La mite à propos de Crépol, du laxisme sécuritaire français et de la corruption systémique ripoublikaine…

Explication parfaite de l’absurdité totale de la situation nationale de ces dernières décennies en termes de sécurité et de corruption nationales ! La Mite, une fois n’est pas coutume, a tapé très fort, et c’est chez « Politique émois et moi » ! (cf. lien ci-après)

Cette corruption ripoublikaine me sort par les yeux de plus en plus !!!!! Ils s’étonnent ensuite des réactions plus ou moins violentes ou virulentes contre les élus ou les chiens du système (flics et journaliste)… J’enrage vraiment !

Le texte de la vidéo est ici (merci P.-E.)

P.S.: La Mite aurait pu aussi parler du million de manifestants en 2013 dont j’ai fait partie ! Aucun impact, aucune considération (alors que 100000 pour une marche d’andouilles il y a 1 mois contre l’antisémitisme , c’est une réussite dont il faut tenir compte absolument, sachant qu’il n’y a pas plus important comme l’effondrement de l’éducation nationale ou la déliquescence totale du système de santé français…)

Déni idéologique français

Pendant que ces deux imbéciles s’écharpent sur tout et n’importe quoi, que l’un propose avec « force » la distribution de flyers en réponse aux émeutes estivales et que l’autre se balade en Italie pour rouler des mécaniques avec son physique de guignol, la France s’enfonce tous les jours d’avantage dans la violence et la balkanisation…

« Les passes d’armes entre les ministres de l’Intérieur et de la Justice sont un grand classique qui se joue régulièrement, depuis l’entrée en force du Syndicat de la magistrature, place Vendôme. Quelles que soient les majorités en place, les rapports entre les deux ministères régaliens ont été rythmés par de spectaculaires affrontements, conséquence logique du fossé qui s’est creusé sur le terrain entre juges et flics. Les locataires successifs de la place Beauvau s’égosillent vainement en rodomontades, pour au bout du compte s’incliner sous les coups de boutoir d’une justice plus sensible au sort des délinquants qu’à celui de leurs victimes. Tous les ministres de l’Intérieur quelque peu impétueux, de droite comme de gauche, ont été renvoyés dans leurs cordes par leurs collègues de la justice, soucieux de ne pas se mettre à dos des juges peu enclins à répondre aux souhaits de la police. Le scénario est toujours le même. Sous la pression de l’opinion exaspérée par une délinquance de plus en plus violente, la place Beauvau commence par afficher une politique de fermeté, en appelant les juges à prononcer des peines dissuasives. Peine perdue! Dans les prétoires, on se montre plus disposé à la compréhension des délinquants et aux peines alternatives, qu’à l’emprisonnement. Finalement, le conflit est porté sur la place publique par les ministres eux-mêmes, jusqu’à menacer la cohésion gouvernementale ».

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