Les cavaliers de l’Apocalypse

« Across a painted desert lies a train of vagabonds
All that’s left of what we were, it’s what we have become
Once our empires glorious but now the empire’s gone
The dead gave us the time to live and now our time is done… »

Iron Maiden – The writing on the wall – 2021 [album Senjutsu]

À travers le Painted Desert se trouve un train de vagabonds. Tout ce qui reste de ce que nous étions, c’est ce que nous sommes devenus. Autrefois nos empires étaient glorieux mais maintenant l’empire a disparu. Les morts nous ont donné le temps de vivre et maintenant notre temps est fini…

Prochain sur la liste noire progressiste ?…

« Il est admis que la blancheur, par sa pureté, rehausse la beauté de maintes choses naturelles : marbres, laques, perles, et il est connu que plusieurs nations ont donné une certaine prééminence royale à cette couleur sur toutes les autres ; les vieux rois barbares et grandioses de Pégu, avant tout autre titre, se disaient : « Seigneurs des Éléphants Blancs », et les modernes rois du Siam font figurer sur l’étendard royal ce même quadrupède blanc de neige. Le drapeau de Hanovre porte l’image d’un cheval blanc comme la neige. Le grand empire césarien d’Autriche, héritier de la tyrannie romaine, a pris cette teinte impériale pour couleur d’empire. Il faut bien admettre aussi que cette prééminence s’applique également à la race humaine : l’homme blanc passant pour le maître idéal de toute peuplade noire ».

Herman MelvilleMoby Dick (Éd. Gallimard, coll. 1000 soleils, Évreux, 1989, p. 208) – 1851