Étiquette : Toutmou
L’effronté
Il faut le lire pour le croire ou alors être un proche du « président » normal, un habitué du cerveau foutraque de Flamby 1er; mais la dernière sortie fracassante de ce qui nous sert de locataire élyséen montre bien qu’il est sans vergogne, sans amour propre.
Le Figaro du 1er mars 2017 nous signale que Toutmou a déclaré dans un communiqué de l’Elysée : « En tant que garant de l’indépendance de l’autorité judiciaire, je tiens à m’élever solennellement contre toute mise en cause des magistrats dans les enquêtes et les instructions qu’ils mènent dans le respect de l’Etat de droit », a déclaré le chef de l’Etat dans un communiqué de l’Elysée. » et de rajouter, au cas où nous serions passés à côté de son hallucinant culot, que : « une candidature à l’élection présidentielle n’autorise pas à jeter la suspicion sur le travail des policiers et des juges, à créer un climat de défiance incompatible avec l’esprit de responsabilité et, pire encore, à lancer des accusations extrêmement graves contre la justice et plus largement nos institutions ».
Il fallait bien déclarer une bricole pour tenter de prouver que l’on est un poil concerné par ce qui se passe en France, pour timidement montrer que l’on est toujours là et, si possible, savonner un peu plus la jolie planche très glissante que Fillon s’est lui-même fabriquée. Encore une autre tête de vainqueur ce Fillon….
Mais alors là… constater un tel mépris des français (qui le mérite sûrement…) et un tel mépris de sa propre parole !
Et dire que cet olibrius socialiste ne s’était pas gêné il y a quatre mois pour fustiger ces mêmes magistrats et pour accuser la magistrature d’être «une institution de lâcheté (…). C’est quand même ça, tous ces procureurs, tous ces hauts magistrats, on se planque, on joue les vertueux… On n’aime pas le politique» (cf. le livre « Un président ne devrait pas dire ça » de Gérard Davet et Fabrice Lhomme).
Cette déclaration, bien évidemment sortie de son contexte, avait tout de même fait grand bruit. Pour le coup, il n’avait pas vraiment tort mais ce que je trouvais, et que je trouve encore aujourd’hui, insupportable, c’est que ce « moins que rien », loin d’être exemplaire en terme de gestion de la France, de représentativité de la fonction, en terme de bonne éducation envers les femmes et de gestion de sa vie d’homme (pas foutu de rester avec la mère de ses enfants puis agissant comme un goujat avec ses autres compagnes),… vienne faire la leçon aux gens.
Ce charlot des plus cyniques ne manque pas de toupet !
Face à une attitude aussi détestable, Bertrand Louvel, premier président de la Cour de cassation, s’indignait dans Le Figaro du 13 octobre 2016 (cf. article de Paule Gonzales, intitulé « Traités de «lâches» par Hollande, les magistrats se disent «humiliés» ») que «ces outrances renouvelées à l’encontre du corps judiciaire (…) posent un problème institutionnel», a-t-il déclaré. «Il n’est pas concevable que la charge de président de la République (…) puisse être utilisée par son titulaire pour contribuer à diffuser parmi les Français une vision aussi dégradante de leur justice.».
En même temps, au cours de son mandat, il n’a fait que nuire à la fonction présidentielle et à la France donc un peu plus ou un peu moins…
De plus, à l’époque de cette polémique, Toutmou ne s’était pas gêné pour bien montrer qu’il se moquait royalement de l’esprit de responsabilité et de jeter la suspicion sur le travail des juges comme l’attesta le témoignage de Jean-Claude Marin, le procureur général de la Cour de cassation : «Notre entretien d’hier avec le président de la République n’a pas atténué le sentiment que la magistrature en général et les magistrats en particulier ont ressenti face à une nouvelle humiliation. (…)» Derrière ces mots, l’idée brûlante que le président de la République n’a visiblement pas jugé bon, lors de cette rencontre de 20 minutes mercredi soir à l’Élysée, de trouver aucune excuse ou rétractation à ses propos, confirmant ainsi sa pensée profonde sur l’institution judiciaire. ».
Franchement, ce Hollande est tout de même remarquable pour dire tout et n’importe quoi, une sommité dans le genre !
Ce baltringue d’envergure internationale est finalement un sacré effronté !
Bonne nouvelle, il est définitivement hors-jeu !!
La justice française
Cette justice se fait secouer par les dernières déclarations de Toutmou sur la « lâcheté » de la magistrature, propos révélés « dans le livre Un président ne devrait pas dire ça… des journalistes du Monde, Fabrice Lhomme et Gérard Davet » d’après Alain Acco dans un article chez Europe 1.fr du 13 octobre 2016.
Quel plaisir de constater dans quel embarras se trouve l’incompétent corrézien, d’autant plus savoureux que ses tracas ont été générés par les démarches de salariés du Monde, organe de presse socialiste, à sa botte normalement !
« L’entourage du président est tout de même effondré par les propos rapportés par les journalistes qui viennent ruiner, nous dit-on, cinq ans de pratique irréprochable. »… tout simplement jubilatoire !
En plus, « les explications du chef de l’Etat n’ont pas calmé la colère des deux hauts magistrats. Ils doivent prononcer jeudi, à la Cour de cassation, un discours en réponse à ces déclarations. » donc nous n’avons pas fini de nous régaler.
Finalement, on se rend compte qu’il bavasse trop et que cela lui retombe sur le nez. Ma foi, c’est bien fait.
Toutmou a donc eu « des propos qui ont mis en colère l’institution judiciaire » et « cette dernière, représentée par le premier président et le procureur général de la Cour de cassation, Bertrand Louvel et Jean-Claude Marin, a rencontré le président de la République mercredi soir à l’Elysée. Selon les informations d’Europe 1, François Hollande, lors de cet entretien qui a duré à peine plus d’un quart d’heure et s’est déroulé dans un climat glacial, n’a pas cherché à démentir ses propos. Le chef de l’Etat était accompagné de son ministre de la Justice, Jean-Jacques Urvoas, mais aucun conseiller n’était présent. »
Bon, le climat glacial, il a l’habitude. Quoiqu’il dise ou fasse, il obtient ce résultat, que ce soit avec ses ex-compagnes ou avec le président Poutine.
Par contre, et pour revenir au sujet de ce billet, cette anecdote présidentielle soulève tout de même les problèmes liées à la justice de ce pays.
Comme nous le révélait Valeurs Actuelles le 22 septembre 2015 dans l’article « En une semaine, trois personnes libérées par la justice en raison de défauts de procédure », le fonctionnement du pouvoir législatif paraît de plus en plus chaotique : « La justice française va décidément de plus en plus mal. En moins de deux semaines, trois personnes, qui avaient été condamnées en première instance, ont été libérées, alors qu’elles auraient dû rester incarcérées. » concernant trois affaires, dont deux gravissimes, pour lesquelles les prévenus ont été relâchés (« la veuve noire de l’Isère a été libérée par la cour d’appel de Grenoble, en raison d’un délai trop long entre le procès de première instance et celui d’appel. Manuela Gonzalez avait été condamnée à 30 ans de prison pour le meurtre de son dernier mari en 2008 » puis « Rajeswaran Paskaran a été libéré mercredi dernier, alors qu’il était condamné à vingt ans de prison pour avoir abattu un policier à la Courneuve en 2009 » et « Charles Pieri avait été condamné en 2013 à deux ans de prison pour détention d’armes par la cour d’appel de Bastia »).
Plus récemment, « Vingt-quatre personnes placées en centre de rétention administrative à Nîmes et menacées d’expulsion ont été libérées pour un vice de procédure. Leur transfert en urgence depuis le centre de Vincennes où un début de mutinerie avait éclaté, s’est fait en dehors du cadre légal.
« Les procureurs et les juges des libertés et de la détention de Paris et Nîmes n’avaient été prévenus que le lendemain de ce transfert, ce qui est illégal », explique à Midi Libre l’avocat Wafae Ezzaïtab qui a plaidé et obtenu la relaxe pour vice de procédure. » nous apprenait 20 minutes dans un article de Jérôme Diesnis du 17 juillet 2016. Voici 24 gugusses lâchés dans la nature alors qu’ils ont été à l’origine d’une mutinerie, une action violente contre les dépositaires de l’autorité de l’état français (au passage, on notera que l’avocat ayant permis cette saloperie porte un nom qui pourrait être celui d’un des réfugiés…).
Ne parlons même pas des multiples affaires judiciaires aux verdicts plus que scandaleux avec des condamnations soient exagérées, soient trop laxistes pour des faits qui auraient mérités à l’inverse soit plus de clémence, soit plus de sévérité.
Et dernièrement, à propos d’une affaire que je connais bien ayant été tout près au moment des faits, L’indépendant du 15 septembre 2016 nous apprend, par un article de A.F. (avec Midi Libre) intitulé « Procés de la Féria de Béziers : quand le juge couche avec l’avocat », que dans une affaire concernant le meurtre d’un jeune homme au cours de la féria 2012 à laquelle je participais, dans une bodéga de l’avenue Saint-Saëns, à quelques encablures du drame.
Il s’agit d’un exemple, éclatant au grand jour, du manque de discernement et de moralité d’acteurs de la justice. Mais combien d’autres restent non dévoilés, immondes secrets d’alcôves ayant sûrement des implications injustes, malhonnêtes dans les décisions ultimes d’affaires judiciaires ?!!…
Finalement, les magistrats outrés par la sortie de Toutmou devraient éviter de faire les vierges effarouchées car de trop nombreux cas illustrant la déliquescence de l’appareil judiciaire et son manque de vertu, nous démontre que la justice française sombre et qu’il serait temps de mettre un gros coup de vis et de faire un grand ménage au sein de cette institution.
La foire aux girouettes
Comme le montre le « Crapouillot » de 1935 ou comme le recensait « Le dictionnaire des girouettes » en 1815 , ouvrage auquel je faisait allusion dans ce billet « Un escroc français !… fuyons ! », il y a un peu plus d’un an, à propos de Fillon et Hollande, le monde politique qui se veut pourtant porteur d’une mission de modernisation, de progression de la société, ce monde politique reste bien campé sur l’un des piliers traditionnels de son mode de fonctionnement (avec le népotisme et la corruption) : l’opportunisme.
Ainsi, tel une efficace girouette, quelques fameuses pompes à vélo tournent, tournent au gré des vents idéologiques et des souffles carriéristes ministériels comme ces tristement célèbres « écologistes » que sont Barbara Pompili, celle qui ne savait pas qu’elle savait pour Baupin, et qui est devenue secrétaire d’état à la biodiversité (pas fumeux comme intitulé…), et le colonel parachutiste Jean-Vincent Placé (dommage que le ridiule ne tue pas instantanément !!… c’est le sort que tout bon parasite mérite !), secrétaire d’État chargé de la Réforme de l’État.
Eux qui étaient tellement opposés à l’utilisation de l’article 49.3 en 2015, tout d’un coup, au bout d’un an, le trouve indispensable « pour faire avancer la France »…. À part de n’avoir aucune dignité, ni aucune exigence de droiture intellectuelle, comment peuvent-ils se regarder dans une glace ??!!!… A priori, soit ils n’ont pas de miroir, soit ils n’ont aucun scrupule. Je penche pour la seconde option.
Vous me direz : « On peut changer d’avis ! Tu viens bien de la mouvance gauchiste !… »
Certes… à la différence que ma réorientation politique est le résultat d’un travail personnel sur plus de dix ans (lectures, rencontres, expériences personnelles multiples dans la France d’après,…) et que ce changement idéologique ne m’a procuré et ne me procure aucun avantage dans notre société décadente actuelle, bien au contraire ! (risque de poursuites juridiques pour telle ou telle pensée exprimée, isolement social en perdant du vue certains « amis », risques professionnels notamment dans le monde de l’Éducation Nazionale,…).
Dans leurs cas, il s’agit d’une réorientation subite (en un an !) juste après avoir obtenu un poste au sein du gouvernement, gouvernement qui souhaite utiliser ce 49.3…
Et que dire de ce peintre espagnol qui se réclame français et qui n’a aucune parole, aucune dignité ??!!!…
Ce phénomène de rotation politique reste une énigme pour moi…
Il existe depuis toujours mais aujourd’hui, avec tous les moyens numériques dont nous disposons, la mémoire des peuples est un peu plus performante et pourtant, les citoyens continuent à élire tout ce ramassis d’incompétents et de menteurs !!!…
C’est bien la preuve que la démocratie est un régime dont il faut se méfier.
Comment un charlot comme le premier ministricule peut-il être encore en poste alors qu’à quelques années d’intervalle, son retournement de veste magistral est une preuve d’un manque total de cohérence et d’exigence envers soi-même ??!!!…
Ce prétentieux, au coup de menton facile, a fait éditer un bouquin intitulé « L’Exigence » chez Grasset et Fasquelle (avec un « e » majuscule s’il-vous-plaît !)… quel cynisme !
Lui qui dénonçait en 2010 que « tout passage en force, l’absence de dialogue social dans une démocratie moderne conduit à des situations comme celles que nous connaissons » et qui en 2016, n’hésite pas en passer en force avec son 49.3 en bafouant le débat démocratique et le dialogue social qu’il se targue de défendre à tout moment !!!
Son « con père » Hollande est tout aussi pitoyable (et petit ! cela a son importance quant à la frustration qu’ils ont emmagasiné depuis leur jeunesse et qu’il gère aujourd’hui à leur façon, en humiliant les français en les prenant pour des cons tous les jours) puisque lui aussi est un habitué des écoeurantes palinodies. Il n’a pas manqué lui aussi de donner son avis sur le « déni de démocratie », « la brutalité » que constitue l’utilisation de l’article constitutionnel tant décrié lorsqu’il était premier secrétaire du PS en 2006 lors des évènements liés au CPE ! (cf. BFMTV le 17 février 2015 et la vidéo ci-dessous).
Aujourd’hui, par magie, ce n’est donc plus « une violation des droits du Parlement » et Toutmou n’appelle plus à sa suppression mais à son utilisation tout simplement !
Nous sommes donc les témoins privilégiés du jeu misérable de politicards sans foi ni loi qui sont de fieffés menteurs assumés comme le caudillo Valls épinglé par l’excellent Emmanuel Ratier, mort brutalement comme par hasard en août dernier (cf. Riposte laïque du 21 août 2015) après son enquête explosive.
Comme on peut le voir ci-après dans l’entretien qu’il avait accordé à TV-Libertés le 24 avril 2014, Emmanuel Ratier expliquait comment le fourbe premier ministricule « était passé d’un soutien presque fanatique à la cause palestinienne, dans les années 2000, à un soutien, suite à son mariage avec Anne Gravoin, à Israël, dont il se disait lié de manière éternelle » et comment il avait montré que « la famille de Valls était la plus aisée de Catalogne, et que jamais le père n’avait fui le régime de Franco, qui lui permettait d’exposer ses œuvres et de revenir en Espagne en toute liberté. La preuve, notre « anti-franquiste » est né à Barcelone en 1962 ! »…
Dans ce maelström de pourriture, une seule solution : la javel ou la vidange totale pour ce régime lamentable dans lequel chacun de ces petits calculateurs d’avides bourgeois profite encore et toujours d’un système à bout de souffle.
Système très bien cerné et dénoncé par Guillaume Meurice sur France Inter (radio qui pour une fois fait preuve d’honnêteté…) dans « Le moment Meurice » du 11 mai 2016 avec les saloperies des députés qui sont nombreuses, les places prévues pour dormir à l’Assemblée qui s’appellent l’hémicycle, de l’argumentation sérieuse et étayée de Benoît Apparu des Républicains (gnagnagna…), la fuite malpolie de Razzi Hammadi du PS (un bon FDS) dans l’incapacité de répondre au fait que Toutmou soit incohérent, voire le mépris du socialo Hugues Fourage qui prend le peuple français pour des benêts dépassés (en même temps, ce sont ces français qui l’ont élu !!… il a peut-être raison…),…
Avec beaucoup de poésie et de classe, à l’image de tous ces parlementaires parasites qui ne représentent qu’eux-même pour leurs propres intérêts et certainement pas le peuple de France (existe-t-il encore??..), il nous explique comment l’article 49.3 de la Constitution, est « une disposition qui peut mettre à mal l’industrie de la vaseline mais relance dans le même temps celle du gravier ».
Le gravier, c’est ce que l’on mettra bientôt sur leurs fosses mortuaires !
(« Le 49.3 expliqué par les professionnels de la démocratie« , chronique de France Inter « Le moment Meurice » par Guillaume Meurice le 11 mai 2016)
Fumiste officiel
Chaque semaine, les dépêches ou articles de presse apporte de l’eau à mon moulin concernant le baltringue qui est au palais de l’Élysée. Lui, dans un palais…
Ce petit d’homme n’a rien trouvé de mieux que de sélectionner à l’aide de Google ceux et celles qui vont avoir un énorme niveau de responsabilités dans les affaires de la France ! (cf. article ci-dessous du 20 février 2016).
Après avoir remanié plusieurs fois son gouvernement démontrant ainsi son incapacité à faire des choix judicieux sur du long terme et après avoir choisi de nombreux collaborateurs ayant été impliqués dans des procédures judiciaires alors que ce bonimenteur avait promis l’inverse dans le JDD du 12 avril 2012 :« Et si des élus, socialistes ou autres, sont condamnés pour des faits de corruption, ils ne pourront pas se présenter pendant dix ans. Je n’aurai pas autour de moi à l’Élysée des personnes jugées et condamnées. », il décide d’achever la liste de son équipe gouvernementale à l’aide de moteur de recherche d’internet plutôt que de se baser sur une connaissance approfondies de ses collaborateurs qui devraient être des personnes de confiance.
La fumisterie et le bricolage dans toute sa splendeur !
Ne parlons pas ici de son manquement récurent à sa parole donnée comme avec les élus justiciables qui ont été listés par le blog « Pas si dupes » (57 élus socialistes n’étant pas tous devenus ministres… heureusement !), auteur de ce joli montage.
Avec son nouveau remaniement, il y a toujours une belle brochette de condamnés, d’inquiétés par la justice avec à nouveau Jean-Marc Ayrault ou Harlem Désir auxquels se rajoutent Jean-Michel Baylet, Ségolène Royal ou Jean-Marie Le Guen donc finalement, même sa sélection google est un échec.
Là-dessus, et alors que nous sommes en période de crise, que les dossiers d’importance s’accumulent, Toutmou n’hésite pas une seconde pour se lancer un nouveau défi, celui d’être le président qui se sera absenté de l’Élysée le plus longtemps pour un voyage hors métropole.
Comme nous le relate LCI du 21 février 2016, « le président entame ce dimanche ce qui sera le plus long périple de son quinquennat. Il se rend tout d’abord en Polynésie française et à Wallis-et-Futuna, puis en Amérique latine ».
Nous apprenons que : « Plus politique, l’objectif du déplacement en Polynésie sera, selon l’Elysée, de « solenniser une relation avec la République un peu abîmée et froissée » lors du précédent quinquennat, avec un « enjeu principal » et « Le président avait indiqué dès 2012 sa volonté de parvenir à un rapprochement avec l’ensemble de l’Amérique latine », fait-on valoir à l’Elysée. « .
En premier lieu, est-ce à ce point terrible de dire le mot France ou nation plutôt que République ??!!… Il est bien digne des prêcheurs qui lui arrive de fustiger chez les catholiques ou les évangélistes ! Ensuite, il se vautre dans le petit jeu du dénigrement du président précédent… rien de nouveau. Et enfin, ce nain lipidique n’espère rien de moins que de rapprocher l’ensemble de l’Amérique latine de la France… rien que cela !! Quelle ambition démesurée alors qu’il n’est même pas fichu de rapprocher les communautés au sein de son propre pays !…
En plus, « il sera accompagné d’une délégation substantielle de responsables d’entreprises (Carrefour, Thales, Arianespace…), aucun accord économique ou contrat commercial ne devrait être signé, une entorse à la « diplomatie économique » chère au chef de l’Etat », même là, alors que ce voyage devrait coûter au peuple français une coquette somme, il ne va pas au bout des choses en ayant la ferme volonté de signer des contrats avec des partenaires économiques étrangers. Pourquoi diable alors prendre un délégation de responsables d’entreprises si ce n’est que pour faire du tourisme ??!!!…
Nous avons bien un branquignole aux commandes de notre nation mais nous le savions depuis longtemps.
Sinon, pour finir, l’immense Gérard Depardieu, lors d’une conférence de presse, a dit tout haut ce qu’une grande majorité pense tout bas de Toutmou : « Je me sens très russe, même à l’étranger. Comment ne pas se sentir plus russe que français avec le président qu’on a en France? Pour moi, y a pas photo», « lui qui avait acquis la nationalité russe en 2013 après une polémique avec le gouvernement suscitée par sa décision de s’installer en Belgique pour des raisons fiscales. » nous rappelle l’article du Figaro du 19 février 2016 relatant l’entretien.
Et de faire l’éloge de Vladimir Poutine en réaffirmant « son «admiration» pour Vladimir Poutine, «pour ce qu’il fait, et pour la population russe», «n’en déplaise à certains intellectuels français, y compris [ses] amis qui [lui] font des reproches» »…
Entre un Poutine et un Hollande comme chef des armées, il n’y a « pas photo » comme dit Gérard !
Ce qui est rassurant, c’est que la côte de popularité de Culbuto s’effondre à nouveau et qu’une grande majorité de français n’ont plus confiance en lui, le Figaro du 20 décembre 2015 titre « Les français ne croient plus aux promesses de Hollande ».
Un désaveu cinglant, un constat pitoyable de sa politique (si c’est bien ce mot là qu’il faut utiliser…), l’article souligne de trop nombreux points d’importance pour qu’un homme digne de ce nom n’en tire pas des conséquences quant à son maintien à ce poste: « Après le matraquage fiscal du début de quinquennat, les Français ne se font guère d’illusion, non plus, sur une baisse de l’impôt sur le revenu en 2016: 84 % n’y croient pas, avec un niveau de défiance alarmant chez les femmes (88 %) et les fonctionnaires (89 %). La baisse des impôts est d’ailleurs, pour les Français, la réforme économique à conduire en priorité l’année prochaine (38 %).
[…] Quant à l’inversion de la courbe du chômage, promise déjà pour la fin 2013, la moitié des Français considère que le nombre de demandeurs d’emploi va au contraire progresser l’année prochaine.
[…] Enfin, la mise en œuvre du compte personnel d’activité (la grande réforme sociale du quinquennat, selon François Hollande lui-même), la suppression des 35 heures ou la réduction du nombre de fonctionnaires paraissent prioritaires pour moins d’un Français sur cinq. Seulement… »
Nous allons devoir encore le supporter pendant deux ans à moins d’un miracle et qu’il annonce alors sa démission, ce que toute noble personne responsable ferait avec panache.
Mais ne rêvons pas, de noble, il n’en a que les deux syllabes formant le mot couillon.
Bref… Hollande est un fumiste !
[MAJ : depuis, l’ex-président du Sénat, Jean-Pierre Bel, dément avoir « googlisé » les futurs ministres dans le JDD d’hier 21 février 2016. Il dément… nous en prenons note mais les politiques parlent souvent avec la langue fourchue et tordue donc cette information de dernière minute n’enlève rien à ce billet.]
Barbares modernes
Les derniers évènements découlant de l’expression des libertés individuelles de certains adorateurs d’une religion de paix et d’amour m’ont immédiatement fait penser à un phénomène en cours depuis longtemps sur nos propres terres françaises et basé sur le principe de la Tabula rasa : la destruction de notre patrimoine culturel et historique représenté entres autres par les édifices religieux catholiques.
Il ne faut avoir aucun doute quant aux motivations des barbares islamistes comme pour celles des barbares républicains, ces motivations découlent du même principe de destruction des livres, expliqué par Roger Chartier (Le livre en révolutions, Éd. Textuel, 1997) : « De l’Inquisition aux nazis, la destruction obsède les oppresseurs qui, en anéantissant livres et auteurs, pensent éradiquer à jamais leurs idées. ».
Je suis scandalisé lorsque j’observe qu’à des milliers de kilomètres, de sombres crétins enturbanés s’arrogent le droit d’anéantir les oeuvres du passé, les témoins minéraux façonnés par les mains des hommes, témoins d’un glorieux passé qu’ils veulent oublier.
Avec eux, pas de fioritures, pas de détours, on s’attaque à ces perles architecturales ou sculpturales au bulldozer ou au marteau-piqueur comme n’importe quel demeuré inculte verserait de l’acide sur une perle de nacre.
Rien de surprenant venant de tels sauvages moyen-orientaux !
Par contre, ce qui est plus étonnant et risible en même temps, ce sont les postures offusquées des occidentaux qui ne disent pourtant pas grand chose à propos d’actions similaires chez eux, menées par de nombreux politiques permettant le saccage de patrimoines locaux inestimables.
Fleur Pellerin, ministre de la Culture et de la Communication (quotas de la diversité et des jolis minois obligent), déclare « La destruction d’œuvres majeures du musée de Mossoul par Daesh est une tragédie culturelle et humaine, une catastrophe sans nom pour l’histoire de notre humanité.
En s’en prenant à des chefs-d’œuvre inestimables des périodes assyrienne et hellénistique, aux collections d’un très grand musée et aux trésors du patrimoine culturel mondial, c’est la culture, qui unit les hommes et ouvre les esprits, front de résistance et rempart contre l’obscurantisme, que ces terroristes ont voulu atteindre. ».
Quel vibrant plaidoyer pour la conservation du patrimoine !!!
Mais seulement celui de l’Irak, heinnnn… car les clochers de France n’intéressent personne par contre !!!…
La réaction de Toutmou par contre n’a pas été des plus virulentes, il a doucement accusé les jihadistes de vouloir « détruire tout ce qui est humanité » d’après le Sud Ouest du 27 février 2015.
Il faut dire qu’il a sûrement du prendre l’habitude de tels agissement en étant en charge des affaires nationales depuis 2012.
Il doit être dans la confidence de cette stratégie, idéologique avant tout, d’éradication des églises de France.
Oui, il s’agit bien d’une stratégie, d’une volonté claire et nette de faire disparaître les repères les plus visibles de ce qui fait France.
Comme cela nous l’est expliqué par Contre-Info (billet du 27 juin 2013), la destruction de l’église Saint-Jacques d’Abbeville » n’était en rien une fatalité mais un acte volontaire décidé par Nicolas Dumont, maire socialiste d’Abbeville, dont la seule motivation était de détruire l’église sans nécessité.
On y lit qu’un square remplacera désormais l’église détruite. Et que, selon l’élu, cet aménagement « à la louche […] coûtera 2 à 3 millions d’euros ». Si l’on rappelle que le budget prévu pour la démolition était au minimum de 500.000 euros (c’est le montant qui avait été provisionné par la ville), on constate que le maire envisage, sans sourciller, une dépense totale de 3,5 millions d’euros pour remplacer l’église par ce square.
Or, le devis pour la restauration de l’église établi par un architecte des monuments historiques en 2008 était de 4,2 millions d’euros. Soit une différence avec ce qui a été fait de 700.000 euros, une somme qu’il aurait été facile de couvrir par des subventions et éventuellement une souscription (voir l’exemple de la commune d’Arc-sur-Tille). »
Il y a bien une volonté idéologique et politique à la passivité manifeste de certains élus face aux dégradations du patrimoine chrétien ou à leurs initiatives destructrices aboutissant dans les deux cas à la destruction peur et simple des témoins de l’histoire de France.
Quelle tristesse d’assister impuissants aux abus de pouvoir de quelques baltringues guidés par leur idéologie et de constater, amers, les dégâts irrémédiables qu’ils causent !…
Des édifices sont non classés ou jugés sans intérêts patrimoniaux ou architecturaux par quelques fonctionnaires zélés, certes avec des compétences en la matière mais qui sont surtout poussés par des consignes économiques et idéologiques de leur hiérarchie.
Ainsi, « l’État fait néanmoins valoir qu’il ne peut tout classer. Il y a en France 45 000 églises paroissiales, dont 35 % bâties au XIXe siècle, dans leur immense majorité non classées. Des maires tirent à tort la conclusion qu’ils peuvent démolir », explique Isabelle Maréchal, chef du patrimoine au ministère de la Culture en 2013, dans Le Point du 13 aout 2013.
Or, depuis la loi de séparation de l’Église et de l’État, en 1905, l’entretien des bâtiments revient aux communes…
Ainsi, dans le Figaro du 28 mai 2012, à propos de l’église Sainte-Rita de Paris, Françoise Hamon, secrétaire général de l’Observatoire du patrimoine religieux (OPR) et ancienne conservatrice des monuments historiques, dénonce une décision «symptomatique du mépris du néogothique en France» et explique que « Sainte-Rita est une autre victime emblématique de la vague de «déconstruction» des églises en France. ». De son côté, Mathieu Ricard, architecte à Paris, s’étonne que «si des associations de riverains arrivent à collecter 2 millions pour sauver leur église de campagne, comme on l’a vu plusieurs fois ces dernières années, les villes qui ont plus d’argent et des budgets spécifiquement alloués devraient y parvenir. C’est donc bien un problème de volonté politique.».
Cette volonté politique, ce sont les magnifiques vitraux de l’église de La Bassée (59) et le corps de son bâtiment qui en ont fait les frais et qui ont subi le pire des sorts, celui de l’indifférence.
En effet, le prétexte pour la démolition d’une grande partie de cet ouvrage fut celui, falacieux, de l’altération trop avancée des matériaux de construction et donc qu’il s’agissait d’une décision prise pour la sécurité des citoyens…
À la place, on y a érigé un immonde bâtiment moderne, aux vagues allures de casque de gladiateur Thrace,
Pour Philippe Boutry, président de l’université Paris-I Panthéon-Sorbonne, auteur du texte « Le clocher » dans Les lieux de mémoire, il ne fait aucun doute que « la mémoire est une construction sociale alors que l’histoire est une donnée, fondée sur des traces, des monuments ou des documents.
Pour qu’il y ait une mémoire vivante, il faut que le passé soit et demeure intelligible à une conscience moderne. La crise de la mémoire que nous traversons, et qui met gravement en péril les « lieux de mémoire » spirituelle qui nous ont été légués, est une crise d’intelligibilité collective du patrimoine religieux des XIXe et XXe siècles.
Elle entraîne en effet une grave déperdition de sens pour le village français en ce début du troisième millénaire et est inséparable d’autres facteurs de mutation rapide des sensibilités rurales comme l’affaiblissement des contraintes sociales et familiales et des réflexes communautaires, la mobilité accrue des propriétés et des personnes, la sécularisation, la privatisation et l’individuation des conduites et des pratiques individuelles et collectives. ».
On assiste donc, d’après lui et la sociologue française des religions, Danièle Hervieu-Léger, dans Le Point du 13 août 2013, à l’exculturation du catholicisme français et s’explique par un « désengagement spirituel » et est le symptôme d’une mutation profonde, qui met à mal le tissu social.
L’élimination des clochers du paysage français est bien un signe, un symbole d’une déliquescence nationale, le résultat d’actes barbares au sens premier du terme, générés par des forces étrangères à la France que ce soient les puissances économiques de l’extérieur ou que ce soient les forces politiques de l’intérieur plus citoyennes du monde que françaises.
N.B. : pour plus d’information, allez sur Patrimoine en blog et Églises menacées.
Soumission
Certains n’y vont pas avec le dos de la cuillère, profitant bassement d’une miraculeuse tribune offerte par les médias soumis depuis longtemps aux quotas multiculturels.
Ainsi, Ali Baddou (pas le site de rencontres faciles et rapides ! non le « journaliste » de Canal+) a failli dégobiller tout son houmous de midi après avoir lu le brûlot !!!… dame ! rien que ça…
«Je suis de culture musulmane, ça, c’est le hasard. Je suis profondément laïque, ce livre m’a foutu la gerbe. Autant le dire aussi simplement que ça. On est en 2015 et l’année démarre avec ça, c’est-à-dire avec l’islamophobie, qui est installée, qui est diluée dans le livre d’un grand romancier français. C’est un livre au fond, qui, pour moi, habitue au racisme anti-musulman…».
Est-il nécessaire de lui rappeler ainsi qu’à tous ses camarades de jeu que l’Islam n’est pas une race ??!!…
Ce que Michel Houellebecq a été obligé de faire avec le commissaire politique Sylvain Bourmeau et sa tronche à la Niel qui, lui aussi d’ailleurs, y va de son refrain convenu des plus acerbes sur Médiapart le 2 janvier 2015 dans un billet au titre racoleur « le suicide littéraire français » (quelle imagination débordante !…) : « Car l’abjection politique et la faiblesse littéraire apparaissent, comme souvent, indissolublement liées. Roman sec et triste, approximatif, mal documenté, pas dialogique pour un sou et sans une once de poésie – si l’on l’excepte une farandole d’abominables dégoulinades monothéistes variées –, Soumission sonne faux de bout en bout et n’est certainement pas digne de la bibliographie de celui qu’on peut sans doute encore, même après ce livre, considérer comme l’un des écrivains contemporains d’expression française les plus importants. ».
abjection politique, faiblesse littéraire, abominables dégoulinades,… comme il y va ! ahhhh, le propre des français sans talent, sans légitimité, me direz-vous.
En tous les cas, Mimi a recadré, disais-je, ce bêcheur sur l’abus de langage à propos du terme « racisme » dans l’extrait ci-dessous tiré d’une entrevue retranscrite à la fin du billet de Médiapart sus-mentionné.
« […] S.B. : Mais je ne comprends pas le lien avec le racisme en l’occurrence…
M. H. : Effectivement, il n’y en a pas. Objectivement, il n’y en a pas. Quand j’ai été relaxé lors qu procès que l’on me faisait pour racisme, il y a une dizaine d’années, la procureure a fait remarquer légitimement que la religion musulmane n’était pas une appartenance raciale. C’est devenu encore plus évident aujourd’hui. Donc on a étendu le domaine du racisme en inventant le délit d’islamophobie.
S. B. : Le mot est peut-être mal choisi mais il existe des formes de stigmatisation de groupes ou de catégories de personnes qui sont des formes de racisme…
M. H. : Ah non, l’islamophobie n’est pas un racisme. S’il y a un truc qui est devenu évident, c’est bien cela.
S. B. : L’islamophobie sert de paravent à un racisme qui n’est plus dicible parce qu’il tombe sous le coup de la loi.
M. H. : Je crois que c’est juste faux. Je ne suis pas d’accord.
S. B. : Autre couple discutable avec lequel tu fonctionnes, l’opposition entre antisémitisme et racisme… On peut au contraire relever combien historiquement les deux sont souvent allés de pair.
M. H. : Je crois que l’antisémitisme n’a rien à voir avec le racisme. J’ai mis du temps à comprendre l’antisémitisme en fait. La première pensée est de le rapprocher du racisme. Mais qu’est-ce qu’un racisme où une personne ne peut dire si l’autre est juif ou pas juif parce que cela ne se voit pas ? Le racisme c’est plus élémentaire que ça, c’est une couleur de peau différente…
S. B. : Non parce qu’il y a des racismes culturels depuis longtemps.
M. H. : Mais là tu emploies les mots au-delà de leur sens. Le racisme c’est simplement ne pas aimer quelqu’un parce qu’il appartient à une autre race, parce qu’il n’a pas la même couleur de peau, les mêmes traits etc. Il ne faut pas donner au mot une extension supérieure.
S. B. : Mais comme les races n’existent pas d’un point de vue biologique, le racisme est forcément culturel.
M. H. : Mais ça existe apparemment en tout cas. Evidemment à partir du moment où il y a du métissage… Mais sois de bonne foi Sylvain ! Tu sais très bien qu’un raciste c’est quelqu’un qui n’aime pas quelqu’un d’autre parce qu’il a la peau noire ou parce qu’il a une gueule d’arabe. C’est ça le racisme. […] »
Bon sinon, il y a aussi l’inénarrable Claude Askolovitch qui pour une fois, démontre plus de finesse mais dont le message est on ne peut plus clair dans son édito sur ITélé du 4 janvier 2015 face à une énième présentatrice demeurée digne d’une télé-réalité (de 2:12 à 2:15, elle vaut le détour !!!).
http://www.itele.fr/chroniques/edito-claude-askolovitch/houellebecq-contre-hollande-106405
Après une ode à la Socialie de Toutmou et du Torero (de 0:32 à 1:00), il passe un peu de pommade à Mimi puis… vlan ! « un écrivain intrinsèquement pervers » (1:05)… ça, c’est fait.
S’ensuit un petit résumé de Soumission, et on remet une couche sur notre fantasme commun, celui des obscurs franchouillards, la disparition de notre nation envahie (1:42), sans oublier l’incontournable phobie (pas celle des homos, pas celle des xénos,… non, l’islamophobie !) « un peu, beaucoup islamophobe » (1:54).
Et hop, recirage de pompes à parir de 2:17 avec une étonnante leçon sur le réel alors que ces gauchiards sont des spécialistes du déni de la réalité !!… Puis, l’éternelle antienne de la peur (2:32) qu’Askolo évite miraculeusement mais il ne peut échapper à l’histoire du bébé rom…
Donc, juste parce que ces deux têtes de cul du système gauchiard, parmi tant d’autres comme Laurent Joffrin dans Libération du 2 janvier 2015, désignent à la vindicte bobo-gaucho-caviard un Goncourt, capable de balancer «La religion la plus con, c’est quand même l’islam.» au magazine Lire en septembre 2001 (cf. Le Figaro du 30 décembre 2014), alors on ne peut que courir chez le premier libraire pour acquérir le précieux objet décrié.
Même un ancien refourgueur de frusques pour dames qui n’a jamais rien écrit d’enthousiasmant, Guillaume Erner, « journaliste » à la radio des bobos FranceInter et, officiant sur le très officiel de Socialie, le Huffington Post d’aujourd’hui, compare le bouquin de Michel a un plug anal littéraire, il explique que « Le plug anal n’est pas un objet particulièrement léché, comme l’ouvrage de Michel Houellebecq. Mais le roman, comme la sculpture de Paul Mac Carthy, s’ils ne sont pas esthétiquement remarquables, sont médiatiquement incontournables. », et pour finir en conseillant : « Reste une dernière possibilité, pour les plus intrépides : ignorer le livre de Houellebecq. Mais la seule façon de ne pas voir le roman de Houellebecq, comme pour le plug anal, c’est de s’asseoir dessus. »… conseil quoi de plus normal pour les dégénérés de gauche !
L’ampoulé n’a aucun prix, n’est rien en littérature et il se permet de qualifier cet ouvrage de « pas particulèrement léché »…
Et parce qu’en plus, Mimi nous gratifie d’un « c’est une satire des journalistes politiques tout au plus, un petit peu des hommes politiques aussi à vrai dire. Mais les personnages principaux, non. », je vais donc m’empresser de me procurer le scélérat codex !