Étiquette : gauchiste
Principe révolutionnaire
« Quand un homme désire avoir de l’argent et qu’il est courageux , actif et entreprenant, il travaille de toute sa force.
Quand il est avide et paresseux, il se déclare révolutionnaire. Il veut changer le sort de l’humanité, parce qu’il n’est pas capable de changer le sien. »
Abel Bonnard – L’Argent ( Éd. Librairie Hachette, p.49) – 1928
Nivellement moderne
Barbet breton
Le Barbet, à l’origine de la race des Caniches, était très apprécié auprès des Grognards de la Grande Armée de Napoléon 1er.
Le Barbet breton Urvoas de la première circonscription du Finistère souhaiterait apparemment devenir le favori du grognard hispanique prétentieux de François Normal 1er dont la popularité a pris un coup de mou (Le Parisien du 24 août 2014).
Suite à la énième fanfaronnade du pédant Montebourg dans Le Monde du 23 août 2014 (la critique de la politique économique des bouffons au pouvoir est justifiée mais il faut prendre les décisions et les initiatives adéquates lorsque l’on est en position de le faire plutôt que de jacasser devant les caméras sachant pertinemment que l’on perdra alors les moyens d’action pour contrer une telle politique économoue désastreuse ! Quand on appelle à « hausser le ton », il faut en avoir les moyens…), à laquelle s’est associé le pitchoun Hamon apprend-on dans Le Parisien du lendemain, Urvoas a sauté sur l’occasion pour montrer de façon bien visible sa fidélité à son maître.
Il déclare le même jour au micro de Bourdin sur RMC lorsque ce dernier lui demande si les deux ministres doivent être sanctionnés : « Je crois que oui. Je souhaite qu’ils le soient (…). Dans le code de la route, lorsqu’on franchit la ligne jaune, il y a amende ou retrait de permis (…). C’est le Premier ministre, en accord avec le président, qui décidera. On ne devrait pas attendre trop longtemps pour savoir » après avoir sèchement critiqué l’expression publique politique, la qualifiant de « navrante » (à partir de 0:43)… et sur ce point, tout le monde s’accordera à dire qu’il a bien raison !!
Le Figaro du 25 août 2014 rapporte en outre que, d’après le servile Urvoas, « l’autorité de Manuel Valls a été mise en cause. Il doit décider de la sanction. (…) Montebourg et Hamon doivent être sanctionnés. » et il rajoute « il y a un manquement dans le sens de la collégialité, ça ne peut pas passer comme une lettre à la poste ».
Un sacré bon coup de lèche somme toute puisqu’il me semble que Valls ou Le Foll, actuel porte-parole du gouvernement, sont assez grand pour mettre les pendules à l’heure hollandaise sans avoir recours à la parlote bretonne.
Force est de constater tout de même que le Barbet qui nous préoccupe maîtrise bien la flagornerie afin de faire carrière puisqu’il en avait déjà usée avec le dhimmi immigrationniste Cazeneuve en avril dernier lors du remaniement ministériel. En vain… mais il sait se placer le bougre !
Urvoas sait très bien ce qu’il veut, un poste de ministre sinon rien, pas même secrétaire d’état ! Lui qui était pressenti pour faire partie du premier gouvernement Valls et qui n’a pu obtenir satisfaction espère bien prendre sa revanche.
Verdict aujourd’hui… et finalement, le Barbet n’a pas eu son nonos !…
En tous les cas, cette tête d’ampoule ne brille pas par son expression publique qui, elle aussi, est navrante voire pitoyable. En effet, ses différentes sorties n’ont pas brillé par leur intelligence.
Tout d’abord, lors de l’affaire Merah, Le Parisien du 22 mars 2012 révélait le « couac » du parlementaire à la rose dont le tweet était qualifié par Éric Ciotti de honteux, indigne et grotesque.
Un témoignage édifiant sur l’impulsivité et la bétise des politiques à l’affut de la moindre actualité pour faire le « buzz » et faire le malin, avant de se rétracter, s’excuser ou d’essayer de sortir des théories fumeuses sur les « phrases sorties de leur contexte », le » manque de place ou de temps pour donner des explications précises » ou ‘l’usage de simplifications malheureuses »…
Ensuite, après avoir manqué de respect au RAID, il s’attaqua un an après à un autre corps d’élite français (élite française dont il est loin de faire partie !) lorsqu’il crut remplir une mission essentielle de salut publique en tant que bon chasseur de nazis ou fascistes ou extrême-droitiste, au choix, en dénonçant le 4 août 2013 sur son blog, comme tout bon collabo qui espionne ses semblables, la mise en ligne sur le portail virtuel de la légion étrangère d’un cliché illustrant un billet sportif.
Par des raccourcis imbéciles et la bétise idéologique habituelle de tout bon gauchiste consistant à assimiler toute croix celtique à un symbole d’extrême-droite (et même si cela était le cas, y aurait-il un problème avec la liberté d’expression individuelle par le tatouage ??!!…), il arriva à faire changer cette photo de part la pression politique qu’il réussit à exercer par sa dénonciation. Un breton indigne de son héritage culturel que dénonça Danielle Roméro dans l’Union Républicaine du 9 août 2013.
Vous avez dit censure ????…. meuh non, mon brave, pas de censure chez les socialo !
À ce propos, un caporal-chef avait adressé au dénonciateur un lettre pas piquée des vers, lettre destinée aussi à tous les incompétents de gauche en général que Nouvelles de France du 9 août 2013 mettait en ligne.
Carine à l’époque rappelait justement ce que sont triskell et croix celtiques dans un billet, nécessaire mise au point.
Pour revenir à l’olibrius du moment, il fut à l’origine d’un bel exercice de propagande et de manipulation des esprits à l’aide des médias à propos des chiffres concernant la délinquance en France.
Passons sur le classique « sous la droite, c’était pire » (ce que sait très bien éructer aussi la droite dans l’autre sens!), Urvoas le cynique se félicite que les violences aux personnes aient diminué alors que la journaliste aborde le phénomène de l’explosion des cambriolages perpétrés par la mafia d’Europe de l’Est, ne pas répondre directement à la question posée par la belle Windy Bouchard (houla… la gestapo féministe risque de me tomber dessus ! aurais-je fait un tel commentaire pour un homme ??!… non bien entendu, n’étant pas un inverti) est un exercice de contorsion politique qu’il réussit à merveille mais relève d’une incorrection exemplaire.
Ce qui est sûr, c’est qu’il n’a aucun scrupule à tordre la réalité en n’évoquant que des parties des chiffres de la délinquance en France. Il est possible de faire dire tout et son contraire à une base de données chiffrées selon le prisme politique ou idéologique utilisé. Mais seules la réalité et la vérité comptent.
Certes les atteintes aux personnes ont baissé d’après la Police Nationale mais pas d’après les services de gendarmerie qui ne constatent que des hausses tant en homicides volontaires qu’en tentatives d’homicides ou en violences sexuelles (ces dernières ne baissant pas non plus selon les données policières… ce qui peut nous interpeller quant à un autre sujet, celui de l’hypersexualisation de notre société et son impact sur les comportements individuels).
Force est de reconnaître que dans l’ensemble des atteintes aux biens et aux personnes, les pourcentages sont à la hausse !
Il ose dire : « quand on mène uns action, elle porte ses fruits »… mais de quelle action parle-t-il précisément ? de qui se moque-t-il ?!!!… Je donnerai beaucoup pour l’avoir comme sparring-partner à ce moment là !!!
Plutôt que de rouler des mécaniques à la radio, surtout lorsque l’on est taillé comme une allumette, Urvoas le baratineur ferait mieux de s’occuper d’un thème chers à ses administrés, la délinquance dans le Finistère, car les chiffres ne sont pas bons selon Ouest-France du 28 janvier 2014.
Au lieu de fanfaronner sur les plateaux parisiens, ce politicard devrait se pencher sérieusement sur ce qui se passe chez lui avant de tomber des raisonnements à deux francs au niveau national, surtout qu’il avoue lui même dans le JDD du 3 avril 2011 : »La sécurité, c’est même pas un sujet à Quimper, je n’y connais rien. ». Désespérant baltringue !!…
Nous sommes bel et bien en présence d’un menteur qui transforme la réalité comme tout bon gauchiste.
Le déni est leur spécialité ! Déni du grand remplacement, déni de ce qu’est un homme et une femme, déni du mariage,…
Il est bon de savoir aussi que ce même monsieur osa publiquement déclarer qu’il séchait une partie des heures qu’il doit à la nation sous le faux prétexte de débats indignes lors des questions d’actualité à l’Assemblée, temps qu’il doit tout simplement effectuer en raison de ses fonctions, comme si l’ouvrier à la chaîne pouvait lui choisir de ne pas se présenter à tel ou tel moment à son poste !!!….
Ce menteur est donc aussi un branleur payé par nos soins.
Il s’essaie en plus au petit kapo jouant la fermeté face au sénat à propos de la réforme territoriale dont l’importance est pourtant loin d’être négligeable et les impacts à court et moyen termes catastrophiques pour de nombreuses régions, réforme qui n’est décidément pas urgente et je dirai même, pas nécessaire, quand on sait les nombreux problèmes préoccupant les français actuellement qui sont tout autre !
Finalement, ce président de la commission des lois (rien que ça !) ne voit aucun inconvénient à se passer de l’avis du Sénat alors que le débat au sein de cette institution fait partie intégrante du processus démocratique si cher aux socialistes et aux gauchistes en général.
Pour finir, Urvoas détient aussi la casquette de « monsieur sécurité » du PS (au secours !!…) et démontre une fois de plus, dans un article du Point du 4 juillet 2013, toute son incompétence et sa propension à la propagande et au mensonge. Ses déclarations qu’il avait faites au Monde le même jour ont été mises en pièces sur le site Reflets.com le lendemain, expliquant pourquoi monsieur sécurité racontait n’importe quoi, alors que le député breton venait à nouveau de fanfaronner sur twitter.
D’ailleurs, il semble pratiquer le tweet de façon régulière, c’est dire qu’il est débordé…
À présent, il serait bon que le Barbet breton file à sa niche et qu’on ne l’entende plus ! Couchez JJ ! Couchez !
Ò mon païs, ò ma blòda
Depuis le temps que je promeus autour de moi l’idée du port d’un vêtement commun pour tous les élèves d’un établissement scolaire, tout d’abord dans un souci de réussite, celle de l’intégration des valeurs sur lesquelles reposent la destinée commune des composantes d’un peuple (ce sentiment d’appartenance au groupe passe temporairement par le port d’un uniforme comme c’est le cas avec le port d’un maillot d’une équipe de rugby lors d’un tournoi) , mais surtout, ensuite, dans une volonté d’améliorer la qualité des acquis afin de relever le niveau global des apprenants (élément de langage dont raffole les pédagogistes de l’Éducation Nazionale).
Cette démarche que j’avais évoquée dans « Affaire de frusques » en février 2013 est à mon avis essentielle pour remettre l’ensemble de la jeunesse française sur les rails des apprentissages fondamentaux (français, mathématiques, histoire-géographie et sciences) et pour remiser cette obsession de l’apparence qui ne permet pas de se concentrer sur le but premier de l’instruction publique (oui… je préfère cette terminologie plutôt qu’éducation nationale) qui est de s’instruire afin de s’émanciper de toute propagande, afin de devenir un homme libre (liberté de pensée) dans le respect du passé, de l’expérience ses anciens et des fondements de notre civilisation, loin de toute logique de la table rase et du rejet des traditions culturelles.
Ainsi, quelle ne fut pas ma stupéfaction lorsque j’appris dans un article du Figaro du 19 juin 2014, écrit par Caroline Beyer, que, même dans le public, le sujet du port de l’uniforme est de plus en plus considéré, peu importe si pour cela, il faut aborder cette question sous l’angle pitoyable et devenu habituel des jérémiades égalitaristes…
« Le collège Pierre-de-Fermat, un établissement public huppé, a écrit aux parents des 900 élèves pour qu’ils se prononcent pour ou contre le port de la blouse. Cette initiative vise à atténuer les inégalités sociales. »
« La blouse? On n’ose pas en parler dans les établissements publics…» Françoise Lombardo, principale du réputé collège public Pierre-de-Fermat, le plus ancien collège de Toulouse a choisi, elle, d’étudier très sérieusement cette option. Après avoir abordé le sujet, il y a quelques semaines lors du dernier comité d’éducation à la santé et la citoyenneté, l’établissement a écrit aux parents des 900 élèves, les appelant à se prononcer.
Dans l’attente de ces résultats, la principale précise d’ores et déjà qu’une telle mesure ne pourrait intégrer le règlement intérieur qu’à partir de la rentrée 2015. Mais déjà, l’affaire a fait parler d’elle dans les medias et suscité de premiers émois. «Une vaste hypocrisie pour Hélène Rouche, présidente départementale de la FCPE 31. Ce n’est pas une blouse qui va cacher les inégalités sociales. Nous ne sommes plus dans les années 50.»
« Nous voulons lutter contre la dictature des marques »
La principale du collège Pierre-de-Fermat
«Je ne peux pas m’habiller comme ça. Je suis au collège Fermat». Un raisonnement que font bien des collégiens de cet établissement huppé du centre-ville de Toulouse, assailli de demandes, selon la principale de l’établissement. «Nous voulons lutter contre la dictature des marques et de certains élèves, socialement privilégiés qui imposent les tenues et se placent en situation de domination», explique-t-elle, n’hésitant pas à faire le lien avec une forme de harcèlement. » […]
[…] « Si elle devait arriver au collège Fermat, elle serait «identique pour les filles et les garçons» estime la principale. Afin de lisser, là aussi, les différences. Et cacher les tenues inappropriées, ces shorts courts, décolletés plongeants et autres tenues de plages qui, avec les beaux jours, envahissent les salles de classes. »
(source dans son intégralité)
Pas étonnant qu’une militante du syndicat gauchiste FCPE rejette automatiquement une telle réflexion, étant dans sa logique de table rase du passé (sauf du passé gauchiste !) et étant convaincu qu’il n’est pas possible de revenir en arrière (les années 5à, quelle horreur !!… brrr…) puisque ces gens là ne se trompent jamais…
Le point sur lequel je la rejoints, et, à ce propos, elle nous gratifie d’ailleurs d’une belle lapalissade, c’est que les inégalités sociales dans la réalité ne disparaîtront pas (et qu’il y ait des disparités sociales n’est pas un problème en soi !) mais ce n’est pas l’objet du débat !!! Que ce inégalités restent une réalité n’est pas un souci. Le port de l’uniforme, par contre, les fait disparaître symboliquement (et quand on observe la force du visuel, de l’aspect extérieur chez les jeunes, le résultat positif d’une telle démarche est immanquable) et permet, en plus de dépasser des frontières de classes sociales, de gagner du temps pour s’habiller, d’éliminer des préoccupations futiles chez nos adolescents qui les absorbent durant un temps précieux, et enfin d’augmenter leur concentration en classe en évitant d’être perturber par la tenue de la voisine (tenue qui ces derniers temps devient de plus en plus provocante avec les résultats désastreux que l’on peut connaître à ces âges auxquels les fréquences de pulses hormonaux sont élevées !).
D’ailleurs, les exagérations allant dans le sens d’une soi-disant « liberté de s’habiller » deviennent choses courantes, avec la complicité des grands distributeurs (Zara, Zwag voir tenues ci-contre,…), et devant des comportements qui abusent de la marge de manoeuvre que peut laisser un environnement scolaire, certains adultes responsables, comme au lycée Branly de Nogent-sur-Marne (Le Parisien Val de Marne – 12 septembre 2012),en arrivent à prendre les décisions qui s’imposent malgré les critiques systématiques de « certains parents » (des gauchistes sous-entendu) usant toujours des mêmes éléments de langage idéologiques (stigmatisation, classes de genres,…).
En attendant, cette tendance à privilégier un « patriotisme d’établissement » est un des indices du lent réveil des français. Et cela me satisfait.
En espérant que l’on arrive à la fin à retrouver un patriotisme de nation du peuple de France !
Masochisme cordicole salutaire…
…ou stratégie de manipulation de la part des merdias gauchistes (regardez bien le générique d’introduction : surprenant !) pour tenter de montrer un brin d’impartialité et afin d’embrouiller les esprits fatigués des travailleurs éreintés et extorqués par un système crénaphage (chacun y va de son néologisme alors pourquoi pas moi ??!!…) ?
Toujours est-il que cette fameuse magistrate, habituée des plateaux télé (pas devant mais dessus), la tête-à-claques Évelyne Sire-Marin, ancienne présidente du SM et du mur des cons, ouvertement gauchiste, accessoirement titulaire des meilleurs laissez-passer cordicoles (présidente d’honneur de la fondation Copernic et vice-présidente de la Ligue des droits de l’Homme) se fait bien remettre à sa place, c’est-à-dire à celle des bonimenteurs, des idéologues qui ne sont en rien rattachés au principe de réalité auquel sont confrontés, souvent douloureusement, une grande partie de nos concitoyens de plus en plus atteints par le SIDA mental.
Cela fait partie des moments de vérité qui sont d’une intense jubilation.
Un peu de clarté et de transparence dans cette mélasse obscure des jeux politico-médiatico-judiciaires n’est pas fait pour me déplaire !
(émission 28′ – chronique Désintox – Arte – 30-10-2013)