Un escroc français !… fuyons !

montage Fillon opportuniste

On apprenait dans le Figaro du 28 octobre 2014, il y a seulement 6 mois, qu’au cours d’une émission de radio d’Europe 1, le député François Fillon expliquait : « J’ai toujours refusé de participer aux émissions que je ne considère pas comme de vraies émissions politiques, où on mélange politique et amusement », à propos d’un programme à venir auquel ont participé des politiques tels que l’ex-ministre UMP Michèle Alliot-Marie ou l’ex-député PS Julien Dray.

Il s’agissait en l’occurrence de « Politiques Undecover » (n’oublions pas l’indispensable terme anglais donnant ce côté branchouille, hype, d’un concept anglo-saxon creux et vulgaire), une émission décrite ici dans le Le Point du 15 décembre 2014.

François Fillon dénigre alors le modèle d’émissions de plus en plus présent sur les chaînes télévisées et tente d’apporter un certain sérieux à l’image de plus en plus dégradée du corps politique.

Du vent !

En effet, le 15 avril 2015, le même bonhomme se déjugeait publiquement sans sourciller (nous l’aurions vu sans problème sinon !!) dans l’émission Top Gear de la chaîne RMC Découverte, présentée par l’inélégant et pitoyable acteur Philippe Lellouche.

Rappelons-nous les paroles de Fillon : « J’ai toujours refusé de participer aux émissions que je ne considère pas comme de vraies émissions politiques, où on mélange politique et amusement »…

Top Gear, une référence en terme d’émission politique sérieuse comme chacun sait…

Magnifique !

Ce François de l’UMP ressemble à celui du PS qui est un plus grand champion du changement de direction (et qui pourtant dit « garder le cap »… allez comprendre !) et de trahison de promesses.

f5.highresCes splendides exemples de manquement à la parole donnée me font penser à deux ouvrages que j’ai découverts grâce à Jean Tulard au cours d’une émission f4.highrestélévisée sur l’Histoire de France, émission dont le nom m’échappe.

Ces ouvrages regroupent, sur une période allant de l’Ancien Régime à la Restauration, les opportunistes pour le premier et les fidèles à des convictions ou à une parole donnée pour le second : « Le dictionnaire des Girouettes » et « Le dictionnaire des Immobiles« , numérisés chez Gallica (l’un faisant 444 pages et l’autre 50… différence tragiquement banale !).

La trahison et le manque de droiture sont, on le sait, des sports nationaux pour nos politiques et pour tous ceux qui exercent une quelconque responsabilité, quelle soit syndicale (une pensée spéciale pour Édouard Martin chez Atlantico du 18 décembre 2013…) ou associative (Jean-Luc Roméro passé de l’UMP au PS, Figaro du 7 décembre 2009, ou Sébastien Chenu passé de l’UMP au FN, Figaro du 12 décembre 2014).

Merci en tous les cas à François Fillon pour la visibilité qu’il en donne.

Barbares modernes

 

montage barbarie moderne

Les derniers évènements découlant de l’expression des libertés individuelles de certains adorateurs d’une religion de paix et d’amour m’ont immédiatement fait penser à un phénomène en cours depuis longtemps sur nos propres terres françaises et basé sur le principe de la Tabula rasa : la destruction de notre patrimoine culturel et historique représenté entres autres par les édifices religieux catholiques.

Il ne faut avoir aucun doute quant aux motivations des barbares islamistes comme pour celles des barbares républicains, ces motivations découlent du même principe de destruction des livres, expliqué par  Roger Chartier (Le livre en révolutions, Éd. Textuel, 1997) : « De l’Inquisition aux nazis, la destruction obsède les oppresseurs qui, en anéantissant livres et auteurs, pensent éradiquer à jamais leurs idées. ».

Je suis scandalisé lorsque j’observe qu’à des milliers de kilomètres, de sombres crétins enturbanés s’arrogent le droit d’anéantir les oeuvres du passé, les témoins minéraux façonnés par les mains des hommes, témoins d’un glorieux passé qu’ils veulent oublier.

Avec eux, pas de fioritures, pas de détours, on s’attaque à ces perles architecturales ou sculpturales au bulldozer ou au marteau-piqueur comme n’importe quel demeuré inculte verserait de l’acide sur une perle de nacre.

Rien de surprenant venant de tels sauvages moyen-orientaux !

Par contre, ce qui est plus étonnant et risible en même temps, ce sont les postures offusquées des occidentaux qui ne disent pourtant pas grand chose à propos d’actions similaires chez eux, menées par de nombreux politiques permettant le saccage de patrimoines locaux inestimables.

Fleur Pellerin, ministre de la Culture et de la Communication (quotas de la diversité et des jolis minois obligent), déclare « La destruction d’œuvres majeures du musée de Mossoul par Daesh est une tragédie culturelle et humaine, une catastrophe sans nom pour l’histoire de notre humanité.

En s’en prenant à des chefs-d’œuvre inestimables des périodes assyrienne et hellénistique, aux collections d’un très grand musée et aux trésors du patrimoine culturel mondial, c’est la culture, qui unit les hommes et ouvre les esprits, front de résistance et rempart contre l’obscurantisme, que ces terroristes ont voulu atteindre. ».

Quel vibrant plaidoyer pour la conservation du patrimoine !!!

Mais seulement celui de l’Irak, heinnnn… car les clochers de France n’intéressent personne par contre !!!…

La réaction de Toutmou par contre n’a pas été des plus virulentes, il a doucement accusé les jihadistes de vouloir « détruire tout ce qui est humanité » d’après le Sud Ouest du 27 février 2015.

Il faut dire qu’il a sûrement du prendre l’habitude de tels agissement en étant en charge des affaires nationales depuis 2012.

Il doit être dans la confidence de cette stratégie, idéologique avant tout, d’éradication des églises de France.

Oui, il s’agit bien d’une stratégie, d’une volonté claire et nette de faire disparaître les repères les plus visibles de ce qui fait France.

Comme cela nous l’est expliqué par Contre-Info (billet du 27 juin 2013), la destruction de l’église Saint-Jacques d’Abbeville  » n’était en rien une fatalité mais un acte volontaire décidé par Nicolas Dumont, maire socialiste d’Abbeville, dont la seule motivation était de détruire l’église sans nécessité.

On y lit qu’un square remplacera désormais l’église détruite. Et que, selon l’élu, cet aménagement « à la louche […] coûtera 2 à 3 millions d’euros ». Si l’on rappelle que le budget prévu pour la démolition était au minimum de 500.000 euros (c’est le montant qui avait été provisionné par la ville), on constate que le maire envisage, sans sourciller, une dépense totale de 3,5 millions d’euros pour remplacer l’église par ce square.

Or, le devis pour la restauration de l’église établi par un architecte des monuments historiques en 2008 était de 4,2 millions d’euros. Soit une différence avec ce qui a été fait de 700.000 euros, une somme qu’il aurait été facile de couvrir par des subventions et éventuellement une souscription (voir l’exemple de la commune d’Arc-sur-Tille). »

Il y a bien une volonté idéologique et politique à la passivité manifeste de certains élus face aux dégradations du patrimoine chrétien ou à leurs initiatives destructrices aboutissant dans les deux cas à la destruction peur et simple des témoins de l’histoire de France.

Quelle tristesse d’assister impuissants aux abus de pouvoir de quelques baltringues guidés par leur idéologie et de constater, amers, les dégâts irrémédiables qu’ils causent !…

Des édifices sont non classés ou jugés sans intérêts patrimoniaux ou architecturaux par quelques fonctionnaires zélés, certes avec des compétences en la matière mais qui sont surtout poussés par des consignes économiques et idéologiques de leur hiérarchie.

Ainsi, « l’État fait néanmoins valoir qu’il ne peut tout classer. Il y a en France 45 000 églises paroissiales, dont 35 % bâties au XIXe siècle, dans leur immense majorité non classées. Des maires tirent à tort la conclusion qu’ils peuvent démolir », explique Isabelle Maréchal, chef du patrimoine au ministère de la Culture en 2013, dans Le Point du 13 aout 2013.

Or, depuis la loi de séparation de l’Église et de l’État, en 1905, l’entretien des bâtiments revient aux communes…

Ainsi, dans le Figaro du 28 mai 2012, à propos de l’église Sainte-Rita de Paris, Françoise Hamon, secrétaire général de l’Observatoire du patrimoine religieux (OPR) et ancienne conservatrice des monuments historiques, dénonce une décision «symptomatique du mépris du néogothique en France» et explique que « Sainte-Rita est une autre victime emblématique de la vague de «déconstruction» des églises en France. ». De son côté, Mathieu Ricard, architecte à Paris, s’étonne que «si des associations de riverains arrivent à collecter 2 millions pour sauver leur église de campagne, comme on l’a vu plusieurs fois ces dernières années, les villes qui ont plus d’argent et des budgets spécifiquement alloués devraient y parvenir. C’est donc bien un problème de volonté politique.».

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Cette volonté politique, ce sont les magnifiques vitraux de l’église de La Bassée (59) et le corps de son bâtiment qui en ont fait les frais et qui ont subi le pire des sorts, celui de l’indifférence.

En effet, le prétexte pour la démolition d’une grande partie de cet ouvrage fut celui, falacieux, de l’altération trop avancée des matériaux de construction et donc qu’il s’agissait d’une décision prise pour la sécurité des citoyens…

À la place, on y a érigé un immonde bâtiment moderne, aux vagues allures de casque de gladiateur Thrace,

La_Bassée_Saint-Vaast_arrierePour Philippe Boutry, président de l’université Paris-I Panthéon-Sorbonne, auteur du texte « Le clocher » dans Les lieux de mémoire, il ne fait aucun doute que « la mémoire est une construction sociale alors que l’histoire est une donnée, fondée sur des traces, des monuments ou des documents.

Pour qu’il y ait une mémoire vivante, il faut que le passé soit et demeure intelligible à une conscience moderne. La crise de la mémoire que nous traversons, et qui met gravement en péril les « lieux de mémoire » spirituelle qui nous ont été légués, est une crise d’intelligibilité collective du patrimoine religieux des XIXe et XXe siècles.

Elle entraîne en effet une grave déperdition de sens pour le village français en ce début du troisième millénaire et est inséparable d’autres facteurs de mutation rapide des sensibilités rurales comme l’affaiblissement des contraintes sociales et familiales et des réflexes communautaires, la mobilité accrue des propriétés et des personnes, la sécularisation, la privatisation et l’individuation des conduites et des pratiques individuelles et collectives. ».

On assiste donc, d’après lui et la sociologue française des religions, Danièle Hervieu-Léger, dans Le Point du 13 août 2013, à l’exculturation du catholicisme français et s’explique par un « désengagement spirituel » et est le symptôme d’une mutation profonde, qui met à mal le tissu social.

L’élimination des clochers du paysage français est bien un signe, un symbole d’une déliquescence nationale, le résultat d’actes barbares au sens premier du terme, générés par des forces étrangères à la France que ce soient les puissances économiques de l’extérieur ou que ce soient les forces politiques de l’intérieur plus citoyennes du monde que françaises.

N.B. : pour plus d’information, allez sur Patrimoine en blog et Églises menacées.

Éloge de l’autorité

Sur Atlantico, le 19 mars 2014,  Michel Erman évoque, à propos de cette stupidité de « présidence normale », le dernier ouvrage du professeur émérite de philosophie (Paris X) Robert Damien, « Éloge de l’autorité : Généalogie d’une (dé) raison politique », paru chez Armand Colin.

couverture Éloge de l'autorité

« La notion d’autorité serait-elle devenue un archaïsme dans nos catégories politiques d’individus postmodernes ?

Quand on se rappelle un de Gaulle incarnant le chef avec ses qualités de prudence et d’audace ou un Mitterrand ne négligeant pas la posture de père de la Nation, comment ne pas broncher sur le « président normal » – oxymore calamiteux destiné à amoindrir la notion de pouvoir – et se demander si, en politique, la figure de l’autorité n’est pas passée de la volonté de servir en commandant à la nécessité de diriger en (com) plaisant. Ou comment faire croire qu’entre gouvernants et gouvernés règnerait une innocente égalité plutôt qu’une altérité médiatisée par les institutions !

Sans compter que l’Europe des marchés et la mondialisation dépouillent en partie ladite autorité de ce qui fait ses vertus : l’action sur le réel et l’exercice de la puissance. Soyons un rien irrévérencieux, aujourd’hui celle-ci ne se manifesterait-elle pas plus souvent dans le pouvoir de nomination que dans le pouvoir de décision… » Dans son Éloge de l’autorité, le philosophe Robert Damien rappelle que cette dernière s’autorise moins de la force que du symbolique et de l’éthique.

L’autorité permet l’exercice d’un pouvoir qu’elle transcende, lui donnant ainsi sa légitimité dans la société démocratique où il s’agit non d’ordonner mais de convaincre. Avec cette réserve qu’elle risque toujours de paraître soit excessive soit insuffisante. C’est précisément cette légitimité et ses nombreuses défiances que le livre interroge en relisant Machiavel, Tocqueville ou Bachelard. La démocratie est indissociable d’un idéal antiautoritaire, mais les citoyens manifestent toujours peu ou prou le besoin d’être « conduits », comme le disait Tocqueville. Ils attendent d’un chef de l’exécutif qu’il soit un meneur, et ils font parfois de lui leur idéal du moi.

Comment concilier ces idéaux sans y voir le culte du désordre et celui de la servitude ? Certains répondront qu’il faut substituer à la verticalité du pouvoir et au spectre de la loi une horizontalité des délibérations et des décisions, il s’agit plus ou moins de la fameuse démocratie participative.

En contrepoint, Robert Damien réhabilite le conflit en démocratie : en suivant Machiavel, il soutient que les individus entrent en compétition pour échapper à la domination et, dans le même temps, se perfectionner, de là naît une hiérarchie juste. Si la thèse est classique, ce qui l’est moins est de faire de la règle du jeu et de l’esprit d’équipe le modèle du contrat social puis de l’entraîneur sportif celui du chef politique incarnant l’autorité. On lira à ce propos les belles pages que l’auteur consacre au rugby et dans lesquelles il rend à l’autorité acceptée son sens étymologique d’augmentation de soi. Entre la méditation et le traité, cet ouvrage, exigeant, peut se lire comme un miroir tout à la fois des princes et des citoyens. »

Probité socialiste

Encore une preuve dans un fait divers belge que les gauchistes, les socialos en particulier, sont travaillés par la sexualité à un tel niveau que cela en devient une belle démonstration de leurs travers.

Ils sont les instigateurs, avec l’aide hypocrite de la droite molle libertaire, d’une société hypersexualisée, les responsables d’une décadence qu’ils appellent à la fois modernité et tolérance.

Sous prétexte d’humanisme (le totem suprême, sorte d’ultime frontière philosophique),de libération de la femme, de liberté individuelle, d’ouverture d’esprit, etc, ils ont créé un frankenstein, créature du relativisme et de l’hédonisme, fait de bouts de pornographie, d’infidélité, de parodie de mariage pour invertis, de nudisme, de distribution de pilules abortives à des mineurs sans l’aval parental, d’exhibitionnisme, de publicités porno ou érotico-chics, d’assouplissements législatifs sur l’avortement,… et j’en passe !

Leur tolérance absolue n’est rien d’autre qu’un aveu flagrant d’absence de convictions, de morale, voire l’explication d’un profond désir d’acceptation, par une majorité de la population, de leurs propres déviances.

Ainsi, nous apprenons à propos de Jean-Charles Luperto, politicard socialiste belge que « la qualification retenue par le montage Jean-Charles Lupertoparquet est l’outrage public aux mœurs en présence de mineur(s) de moins de 16 ans » confie Vincent Macq, le procureur du Roi de Namur (source : SudInfo.be du 11 novembre 2014). Il est accusé de s’être masturbé en public, 4 plaintes ont été déposées…

N’y a-t-il pas un progressiste pour s’insurger sur la liberté individuelle et le désir sexuel des 12-16 ans ??!!!…

N’y a-t-il pas un tolérant avant-gardiste à la Cohn-Bandit (Dany ou Gaby) pour nous expliquer que les notions de moeurs ou de mineurs étant relatives (tiens… un terme qui  n’est pas inconnu…), il faut immédiatement abandonner cette qualification juridique rétrograde d’un autre temps, celui d’un patriarcat obsolète ??!!!…

En attendant, ce « […] ce jeune homme raffiné et râleur à ses heures n’a jamais dépassé le statut d’éternelle promesse. » comme le confie Vincent Rocour de La Libre.be, site d’informations belge, le lundi 10 novembre 2014, et que « toujours tiré à quatre épingles, homosexuel assumé, le jeune homme dénote un peu parmi les socialistes. »

Oula… « homosexuel assumé »… ça sent l’indignation généralisée des bonnes âmes qui vont s’insurger (le père Hessel sera fier dites donc !) contre les possibles amalgames, qui vont dénoncer un climat homophobe ambiant (sûrement la faute à Zemmour ou Dieudonné…),… Gageons que les lobbies LGBT seront à l’affût de la moindre expression négative quant à cette affaire et à l’orientation sexuelle de cet élu équilibré, qui n’est pas différent des autres (sic).

Il dénote… en quoi ? est-ce son raffinement trop visible ? son caractère versatile digne des plus grandes capricieuses ?… son orientation sexuelles revendiquée, voire utilisée comme carte de visite ?

Ne le stigmatisons pas, voyons !

Même si la présomption d’innocence est un fait, il est évident qu’il n’y a pas de fumée sans feu (vieille rengaine souvent vérifiée) et qu’il paraît curieux que, sur plusieurs centaines d’élus belges, un innocent soit montré du doigt par erreur…

De toutes les manières, il était bien dans ces toilettes sordides de station-service comme le confirme son avocat, Marc Preumont, pour des rencontres d’invertis (d’ailleurs, l’avocat s’escane en prononçant « communauté gay » !! hilarant !) : juste cette présence reconnue dans un tel endroit scabreux sur une aire d’autoroute est pitoyable, indigne d’une personne aux affaires publiques devant montrer la voie (si je puis me permettre…).

Et voilà que môssieur, sachant que la meilleure défense est l’attaque, sort les grands mots pour embobiner son monde, il sort le phrasé de celui qui est bien rodé aux éléments de langage à la mode : « Ces décisions n’impliquent de ma part aucune reconnaissance d’une quelconque culpabilité pénale et j’estime pouvoir bénéficier, comme tout citoyen, de la présomption d’innocence, garantie démocratique de notre état de droit »…

Mais bien sûr ! Tu ne reconnais rien… avant qu’un politique reconnaisse quelque chose, il faut qu’il soit au bord du précipice !

Bref…

Ce garnement n’en ai pas à sa première déconnade puisque cette « éternelle promesse » n’avait pas hésité à menacer anonymement le bourgmestre de Jemeppe-sur-Sambre, Joseph Daussogne, le 21 juin 2007, en envoyant sur son téléphone portable un message l’insultant et lui disant que sa maison allait être incendiée (source : article « Levée de l’immunité pour Jean-Charles Luperto » de 7sur7 du 1er octobre 2008).

Pourtant, « il est alors bien dans les papiers du président du parti Elio Di Rupo. » (source : Libre.be du 10-11-2014).montage Luperto Di Rupo

Tiens… un autre atout de la Belgique !

Il faut croire qu’ils n’aiment que le haut niveau là-bas…

Dans un royaume qui a eu à sa tête, l’autorité morale et exemplaire, Albert II, aux prises avec une affaire d’enfant adultérin (Paris Match du 26 septembre 2014), la probité a du plomb dans l’aile !

Ils ont un sacré choix avec Elio Di Rupo et sa tête de salace à noeud papillon à qui l’on ne confierait pas ses gamins (oui, je fais du délit de faciès mais non, je ne fais aucun amalgame entre homosexualité et pédophilie !!… d’ailleurs, il a été blanchi paraît-il…), avec Guy Coëme (2 ans avec sursis), un autre socialiste exemplaire condamné comme les vertueux du PS belge Willy Claes (3 ans avec sursis) et Guy Spitaels (2 ans avec sursis) dans l’affaire Augusta-Dassault relatée par l’Express du 9 mars 1995.

Il y eut avant lui Guido_Verhofstadt_die_30_Martis_2012une autre belle tête de vainqueur (là aussi, délit de faciès… je suis incurable !) en la personne de Guy Verhofstadt (ci-contre), un port digne des grands leaders, des charismatiques guerriers…

Lui, par contre, est un des rares à ne pas tremper dans des histoires de corruption (pour l’instant ?) mais ce sombre rongeur des valeurs traditionnelles et sensées de notre civilisation, qui n’a aucun souci financier à se faire (depuis mai 2012 il est, pour une durée de trois ans, administrateur indépendant du holding Sofina10. Il est également administrateur du Fonds de Pension néerlandais APG et de l’armateur Exmar. Ces trois mandats lui rapportent des revenus bruts respectifs de 130.000, 42.840 et 60,000 € en 2013 : c’est beau le socialisme !) et qui ose appelée sa nouvelle fondation « ceci n’est pas u ne crise » contre les nauséabonds replis identitaires, est entre autres à l’origine de la légalisation de la parodie de mariage des invertis, combat les souverainetés nationales en militant pour une Europe plus forte et condamne les démantèlements des camps de roms en France (camps qu’il n’a pas près de chez lui, bien entendu !).

Que dire de Patrick Moriau (PS), finalement reconnu en janvier 2007 coupable de faux et usage de faux dans une affaire de financement occulte de son parti (mais vu l’ancienneté des faits, il n’avait toutefois écopé d’aucune sanction… tiens donc !!..) et en 2011, il était rattrapé par une autre affaire, celle du projet immobilier CittaVerde à Farciennes qui lui vaudra d’être inculpé pour corruption passive. (source : Le Soir du 20 juillet 2013).

La liste est longue des donneurs de leçons socialistes dégueulant les mots d’égalité, de tolérance, de progressisme à tout va et qui n’ont pas plus de morale et d’honneur qu’un Ganelon (Georges Rovillard, Jacques Van Gompel, Jean-Claude Van Cauwenberge,…).

Tous ces salopards peuvent faire les pires actes, il suffit qu’ils s’excusent, comme a pu le faire Anne-Marie Lisier Lizin la présidente socialiste du Sénat en 2005 (La Libre.be du 12 mars 2005), ou qu’ils passent un coup de fil pour qu’ils ne soient pas inquiétés alors que les pauvres bougres réactionnaires comme moi seraient déjà en prison !!!

Ne parlons même pas de l’affaire des tracts à Huy en 2011 de la mère Lizin (source : 7sur7 du 31 mars 2011)montage Anne-Marie Lizin qui l’a fait condamner à 1 an avec sursis en 2013 (source : La Libre.be du 29 novembre 2013)…

Non mais regardez moi cette cabine de truie qui doit traquer à ses heures perdues les xénophobes, les homophobes, les europhobes de tout poil !!! Quelle exemplarité !!!

Et après cela, le « tous pourris » serait du populisme (ce qui n’est pas un gros mot !) ? serait un fantasme ?

Toutes les fientes sur pattes qui nous invectivent en nous faisant passer pour des complotistes décérébrés, je les conchie, je les vomis.

Pour revenir à notre éternelle promesse, à notre étoile montante du PS, et son « canular » téléphonique : « […] les choses se gâtent en 2007 à cause d’une blague de potache qu’il joue à Joseph Daussogne, le bourgmestre de la commune voisine de Jemeppe-Sur-Sambre. Sur un ton menaçant, Jean-Charles Luperto annonce à sa victime que sa maison va brûler. Jospeh Daussogne trouvera la blague tellement glauque qu’il portera plainte contre le député wallon devenu également bourgmestre de Sambreville en 2006. Il se chuchote que cette plaisanterie d’un goût douteux lui a coûté un poste de ministre en 2009. Le perchoir du Parlement de la Communauté française qui lui est confié à la place le consolera à peine. » (source : Libre.be du 10-11-2014).

C’est dire le niveau du gugusse et la valeur de sa conscience politique !!!

Cette interpellation pour exhibition et la mise en lumière de ce scandale ont en tous les cas un côté positif : il semble rester a priori quelques onces de bon sens à un peuple belge dont les politicards décadents ont adopté tous les standards idéologiques dissolus d’un Occident à la dérive !

Barbet breton

Le Barbet, à l’origine de la race des Caniches, était très apprécié auprès des Grognards de la Grande Armée de Napoléon 1er.

Le Barbet breton Urvoas de la première circonscription du Finistère souhaiterait apparemment devenir le favori du grognard hispanique prétentieux de François Normal 1er dont la popularité a pris un coup de mou (Le Parisien du 24 août 2014).

Suite à la énième fanfaronnade du pédant Montebourg dans Le Monde du 23 août 2014 (la critique de la politique économique des bouffons au pouvoir est justifiée mais il faut prendre les décisions et les initiatives adéquates lorsque l’on est en position de le faire plutôt que de jacasser devant les caméras sachant pertinemment que l’on perdra alors les moyens d’action pour contrer une telle politique économoue désastreuse ! Quand on appelle à « hausser le ton », il faut en avoir les moyens…), à laquelle s’est associé le pitchoun Hamon apprend-on dans Le Parisien du lendemain, Urvoas a sauté sur l’occasion pour montrer de façon bien visible sa fidélité à son maître.

Il déclare le même jour au micro de Bourdin sur RMC lorsque ce dernier lui demande si les deux ministres doivent être sanctionnés :  « Je crois que oui. Je souhaite qu’ils le soient (…). Dans le code de la route, lorsqu’on franchit la ligne jaune, il y a amende ou retrait de permis (…). C’est le Premier ministre, en accord avec le président, qui décidera. On ne devrait pas attendre trop longtemps pour savoir » après avoir sèchement critiqué l’expression publique politique, la qualifiant de « navrante » (à partir de 0:43)… et sur ce point, tout le monde s’accordera à dire qu’il a bien raison !!

Le Figaro du 25 août 2014 rapporte en outre que, d’après le servile Urvoas,  « l’autorité de Manuel Valls a été mise en cause. Il doit décider de la sanction. (…) Montebourg et Hamon doivent être sanctionnés. » et il rajoute « il y a un manquement dans le sens de la collégialité, ça ne peut pas passer comme une lettre à la poste ».

Un sacré bon coup de lèche somme toute puisqu’il me semble que Valls ou Le Foll, actuel porte-parole du gouvernement, sont assez grand pour mettre les pendules à l’heure hollandaise sans avoir recours à la parlote bretonne.

montage Valls Urvoas
Cazeneuve dhimmiForce est de constater tout de même que le Barbet qui nous préoccupe maîtrise bien la flagornerie afin de faire carrière puisqu’il en avait déjà usée avec le dhimmi immigrationniste Cazeneuve en avril dernier lors du remaniement ministériel. En vain… mais il sait se placer le bougre !

Urvoas tweet Cazeneuve avril 2014

Urvoas sait très bien ce qu’il veut, un poste de ministre sinon rien, pas même secrétaire d’état ! Lui qui était pressenti pour faire partie du premier gouvernement Valls et qui n’a pu obtenir satisfaction espère bien prendre sa revanche.

Verdict aujourd’hui… et finalement, le Barbet n’a pas eu son nonos !…

En tous les cas, cette tête d’ampoule ne brille pas par son expression publique qui, elle aussi, est navrante voire pitoyable. En effet, ses différentes sorties n’ont pas brillé par leur intelligence.

Tout d’abord, lors de l’affaire Merah, Le Parisien du 22 mars 2012 révélait le « couac » du parlementaire à la rose dont le tweet était qualifié par Éric Ciotti de honteux, indigne et grotesque.

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Un témoignage édifiant sur l’impulsivité et la bétise des politiques à l’affut de la moindre actualité pour faire le « buzz » et faire le malin, avant de se rétracter, s’excuser ou d’essayer de sortir des théories fumeuses sur les « phrases sorties de leur contexte », le » manque de place ou de temps pour donner des explications précises » ou ‘l’usage de simplifications malheureuses »…

Ensuite, après avoir manqué de respect au RAID, il s’attaqua un an après à un autre corps d’élite français (élite française dont il est loin de faire partie !) lorsqu’il crut remplir une mission essentielle de salut publique en tant que bon chasseur de nazis ou fascistes ou extrême-droitiste, au choix, en dénonçant le 4 août 2013 sur son blog, comme tout bon collabo qui espionne ses semblables,  la mise en ligne sur le portail virtuel de la légion étrangère d’un cliché illustrant un billet sportif.

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Par des raccourcis imbéciles et la bétise idéologique habituelle de tout bon gauchiste consistant à assimiler toute croix celtique à un symbole d’extrême-droite (et même si cela était le cas, y aurait-il un problème avec la liberté d’expression individuelle par le tatouage ??!!…), il arriva à faire changer cette photo de part la pression politique qu’il réussit à exercer par sa dénonciation. Un breton indigne de son héritage culturel que dénonça Danielle Roméro dans l’Union Républicaine du 9 août 2013.

Vous avez dit censure ????…. meuh non, mon brave, pas de censure chez les socialo !
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À ce propos, un caporal-chef avait adressé au dénonciateur un lettre pas piquée des vers, lettre destinée aussi à tous les incompétents de gauche en général que Nouvelles de France du 9 août 2013 mettait en ligne.

Carine à l’époque rappelait justement ce que sont triskell et croix celtiques dans un billet, nécessaire mise au point.

Pour revenir à l’olibrius du moment, il fut à l’origine d’un bel exercice de propagande et de manipulation des esprits à l’aide des médias à propos des chiffres concernant la délinquance en France.

Passons sur le classique « sous la droite, c’était pire » (ce que sait très bien éructer aussi la droite dans l’autre sens!), Urvoas le cynique se félicite que les violences aux personnes aient diminué alors que la journaliste aborde le phénomène de l’explosion des cambriolages perpétrés par la mafia d’Europe de l’Est, ne pas répondre directement à la question posée par la belle Windy Bouchard (houla… la gestapo féministe risque de me tomber dessus ! aurais-je fait un tel commentaire pour un homme ??!… non bien entendu, n’étant pas un inverti) est un exercice de contorsion politique qu’il réussit à merveille mais relève d’une incorrection exemplaire.

Ce qui est sûr, c’est qu’il n’a aucun scrupule à tordre la réalité en n’évoquant que des parties des chiffres de la délinquance en France. Il est possible de faire dire tout et son contraire à une base de données chiffrées selon le prisme politique ou idéologique utilisé. Mais seules la réalité et la vérité comptent.

Certes les atteintes aux personnes ont baissé d’après la Police Nationale mais pas d’après les services de gendarmerie qui ne constatent que des hausses tant en homicides volontaires qu’en tentatives d’homicides ou en violences sexuelles (ces dernières ne baissant pas non plus selon les données policières… ce qui peut nous interpeller quant à un autre sujet, celui de l’hypersexualisation de notre société et son impact sur les comportements individuels).

Force est de reconnaître que dans l’ensemble des atteintes aux biens et aux personnes, les pourcentages sont à la hausse !

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Il ose dire : « quand on mène uns action, elle porte ses fruits »… mais de quelle action parle-t-il précisément ? de qui se moque-t-il ?!!!… Je donnerai beaucoup pour l’avoir comme sparring-partner à ce moment là !!!

Plutôt que de rouler des mécaniques à la radio, surtout lorsque l’on est taillé comme une allumette, Urvoas le baratineur ferait mieux de s’occuper d’un thème chers à ses administrés, la délinquance dans le Finistère, car les chiffres ne sont pas bons selon Ouest-France du 28 janvier 2014.

Au lieu de fanfaronner sur les plateaux parisiens, ce politicard devrait se pencher sérieusement sur ce qui se passe chez lui avant de tomber des raisonnements à deux francs au niveau national, surtout qu’il avoue lui même dans le JDD du 3 avril 2011 : »La sécurité, c’est même pas un sujet à Quimper, je n’y connais rien. ». Désespérant baltringue !!…

délinquance Finistère Ouest-France 28-01-2014

Nous sommes bel et bien en présence d’un menteur qui transforme la réalité comme tout bon gauchiste.

Le déni est leur spécialité ! Déni du grand remplacement, déni de ce qu’est un homme et une femme, déni du mariage,…

Il est bon de savoir aussi que ce même monsieur osa publiquement déclarer qu’il séchait une partie des heures qu’il doit à la nation sous le faux prétexte de débats indignes lors des questions d’actualité à l’Assemblée, temps qu’il doit tout simplement effectuer en raison de ses fonctions, comme si l’ouvrier à la chaîne pouvait lui choisir de ne pas se présenter à tel ou tel moment à son poste !!!….

Ce menteur est donc aussi un branleur payé par nos soins.

Il s’essaie en plus au petit kapo jouant la fermeté face au sénat à propos de la réforme territoriale dont l’importance est pourtant loin d’être négligeable et les impacts à court et moyen termes catastrophiques pour de nombreuses régions, réforme qui n’est décidément pas urgente et je dirai même, pas nécessaire, quand on sait les nombreux problèmes préoccupant les français actuellement qui sont tout autre !

Finalement, ce président de la commission des lois (rien que ça !) ne voit aucun inconvénient à se passer de l’avis du Sénat alors que le débat au sein de cette institution fait partie intégrante du processus démocratique si cher aux socialistes et aux gauchistes en général.

Pour finir, Urvoas détient aussi la casquette de « monsieur sécurité » du PS (au secours !!…) et démontre une fois de plus, dans un article du Point du 4 juillet 2013, toute son incompétence et sa propension à la propagande et au mensonge. Ses déclarations qu’il avait faites au Monde le même jour ont été mises en pièces sur le site Reflets.com le lendemain, expliquant pourquoi monsieur sécurité racontait n’importe quoi, alors que le député breton venait à nouveau de fanfaronner sur twitter.

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D’ailleurs, il semble pratiquer le tweet de façon régulière, c’est dire qu’il est débordé…

À présent, il serait bon que le Barbet breton file à sa niche et qu’on ne l’entende plus ! Couchez JJ ! Couchez !

Recadrage

Rappelons deux, trois bricoles à tous les gauchistes qui font la morale à tout bout de champ et qui font de la chasse aux  fantasmagoriques nazis, une priorité nationale, que c’est l’hôpital qui se fout de la charité.image008

Au lieu de crier au retour de la bête immonde, les bêtes faisant d’ailleurs partie du bestiaire mythologique relevant de l’invention pure et simple, tous ces effarouchés pour pas grand chose, tous ces traumatisés du vote populaire, de l’expression du ras-le-bol des marionnettes politiques installées là depuis trop longtemps (comme l’explique clairement l’Amiral) feraient bien de proposer plutôt des solutions à la crise, au chômage, au grand remplacement des populations européennes, aux chocs des civilisations,…

Au lieu de cela, les médias complices relaient indéfiniment les agitations du chiffon rouge brun des politicards sans imagination et soucieux que d’une chose, leur poste et leur rémunération. La situation est grave, très grave, c’est un choc, un séisme pour la maçonnerie, il faut un sursaut républicain face à l’expression du peuple… du grand guignol !nrh-581

Là encore, au lieu de se poser les bonnes questions, on cherche un bouc-émissaire pour occuper les esprits vides des gauchistes, on cherche à stigmatiser une grande partie de la population française en faisant appel à des méthodes éculées, des artifices ridicules faisant appel aux HLPSDNH (j’aime bien utiliser le vocable gauchiste…).

Donc, pour faire clair, et pour rétablir une vérité historique comme d’autres l’ont fait avec plus de talent, voilà de qui sont les héritiers chasseurs de la bête immonde… sûrement de l’Action française, l’extrême-droouuaaaate la plus terrible, qui fut la première à lutter contre les allemands et Vichy.

Ainsi, Pierre Laval, le plus célèbre des collabo, brilla dans les rangs de l’extrême-gauche révolutionnaire avant d’être élu en 1914 député socialiste d’Aubervilliers et de devenir maire de cette cité ouvrière en 1923, mandat qu’il conservera jusqu’à la Libération.

Réformé pendant la Grande Guerre (bravo l’athlète, le guerrier !..), il ne cesse de militer en faveur d’une paix de compromis, vu son potentiel pour lutter physiquement, réellement, c’était une lutte militante plus à sa portée !

Après le conflit, il quitte la SFIO (le parti socialiste de l’époque) et se fait réélire sous l’étiquette de socialiste indépendant en 1924, lors des élections qui voient la victoire du Cartel des Gauches. Il devient ministre de la Justice dans le gouvernement de gauche de Briand, en 1926, et ministre du Travail dans celui de Tardieu en 1930.

C’est dire si à Vichy, il n’y avait pas plus socialiste que Laval !!!

Il y a eu beaucoup d’autres gauchistes à l’origine de la collaboration ou pour être à son service comme l’ami de Laval, le communiste Doriot (secrétaire des Jeunesses communistes, maire de Saint-Denis en 1930, au PCF de 1928 à 1934, date de son exclusion pour avoir créer un comité… antifasciste !!! quelle farce…) ou Déat (secrétaire d’Etat au Travail dans le gouvernement de Pierre Laval (adhère au PS en 1914, secrétaire général du parti socialiste de France-Union Jean-Jaurès en 1933, ministre de l’Air du gouvernement Sarraut en 1936).

Pour des informations complémentaires, allez voir par-là.

Doriot hurle dans la vidéo qu’il veut le redressement de la France (tout comme d’autres qui avant de parler de redressement parlaient de changement…), il hurle comme Valls qu’il veut que la France conserve son rang de grande puissance européenne,… je fais à tous les coups des parallèles nauséabonds…

En tous les cas, voici un excellent livre que je me suis procuré et dont Zemmour fait l’éloge dans la vidéo : Le Paradoxe français de Simon Epstein, né en 1947 à Paris, qui est un économiste et historien israélien qui vit à Jérusalem depuis 1974 où il est professeur et chercheur à l’Université de Jérusalem.paradoxe-francais

Divine gamelle

Hollande rock&roll

La réacosphère regorge de talents et il serait plutôt fastidieux de leur rendre un hommage à chacun, mais il y en a un que je lis depuis un certain temps, pour ne pas dire un temps certain, dont l’efficacité des articles n’a d’égale que leur sobriété, c’est dire !

Pas de fioritures, on va à l’essentiel avec de solides références : c’est du  Hoplite quoi !

Si, aujourd’hui, j’ai décidé de le saluer d’un chapeau bas, c’est en raison de ma découverte d’un média que j’ai rajouté à la liste de liens de ce blog : Économie matin, site d’information original de part la forme avec ses photographies associées à des valeurs numériques et de part le sérieux du contenu élaboré par une jeune équipe ne répondant pas (pour l’instant…) aux diktats sociétaux actuels.

Certains y verront peut-être une quelconque flagornerie : ils seront dans l’erreur ! Ceci étant dit, j’ai été interpelé par l’excellent montage ci-dessus (que j’ai odieusement copié comme un sale troll, j’espère qu’il ne m’en voudra pas…) et par l’article connexe « Révolution et guerre civile sont à nos portes ! », rédigé par Charles Sannat, auteur de la fameuse découverte médiatique.

Voici des extraits de cet article qui concordent assez avec la terrible mais non moins justifiée gamelle du Flamby dégoulinant :

(…) « Ce n’est pas l’erreur d’un homme mais d’un système, celui du système de gôche et du parti socialiste.François Hollande et l’ensemble des caciques du PS ont voulu croire qu’ils avaient été portés au pouvoir par un vote populaire d’adhésion. Or cela est faux. Parfaitement faux.
Reprenons les événements. Nicolas Sarkozy a excédé une grande partie de la population française et de son électorat traditionnel y compris de droite non pas tant en raison de sa politique économique que de son attitude et de sa tenue médiocre, pour ne pas dire inadmissible (l’épisode du jeune prince Jean président de l’Epad par oukase de son papa maréchal-président de la République de droit divin française).
Souvenons-nous du Sarko-bashing, souvenons-nous de l’impopularité de notre ex-président. Finalement, il sera battu, mais le score de François Hollande ne révèle pas du tout un score d’adhésion massive du peuple de France à son projet (si l’on peut parler de projet). Non, François Hollande n’a pas été élu pour ce qu’il est mais a été élu pour sanctionner Nicolas Sarkozy.
Tous les dirigeants socialistes ont très vite été frappés collectivement d’aveuglement volontaire sur ce sujet. Personne n’a voulu voir. Aucun journaliste n’a voulu faire savoir tant, disons-le, le bonheur et la félicité d’avoir enfin un gouvernement de gôche au pouvoir étaient grands.
C’est ce phénomène, une évidence, qui explique pourquoi une région comme la Bretagne, ayant massivement voté socialiste (à plus de 60 %) il y a à peine 18 mois, réclame désormais en hurlant fourches à la main et pelleteuses au volant : « Hollande démission ! » (…) ».

(…) « Englué dans sa dialectique cucul-gnangnantiste, prenant la parole un samedi après-midi à 15h00 pour une Léonarda et faisant juste un communiqué pour la mort de deux journalistes (pour lesquels on en fait un peu trop soit dit en passant, ce qui ne retire rien au drame et à la douleur de ces familles endeuillées), prisonnier d’un politiquement correct mortifère, lié par une extrême gauche autiste et au pouvoir de nuisance inversement proportionnel à son poids électoral, otage des écologistes dont la doctrine politique tient désormais plus de la religion et de la croyance que du simple bon sens et du réalisme de base, et enfin bloqué de toute part par un peuple au bord de l’explosion et de la révolution, ou pour être plus précis par des peuples tant notre pays n’a jamais été autant et aussi fracturé qu’aujourd’hui. (….) ».

(…) « Nous voyons déjà le ras-le-bol et la tentation révolutionnaire qui monte alors que nous n’en sommes qu’au début de la rigueur. L’année prochaine, en 2014, notre gouvernement devra, pour tenter de maintenir « sa trajectoire », trouver plus de 60 milliards d’euros… C’est une mission tout simplement impossible sans saigner le breton… et tous les autres !
Montée du Front National dans des proportions jamais vues, montée du rejet fiscal, montée du chômage, montée des tensions sociales, montée de la délinquance, des vols et des rapines en tous genres, montée des tensions entre productifs et improductifs, et pour finir montée évidente des tensions interethniques sur fond de rejet de l’islam.
Ces plusieurs « France » ne se parlent plus. Imaginer qu’il s’agit uniquement d’une politique consistant à diviser pour mieux régner est un peu naïf ou en tout cas totalement dépassé par la réalité.
La France n’est pas divisée, elle est fracturée et c’est beaucoup plus grave, avec des communautés qui ne se reconnaissent plus et l’absence d’appartenance à un tout national.
Je ne sais pas si le mouvement breton actuel sera le catalyseur pour un mouvement d’ampleur nationale et cela n’a aucune importance. Historiquement, le fait déclencheur des révolutions est le plus souvent anodin.Souvenez-vous de ce petit épicier du sud de la Tunisie qui s’immole par le feu… mettant le feu à tous les pays du nord de l’Afrique.
Ce qui est sûr, c’est que notre pays est dans un état insurrectionnel avéré, fracturé, brisé, cassé, que plus grand-chose ne fonctionne et que nos dirigeants sont totalement dépassés par la situation.
Et comme en 1789, le roi prendra la fuite, mais cette fois-ci inutile de partir en calèche. Normal 1er, dernier roi des cons, s’envolera en hélicoptère si tant est qu’il trouve encore un militaire acceptant de le piloter tant il en vire ces derniers temps.
La révolution est en marche et rien ou presque ne l’arrêtera. La France n’est pas la Grèce, ni l’Espagne, ni l’Italie et la fin de l’Europe et de l’euro viendra de la France. C’est la France, deuxième puissance européenne, qui lorsqu’elle craquera fera craquer tout l’édifice européen.
Et c’est exactement ce qu’attendent les Allemands qui ne rêvent que de retrouver leur deutschemark, mais qui, pour des raisons historiques compréhensibles, ne veulent pas être à nouveau à l’origine d’une forme de destruction (sans doute salutaire à terme) de l’Europe.
Préparez-vous donc, et Monsieur le Président… tremblez ! »

En parlant de ras-le-bol et d’exaspération, notons au passage la réalité de ces mots illustrée par la côte de popularité en chute libre de celui qui n’est pas mon présidentpas mon président
Même ceux du camp du Bien ne peuvent que constater la lamentable gamelle qui démontre la nullité patente du mollasson tenant le rôle de « chef » !

Et même si, comme je l’expliquais , il ne faut pas trop se baser sur les sondages tel qu’ils sont réalisés aujourd’hui, en se fiant aux faits (mécontentement généralisé avec des bonnets rouges en furie, avec des sifflets le 11 novembre, avec des appels à la grève de l’impôt, avec le ras-le-bol de l’armée au budget ratiboisé,…), il est clair que l’on peut dire que Culbuto Ier ne peut plus gouverner la France, qu’il est à deux doigts d’en perdre la tête !!…
montage 15%

« Est-ce que l’on peut gouverner avec 15% d’opinions favorables ? » demande Bruce Toussaint sur I-Télé.

« Non ! » répond clairement la sénatrice PS de Paris Marie-Noëlle Lienemann 201346_popularite_hollande qui explique : « Il est temps qu’il y ait un sursaut à gauche, euh… le président doit prendre une initiative majeure, il doit renouer un pacte avec les français et singulièrement avec ceux qui ont fait son élection. Il doit donc, et changer de politique et, euh… de configuration de sa majorité. Nous avons besoin de rassembler toute la gauche autour de euh… de grandes réformes qui prennent appuis sur les engagements qu’avait présenté François Hollande aux français : réforme fiscale, relance de la croissance avant, euh…, de s’attaquer au déficit, euuuhhh…, soutien à la création d’emplois, redressement économique et industriel, lutte contre les délocalisations, bref…l’essentiel de ce qui avait fait le discours du Bourget et la campagne électorale. »

(…) « Il (elle ne fait pas la négation…) s’agit pas de faire du colmatage de brèche lorsque l’on a atteint ce seuil de difficultés politiques ! »

(…) « C’est un problème de choix stratégiques que le président de la République doit proposer désormais. »

Si j’ai bien suivi, François le couard qui s’aplatit devant une romano mineure, doit renouer un pacte… comme s’il en avait déjà nouer un avec les français !!… il n’a tenu aucune de ses promesses sérieuses et utiles pour la France (si tenté qu’il n’y en ai jamais eu !!!), il n’a fait passer que des lois impopulaires, stupides et vaines n’ayant aucun impact sur la dette, sur l’emploi, sur la croissance,…

Toutes les réformes importantes à réaliser dont parle la sénatrice sont restées lettres mortes car en restant dans l’Europe, en continuant d’être à la botte du FMI, des États-Unis et des multi-nationales, il ne peut avoir aucune influence sur la politique intérieure. Comment lutter contre les délocalisations qui ne sont que les symptômes de la mondialisation qu’il promeut et du libre marché, de l’offre et de la demande ??…

Dans une même phrase, cette élue démontre l’insoluble dilemne et tous les paradoxes du « toutou de Valérie » qui est d’un amateurisme et d’une incompétence hallucinante.

Cette sénatrice conclue en confirmant que les « élus » du peuple ne sont pas là pour le bien de la France, ne sont pas là pour faire des choix courageux et salvateurs pour la nation mais précisément des choix stratégiques, c’est-à-dire électoralistes puisque nous ne savons que trop bien qu’il ne s’agit pas pour eux d’une vocation, d’un don de soi au service de sa patrie mais d’un métier, et qu’il faut, à tout prix, garder sa place et ses privilèges le plus longtemps possible.

Surtout, pas d’amalgames !

En me baladant du côté du torchon gauchiste Huffington Post appartenant au groupe Le Monde (tiens… comme c’est étrange…) alors que je réalisais quelques recherches pour mon billet « Convictions solubles » àvenir, je suis tombé par hasard sur un article concernant un rassemblement de néo-nazis vers Perpignan.

Bizarrement, juste après l’article, une petite vidéo est proposée sur la « nébuleuse de l’extrême-droite » avec comme image fixe celle de Marine Le Pen et son père. Je ne suis pas un adepte de ce dernier et je ne suis pas encarté au front mais force est de constater qu’ils ne disent pas que des inepties !

HuffingtonPost Nazis FN

Je trouve vraiment curieux que les chantres du combat contre la stigmatisation et les amalgames soient les premiers à user des méthodes qu’ils condamnent en associant sur une même page du net « néo-nazis » et « front national » !

Pour de nombreux sujets, les gauchistes hurleront « surtout, pas d’amalgames !! » mais là, pour le parti honni… il n’y a aucun problème, le rapprochement est évident lorsque l’on est des adeptes inconditionnels des points Godwin comme Pierre Bergé (multimillionnaire pas forcément emballé par les 75% d’imposition pourtant a priori dans un logique égalitaire, principal actionnaire du Monde avec Xavier Niel de Free et Matthieu Pigasse des Inrockuptibles qui fut accessoirement patron d’Audrey Pulvar  et puissant soutien de Hollande et du PS durant la campagne présidentielles avec à la clé un mandat de conseil polémique, ancien propriétaire du magazine inverti Têtu racheté par un proche de Hollande, Jean-Jacques Augier, inverti notoire… comme quoi, la nébuleuse n’est pas toujours là où on la croit ou, en tous les cas, les liens sibyllins sont bien fortement ancrés à gauche !!) qui a déclaré vendredi 25 janvier 2016 sur BFM TV chez Ruth Elkrief que les opposants à la dénaturation du mariage et au droit à l’enfant représentaient « un humus antisémite, antigay » et d’enchaîner sans sourciller :« 
chacun a son bon pédé comme chacun a son bon juif »… (à partir de 2:04 sur la vidéo d’Alain Soral)

https://www.youtube.com/watch?v=dfx9ZS60Il0

ou Christian Assaf (député PS) à propos des « triangles roses » lors d’une intervention à l’assemblée nationale le 30 janvier 2013 en faveur du mariage guignol (point Godwin sous-entendu avec cet antisémitisme nous rappelant nos HLPSDNH…)