Maltraitance covidiste

Et ça continue encore et encore… c’est que le début, d’accord, d’accord !

Nous nous doutions depuis longtemps de l’inutilité, voire de la nocivité, du masque chirurgical pour les enfants, et ceci était déjà pointé du doigt par les spécialistes de l’enfance et l’OMS en 2021. Le Dr Nicole Delépine, pédiatre, oncologue et ancien Chef de service à l’AP-HP, confiait, dans un article du 18 juin 2021 d’Aurélie Blaize dans Le journal des femmes, que « s’il dure plusieurs mois (le port du masque) peut avoir beaucoup de conséquences chez les enfants : il y a une perte de facultés respiratoires du coup les enfants somnolent, ne retiennent pas bien en classe. Certains ont la sensation d’étouffer. Le port du masque a des conséquences cognitives, sur leurs capacités d’apprentissage, d’écoute, d’attention. Il y a aussi les troubles cutanés (peau sèche, eczéma par exemple), des nausées chez certains enfants, et des maux de tête liés à une diminution d’oxygène et à l’augmentation de gaz carbonique. Sans oublier que le masque est un milieu de cultures énorme en particulier en ce moment où il pleut. Vous avez des masques mouillés qui sont des bouillons de bactéries et éventuellement de champignons (un masque mouillé doit être jeté et remplacé sans attendre) ».

Elle ajoutait : « […] on voit bien que ça donne des effets secondaires alors que son port ne protège pas contre le virus. Beaucoup de gens ont commencé à le comprendre ne serait-ce que parce que c’est marqué sur les boîtes »… On a peine à croire ce que nous lisons !…

De plus, dès 2020, bien avant les trop nombreuses mesures coercitives infligées à nos enfants, nous savions que cette catégorie de la population était très peu affectée par le Covid-19 en termes de transmission à un tiers (enfant ou adulte) ou de mortalité (de la naissance jusqu’à 40 ans, les chiffres ont oscillé de 0% à 1% ! Même l’obligation vaccinale paraît aberrante !).

Une étude de l’Institut Pasteur du 23 juin 2020 indiquait que : « Dans l’ensemble, les résultats de cette étude sont comparables à ceux d’autres études réalisées à l’étranger, qui laissent entendre que les enfants de 6 à11 ans s’infectent plutôt en milieu familial qu’à l’école. La principale information nouvelle apportée par cette étude est que les enfants infectés n’ont transmis le virus ni aux autres enfants, ni aux enseignants et ni aux autres personnels des établissements scolaires« .

Trois ans après les études de l’Institut Pasteur et de l’Imperial College de Londres de 2020, tout ceci est confirmé par une nouvelle étude révélant que le port du masque engendrerait de graves conséquences chez les enfants (cf. billet de Franck Pingam du 1er mai 2023 chez Les moutons enragés, d’après le billet original de Steve Watson du 24 avril 2023 de Summit News).

Il est ainsi révélé que cette « nouvelle étude réalisée par des chercheurs allemands a conclu que les masques faciaux peuvent provoquer une intoxication au dioxyde de carbone lorsqu’ils sont portés, (même pendant de courtes périodes) et qu’ils peuvent avoir contribué de manière significative à la mortinatalité lorsqu’ils étaient portés par des femmes enceintes, ainsi qu’au dysfonctionnement testiculaire et au déclin cognitif chez les enfants, parmi d’autres problèmes de santé destructeurs.

Comme le rapporte le Daily Mail (du 23 avril 2023), la recherche publiée dans la revue Heliyon comprend un examen de 43 études précédemment publiées sur l’exposition au CO2, le port de masques et la grossesse.

L’étude note que même une exposition à court terme à des concentrations de CO2 aussi faibles que 0,3 % a provoqué des lésions cérébrales, une augmentation de l’anxiété et une altération de la mémoire chez les rates enceintes et les jeunes souris en laboratoire.

Dans un autre cas, des souris mâles exposées à 2,5 % de CO2 pendant quatre heures ont vu leurs cellules testiculaires et leurs spermatozoïdes détruits ». La suite ici chez Les moutons enragés

Nous voyons bien que toutes les précautions abusives et les obligations sanitaires ayant joué sur les peurs et les inquiétudes des parents, ont fait parti d’un processus global d’avilissement des populations (à commencer par les plus jeunes) et ont été à l’origine d’une véritable et inadmissible maltraitance de nos enfants.

Tous les responsables politiques et les autorités éducatives, autant que sanitaires, doivent à présent rendre des comptes et payer pour tout cela. La sévérité du châtiment devra être à la hauteur de l’abjection des mesures sanitaires prises à l’encontre des enfants et des dégâts causés à leur développement psycho-moteur.

Spéculoos vs théière

Tremper le spéculoos dans la théière de la rombière est chose aisée, tout mâle qui se respecte sait le faire, il n’y a pas de gloire.

Mais lorsqu’un moutard en est le résultat, là, les choses diffèrent d’un simple 5 à 7…

Mettre au monde un enfant puis s’attacher à lui offrir les meilleures conditions pour qu’il grandisse, et lui donner une bonne éducation sont deux missions qui relèvent du sacerdoce et d’une maturité certaine.

Il faut prendre ses responsabilités !

Il est évident que dans une société qui génère des « adultes » consommateurs égocentriques dont on ne doit jamais entraver la jouissance ou interdire les désirs, de tels individus sont donc des enfants attardés capricieux (l’infantilisation grandissante des citoyens étant le plus flagrant des symptômes (ici ou ici)), et nous ne pourrons alors que constater l’augmentation du nombre de ces faits-divers estivaux récurrents : l’oubli ou l’abandon d’enfant(s) par leur(s) « parent(s) » dans une voiture surchauffée.

Oublier son enfant… c’est pour ma part quelque chose d’inimaginable, d’incompréhensible, d’ignoble, d’une insondable imbécilité.

On oublie ses clés, son portable (quoique, pour certains, il soit greffé à leur corps…), etc.

On oublie des choses, des objets mais sa progéniture, la chair de sa chair… inadmissible !

Le dernier cas nous est narré dans Le Dauphiné d’aujourd’hui : « Lundi, en fin d’après-midi, la police municipale de Carcassonne a sorti d’une voiture surchauffée au soleil, un bébé de 4 mois qui suffoquait à l’intérieur. Ses parents ont été retrouvés dans une boutique de vêtements. »

Heureusement qu’un buraliste (le Dauphiné ne précise pas son nom alors que l’Indépendant le fait… N’Diaye… tiens, le Dauphiné serait xénophobe, quoique ce brave citoyen est peut-être « français », et l’Indépendant racoleur, faisant plaisir à la part allogène grandissante de la population du Sud de la France ??…) passait par là.

C’était un bébé qui pleurait, il était tout rouge. La vitre était un tout petit peu ouverte mais ça devait être la fournaise à l’intérieur. »

Conscient de la gravité de la situation il prévient alors la police qui rapplique à toute vitesse et décide de briser la vitre avant-gauche de la voiture, pour ne pas blesser le bébé situé sur le siège arrière-droit. « Le bébé était écarlate et il n’avait plus rien à boire, témoigne un policier. Les pompiers sont arrivés et l’ont rafraîchi. Il s’est jeté sur le biberon. »

Mais les policiers n’étaient pas au bout de leurs surprises. « Ça nous a pris dix minutes pour retrouver les parents. Un témoin nous a donné le signalement de la maman qui a une jambe dans le plâtre. Ils étaient dans un magasin de vêtements de la rue piétonne ! Et quand le monsieur est arrivé, il s’est d’abord inquiété pour sa voiture ! » »

Inquiet pour sa voiture… il me semble que la seconde partie de la méthode pédagogique pour les squatteurs s’impose en premier lieu, puis il faudrait envisager  de lui faire passer le « code de paternité »…

Finalement, le gugusse ne se démonte pas et, le lendemain, il se pointe en mairie ce que nous relate le MIdi Libre du 22 juillet 2015 : « Scène surréaliste mardi 21 juillet en mairie de Carcassonne. L’élu en charge de la sécurité a reçu un homme se plaignant d’une dégradation de son véhicule qu’il impute à des policiers municipaux. Il s’agissait en fait du père du bébé de 4 mois que des agents avaient extrait, lundi en fin de journée, d’un véhicule surchauffé. Ses parents l’y avaient laissé pour aller faire du shopping.
Une rencontre avec le maire lui ayant été refusée, l’homme a été invité à se rendre au commissariat pour y déposer éventuellement une plainte. Attendus par ailleurs par un officier de police judiciaire pour être entendus, les parents ne s’étaient toujours pas présentés mardi soir.
« Ces parents disaient que c’était normal de laisser leur enfant dans la voiture. Ce n’est absolument pas un oubli… », a confié l’élu, évoquant le compte rendu des policiers municipaux. L’état du bébé, toujours en observation mardi à l’hôpital de Carcassonne, n’était pas d’une extrême gravité à la sortie du véhicule. À coup sûr grâce aux deux agents. »

Ce n’est donc pas un oubli… en plus d’être ignoble et imbécile, ce sont des pervers et des salopards.

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