LA LOI SUR L’OBLIGATION VACCINALE EST ABROGEE PAR L’ASSEMBLEE NATIONALE MALGRE LES MACRONISTES | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE

Un sacré camouflet pour le présipède et ses laquais !
« La proposition de loi du député du groupe à majorité communiste Jean-Victor Castor (Guyane) a été adoptée par 157 voix contre 137, avec le concours des différents groupes d’opposition, contre l’avis du gouvernement« . (cf. Le Figaro du 04/05/2023)
On peut donc revenir sur une loi inique… donc pourquoi pas revenir sur une loi décadente comme celle du mariage guignol de 2013 ??!!!

Politique émois et moi

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ARTE évoque les terribles conséquences de la « vaccination » anti-Covid. Enfin… (vidéo 31:48)

ANTIDOTES

On passera sur les minimisations du genre « il fait partie de l’infime partie de la population » souffrant des conséquences de la vaccination.
Contentons-nous de prendre acte que, petit à petit, le coin du voile se lève. Malgré l’omerta entretenue sur le sujet par le corps médical – le sujet est clairement abordé dans ce reportage -, il ne sera pas possible de dissimuler éternellement le désastre sanitaire en cours. A faire largement circuler sur les réseaux sociaux. (NDLA)

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Maltraitance covidiste

Et ça continue encore et encore… c’est que le début, d’accord, d’accord !

Nous nous doutions depuis longtemps de l’inutilité, voire de la nocivité, du masque chirurgical pour les enfants, et ceci était déjà pointé du doigt par les spécialistes de l’enfance et l’OMS en 2021. Le Dr Nicole Delépine, pédiatre, oncologue et ancien Chef de service à l’AP-HP, confiait, dans un article du 18 juin 2021 d’Aurélie Blaize dans Le journal des femmes, que « s’il dure plusieurs mois (le port du masque) peut avoir beaucoup de conséquences chez les enfants : il y a une perte de facultés respiratoires du coup les enfants somnolent, ne retiennent pas bien en classe. Certains ont la sensation d’étouffer. Le port du masque a des conséquences cognitives, sur leurs capacités d’apprentissage, d’écoute, d’attention. Il y a aussi les troubles cutanés (peau sèche, eczéma par exemple), des nausées chez certains enfants, et des maux de tête liés à une diminution d’oxygène et à l’augmentation de gaz carbonique. Sans oublier que le masque est un milieu de cultures énorme en particulier en ce moment où il pleut. Vous avez des masques mouillés qui sont des bouillons de bactéries et éventuellement de champignons (un masque mouillé doit être jeté et remplacé sans attendre) ».

Elle ajoutait : « […] on voit bien que ça donne des effets secondaires alors que son port ne protège pas contre le virus. Beaucoup de gens ont commencé à le comprendre ne serait-ce que parce que c’est marqué sur les boîtes »… On a peine à croire ce que nous lisons !…

De plus, dès 2020, bien avant les trop nombreuses mesures coercitives infligées à nos enfants, nous savions que cette catégorie de la population était très peu affectée par le Covid-19 en termes de transmission à un tiers (enfant ou adulte) ou de mortalité (de la naissance jusqu’à 40 ans, les chiffres ont oscillé de 0% à 1% ! Même l’obligation vaccinale paraît aberrante !).

Une étude de l’Institut Pasteur du 23 juin 2020 indiquait que : « Dans l’ensemble, les résultats de cette étude sont comparables à ceux d’autres études réalisées à l’étranger, qui laissent entendre que les enfants de 6 à11 ans s’infectent plutôt en milieu familial qu’à l’école. La principale information nouvelle apportée par cette étude est que les enfants infectés n’ont transmis le virus ni aux autres enfants, ni aux enseignants et ni aux autres personnels des établissements scolaires« .

Trois ans après les études de l’Institut Pasteur et de l’Imperial College de Londres de 2020, tout ceci est confirmé par une nouvelle étude révélant que le port du masque engendrerait de graves conséquences chez les enfants (cf. billet de Franck Pingam du 1er mai 2023 chez Les moutons enragés, d’après le billet original de Steve Watson du 24 avril 2023 de Summit News).

Il est ainsi révélé que cette « nouvelle étude réalisée par des chercheurs allemands a conclu que les masques faciaux peuvent provoquer une intoxication au dioxyde de carbone lorsqu’ils sont portés, (même pendant de courtes périodes) et qu’ils peuvent avoir contribué de manière significative à la mortinatalité lorsqu’ils étaient portés par des femmes enceintes, ainsi qu’au dysfonctionnement testiculaire et au déclin cognitif chez les enfants, parmi d’autres problèmes de santé destructeurs.

Comme le rapporte le Daily Mail (du 23 avril 2023), la recherche publiée dans la revue Heliyon comprend un examen de 43 études précédemment publiées sur l’exposition au CO2, le port de masques et la grossesse.

L’étude note que même une exposition à court terme à des concentrations de CO2 aussi faibles que 0,3 % a provoqué des lésions cérébrales, une augmentation de l’anxiété et une altération de la mémoire chez les rates enceintes et les jeunes souris en laboratoire.

Dans un autre cas, des souris mâles exposées à 2,5 % de CO2 pendant quatre heures ont vu leurs cellules testiculaires et leurs spermatozoïdes détruits ». La suite ici chez Les moutons enragés

Nous voyons bien que toutes les précautions abusives et les obligations sanitaires ayant joué sur les peurs et les inquiétudes des parents, ont fait parti d’un processus global d’avilissement des populations (à commencer par les plus jeunes) et ont été à l’origine d’une véritable et inadmissible maltraitance de nos enfants.

Tous les responsables politiques et les autorités éducatives, autant que sanitaires, doivent à présent rendre des comptes et payer pour tout cela. La sévérité du châtiment devra être à la hauteur de l’abjection des mesures sanitaires prises à l’encontre des enfants et des dégâts causés à leur développement psycho-moteur.

Regrets éternels…

Combien de morts attribués au Covid et qui sont en fait le résultat des effets délétères du vaccin providentiel et de la protéine Spike chez certaines personnes âgées ?…

Depuis plus d’un an aux urgences de ma ville où je suis infirmier, j’observe depuis 3 mois une recrudescence d’admissions pour palpitations, tachycardies, douleurs thoraciques chez de jeunes adultes (surtout des hommes) s’étant fait vacciner récemment… sûrement une coïncidence malheureuse !

L’arbre Covid qui cache la forêt…

Excellente intervention du Dr Bernard Kron, prix Henri Mondor de chirurgie et ancien chirurgien de l’Assistance publique de Paris, sur les ondes de Sud Radio, ce mercredi 24 mars 2021; émission au cours de laquelle il rappelle le dangereux phénomène de focalisation sur l’épidémie de la Covid-19. Cette polarisation occulte la dramatique expansion des maladies chroniques qui déciment depuis des années les populations, et pour lesquelles aucune mesure efficace et forte n’a été prise par des politicards plus préoccupés par leur comm et la valorisation de leur image en s’agitant pour faire du bricolage sanitaire, toujours aussi bien vendu par les médias mainstream.

Le docteur Kron dans l’article « Les vérités sur la Covid-19 et la gestion de crise » du Contrepoints du 16 septembre 2020 explique que « depuis la mise en place du Plan Blanc le 13 mars, 85 % des 7,2 millions d’interventions chirurgicales programmées chaque année en France ont été reportées, soit près de 1,1 million d’actes. Il en résulte des risques d’aggravation dus au retard de prise en charge, non seulement en oncologie mais également dans les autres disciplines« .

Il est bon de rappeler, selon le communiqué de presse du Réseau Environnement Santé (RES), intitulé « COVID-19 et Maladies chroniques : Politique de l’autruche ou se préparer pour la prochaine épidémie » du 20 mai 2020, qu’entre 2003 et 2017, l’incidence en France des Affections de Longue Durée pour Maladies Cardio-vasculaires, Diabète et Cancer, ces maladies qui fournissent les victimes du COVID-19, a progressé de :

  • 138 % chez les plus de 74 ans alors que cette population n’augmentait que de 30 %,
  • 119 % chez les 60-74 ans alors que cette population n’augmentait que de 37 %,
  • 50 % chez les moins de 60 ans alors que cette population n’augmentait que de 1%.

L’explosion des décès non-Covid n’est peu ou pas évoquée par les médias, elle est éclipsée par le bourrage de crâne anxiogène obligatoire sur la Covid-19. D’ailleurs, il existe un autre arbre qui cache la forêt, celui de la réduction de la capacité d’accueil des hôpitaux, gestion comptable oblige : travaillant en milieu hospitalier, avec mes collègues, nous constaté la fermeture de lits « classiques » afin d’ouvrir l’an passé un service Covid, et, aujourd’hui, les cas d’hospitalisations liées à la Covid se réduisant, il n’est pas envisagé un retour à l’identique pour le nombre de lits en services tels que Médecine viscérale, Médecine gériatrique, Chirurgie orthopédique,… par contre, comme il y a moins de places dans ces services, nous avons les urgences qui saturent régulièrement avec des patients en attente de leur transfert vers les services sus-cités !

Dr Bernard Kron évoque aussi l’argument biaisé de la saturation des services de réanimation, qui le sont depuis des années et pas seulement depuis l’apparition de la Covid-19, afin de justifier la gravité de l’épidémie et l’hystérie collective à ce sujet ! L’utilisation de ce critère pour terrifier la population est malhonnête.

Bref… la désinformation par les instances de la Ripoublik et ses sbires médiatiques se poursuit, qu’elle soit en mentant par omission ou en tordant la réalité au service de manoeuvres obscures et bassement opportunistes.

Une dernière chose rappelée par le Dr Kron : « On sait que garder ses distances, porter un masque dans les espaces clos et se laver les mains sont les gestes de base pour ne pas diffuser la maladie. La mise en quarantaine peut être limitée à 7 jours car au-delà seulement 10 % des malades peuvent être contagieux. Tester tout le monde est une bêtise car les délais s’allongent. De plus, il existe des faux positifs et un test positif peut être le fait de reliquats du génome du virus mort« .

Nous n’avons donc pas fini de subir les conséquences liberticides et absurdes d’une gestion catastrophique de cet évènement pandémique !

Conciliabule entre amateurs aussi futés qu’un bison.