences les plus fréquentes et les plus nombreuses sont celles de l’extrême-gauche (d’après Europol) !

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Tous ces personnages du monde du spectacle ne sont que des outils très performants, non détectables  et anesthésiants d’un système global protéiforme qui agit de façon douce, sous-jacente, à petites doses quotidiennes grâce à la magie du cinéma, de la télévision et de tous les moyens de communication dont il dispose pour imposer son message, sa pensée unique. C’est ce qui rend déloyal et complexe le combat contre ce pachyderme moderne dévastateur.

Claude Hagège l’exprime parfaitement dans « Contre la pensée unique » (Éd. Odile Jacob, 2012, p.238) : « La résistance, aujourd’hui, est d’autant plus urgente et indispensable que ce à quoi elle doit s’opposer n’est pas un front politique ou militaire explicite, mais une action que ses formes pacifiques rendent encore plus redoutable. En effet, la pensée unique est loin d’être immédiatement perçue comme telle par la masse d’une population qui, en France, notamment, est encore aveugle. »

Nous nous devons donc de continuer le combat en dénonçant régulièrement toute cette mascarade, en étant continuellement à l’affût même de ce qui peut paraître de l’ordre du détail, et en restant droits dans nos bottes que nous leur mettrons, je l’espère, bien vite et violemment dans le derrière.