« …on voit la femme s’émanciper : prendre, comme dit la Bible, le vêtement de l’homme, affecter les formes, le langage, les allures de la virilité, et aspirer à en exercer les fonctions.
Partout et dans tous les temps, on rencontre de ces créatures excentriques, ridicules dans leur sexe, et insupportables au nôtre : elles sont de plusieurs espèces.
Chez les unes, ce chic masculin est l’effet du tempérament et d’une grande vigueur corporelle : on les appelle des viragos. Ce sont les moins à craindre; elles ne sont pas prosélytes, et il suffit de la critique des autres femmes pour les ramener à l’ordre.
Chez d’autres, la tendance à l’émancipation procède d’un travers d’esprit, ou de la profession qu’elles exercent, ou bien enfin du libertinage. Celles-ci sont les pires : il n’y pas de forfait auquel l’émancipation ne les puisse mener.
À certaines époques, l’esprit de secte s’en mêle; la défaillance des moeurs publiques vient compliquer le mal : la lâcheté des hommes se fait l’auxiliaire de l’audace des femmes; et nous voyons apparaître ces théories d’affranchissement et de promiscuité, dont le dernier mot est la PORNOCRATIE.
Alors c’est fini de la société. »
Pierre-Joseph Proudhon – La pornocratie ou les femmes dans les temps modernes (Éd. A. Lacroix et Cie, Librairie internationale, chapitre IV Physiologie de la femme émancipée, p. 68 et 69)– 1875
Sans rapport aucun, si le 19 juin, tu es sur paris… fais signe : atoilhonneur@yahoo.fr
Je crains qu’à nouveau, je sois dans l’obligation de faire faux-bond !…
Nous fêtons les 40 ans de mon club de rugby et nous accueillons pour l’occasion les demi-finales et la finale du challenge inter-comités.
Je fais partie des dirigeants du club donc…
Merci quand même pour l’info !
Dès que j’ai l’occasion de me rendre à la capitale, je vous fais signe.