Soros…ité cordicole

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Tel un épanchement séreux bien répugnant, sorte d’ascite adipeuse libérale progressiste, l’influence de George Soros se répand partout où ses intérêts financiers et idéologiques Soros-network Italiesont protégés et promus, histoire d’étendre son influence au maximum et, par conséquent, d’augmenter considérablement sa capacité de nuisance internationale comme l’illustre son réseau d’influence pro-migrants en Italie (voir infographie ci-contre).

Les Observateurs donnent un aperçu de ses techniques de propagande par le réseau « Un responsable hongrois met en garde contre les plans de Soros de créer un nouveau réseau universitaire mondial« .

Grégor Puppinck , juriste français né en 1974, docteur en droit et diplômé de l’Institut des hautes études internationales, vient d’amener une preuve supplémentaire quant à l’importance de la « prégnance sorosienne » dans de nombreux dispositifs décisionnels et politiques en Europe comme ailleurs.

Soros le fourbeIl dénonce les pratiques de ce milliardaire sans scrupule, ni moralité (en plus de ses méthodes coercitives et son emprise abusive dans de trop nombreux secteurs économiques et politiques par l’intermédiaire d’ONG intrusives, ce donneur de leçons change de femmes comme de chemise : il en est à  3 mariages et sa dernière femme, Tamiko Bolton,  a 40 ans de moins !), dans un article de Valeurs Actuelles le 28 avril 2020, intitulé « Emprise de Soros sur la Cour européenne des droits de l’Homme : la CEDH persiste et signe« , et dont voici un large extrait.

Mise en cause par le rapport de Grégor Puppinck révélé au mois de février par Valeurs actuelles, la Cour européenne des droits de l’homme vient de répondre à sa manière en annonçant l’élection du juge le plus contesté, Yonko Grozev, au poste important de président de section.

Pour Grégor Puppinck, docteur en droit, directeur du Centre européen pour le droit et la justice, la CEDH confirme ainsi la prégnance en son sein du réseau d’influence de l’Open Society de George Soros.

Deux mois après sa publication, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a enfin répondu au rapport de l’ECLJ qui a révélé l’existence à une large échelle de conflits d’intérêts entre 18 juges de la haute juridiction strasbourgeoise et 7 ONG financées par Georges Soros, dont la richissime et controversée Open Society.legami-5-min-2

Mais c’est à sa manière que la CEDH y a répondu : non par la contestation de faits incontestables, et dont la révélation a fait scandale dans toute l’Europe ; ni par l’adoption des mesures nécessaires pour éviter que ne se reproduisent de tels conflits d’intérêts ; moins encore par la sanction de ces juges, comme l’aurait pourtant fait n’importe quel conseil de la magistrature national. Elle y a répondu à l’inverse : par l’élection à l’importante fonction de “président de section” du juge le plus controversé, le bulgare Yonko Grozev.Yonko Grozev

Rappelons que celui-ci a fait toute sa carrière comme avocat militant dans des ONG proches de George Soros ou financées par celui-ci, jusqu’à devenir l’un des responsables mondiaux de la branche de l’Open Society spécialisée dans l’utilisation des institutions judiciaires à des fins politiques (l’Open Society Justice Initiative). Il s’est fait connaître, entre autres, comme avocat d’un groupe de femmes punks (Pussy Riot) ayant commis un spectacle sacrilège dans la cathédrale de Moscou.

Un militant dépourvu de toute expérience de magistrat

Déjà, en 2014, les modalités de sa nomination à Strasbourg avaient été contestées, car trois membres du comité de sélection bulgare étaient ses collègues au sein d’ONG. Une plainte dénonçant l’irrégularité de la procédure de sélection, adressée au Conseil de l’Europe par une organisation locale, fut classée sans suite.

C’est dans ces conditions que ce militant, dépourvu de toute expérience de magistrat (comme la majorité des juges de Strasbourg), est devenu l’un des 47 juges de la Cour européenne des droits de l’homme. Peu après son élection, ses nouveaux collègues lui donnèrent gain de cause dans l’affaire des Pussy Riot, et condamnèrent la Russie à lui verser, selon l’usage, une indemnité substantielle.

Comme juge, il fut saisi d’affaires qu’il avait lui-même introduites à la CEDH en tant qu’avocat, ou qui l’avaient été par ses anciens collègues d’ONG. Si dans 9 de ces affaires, il a renoncé à siéger comme il en avait le devoir, il a en revanche participé au jugement d’au moins 10 autres affaires introduites ou soutenues par des ONG qu’il avait lui-même fondées ou dirigées encore récemment. (La liste de ces affaires accessible dans les annexes du rapport)

Un tel comportement constitue, pour un juge, un manquement grave et répété à ses obligations déontologiques élémentaires. Dans n’importe quel État de droit, l’auteur de tels manquements encourrait de lourdes sanctions disciplinaires. D’ailleurs, à la suite de la publication du rapport, le ministre de la Justice de Bulgarie a évoqué publiquement l’hypothèse de la révocation de Yonko Grozev, tout en rappelant qu’il revenait à la CEDH d’en décider. Yonko Grozev s’est défendu en attaquant l’ECLJ, et en déclarant impossible sa révocation, car il faudrait alors destituer tous les juges visés dans le rapport. Il serait ainsi comme protégé par les autres juges mis en cause.

Manifestement, son élection comme président de section lui a donné raison. Les anciens juges qui avaient lu et approuvé le rapport avant sa publication m’avaient prévenu de cette probable réaction de défense mutuelle entre juges. Quatre des neuf juges de la section à laquelle le Bulgare appartient (celle en charge notamment des affaires françaises) sont d’ailleurs au nombre des 18 juges mis en cause.

La suite de l’article est à lire ici


Grégor Puppinck est l’actuel directeur du Centre européen pour le droit et la justice (ECLJ, European Centre for Law & Justice), organisation non gouvernementale internationale fondée en 1998 à Strasbourg et titulaire du statut consultatif spécial auprès des Nations-Unies depuis 2007. Opposé aux dérives transhumanistes et notamment à la GPA, ardent défenseur de la liberté de conscience, il s’est fait remarquer dans l’affaire Lautsi et autres c. Italie, dans laquelle la Grande Chambre de la Cour européenne des droits de l’homme a finalement jugé que la présence de crucifix dans les écoles publiques ne violait pas la Convention européenne des droits de l’homme. Son dernier livre, Les droits de l’homme dénaturé, est paru aux éditions du Cerf.

Squat estival

Les mois de juillet et août sont attendus par de nombreux travailleurs français avec une grande impatience pour retrouver des coins familiers de leur enfance où ils se ressourceront ou pour profiter de leur investissement immobilier, fruit de leur dur labeur (ou d’un héritage, conséquence d’un dur labeur des aïeux) afin de se reposer, de profiter de leur famille, la vraie (là, je sais que je suis restrictif, discriminant pour toutes les « nouvelles familles » mono, homo ou décomposées…), et de recharger les accu avant de repartir au boulot et produire pour financer la nation.

Mais certains ont parfois de drôles de surprises…

Ainsi, nous apprenons dans le Valeurs Actuelles du 17 juillet 2015 que certains parasites, pensant que tout leur est dû et que la vie a tellement été injuste avec eux qu’ils doivent imposer aux autres leurs choix de façon autoritaire, méthode pourtant qu’ils dénoncent chez les « fascistes réactionnaires arriérés » (…), ont investi la maison d’ : « une famille de la région parisienne qui voulait se rendre dans sa résidence secondaire à Monchauvet, petite commune du Calvados, est restée à la porte de la demeure. Celle-ci était, en effet, occupée par des squatteurs. »

Depuis plus d’un mois, la maison –dont la boîte aux lettres est toujours au nom des propriétaires lésés- est occupée illégalement. « Il y a un acte de propriété. Il y a un acte notarié derrière tout ça, mes parents payent des impôts locaux, des impôts fonciers, tous les ans. […] Et là, il y a quelqu’un qui vient, qui prend tout ça sans rien payer » s’indigne le fils, Georges Prudhomme. Les propriétaires ont porté plainte, mais ne peuvent accéder à leur maison sous peine de… violation de domicile. »

Absurdité de la situation sachant que la tournure juridique qui sera prise aboutira au résultat habituel et scandaleux : relaxe, abandon des poursuites financières pour non solvabilité (frais de justice finalement à la charge des contribuables…), oubli d’un Xième exemple du laxisme ambiant et de l’imbécilité de nombreux textes de lois (DALO, Pleven, PACS, mariage des invertis,…), etc.

L’article se poursuit en indiquant que « cette maison possédée par la famille depuis plus de cinquante ans, Karine craint qu’elle ne soit dégradée par ces quatre ou cinq squatteurs qui semblent refuser tout règlement à l’amiable. Pour pouvoir récupérer leur bien, les Prudhomme vont devoir engager un avocat et assigner les occupants indésirables en justice. »

On se souvient récemment de l’affaire Maryvonne de Rennes et de l’état dans lequel, les propriétaires ont retrouvé leur bien..

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Létat-dans-lequel-les-squatters-ont-laissé-la-maison-de-Maryvonne..

Les explications sur cette affaire sont données sur le site de Boulevard Voltaire par Daniel Thomas dans un billet de mai 2015.

On comprend bien à la lecture des messages tout en finesse et en réflexion que les squatteurs (baltringues assistés que tous les honnêtes travailleurs financent par leurs cotisations sociales !) ne sont pas de droite…

On y retrouve toute la bétise des termes magico-religieux (facho, sexiste, homophobe,…) de l’encyclique gauchiste.

Un pastiche rigolo se trouve sur le Moisiblog de ce cher Fromage+ !

En tous les cas, les Prudhommes ont raison de s’inquiéter !

Pour eux, une seule solution en deux étapes pour régler très rapidement leur souci en évitant les dégradations, avec à la clé uns dimension pédagogique (les lois et la discussion montrant leurs limites) pour les feignasses préempteurs…

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infographie déficit Europe - Valeurs actuelles 14-02-2013(infographie tirée du Valeurs actuelles n°3977 du 14 février 2013)

bel exemple d’une structure bancale qui prend l’eau de toute part mais que l’on maintient à flot aux détriments des pays les plus dynamiques dans l’espoir de faire croire au citoyen lambda que l’Europe est un ensemble cohérent et solide…

il n’est pas question ici de remettre en cause la solidarité entre états voisins ou liés par de bons rapports commerciaux mais il est clair que depuis plusieurs années, il ne s’agit plus de soutiens sporadiques et productifs mais bel et bien d’une fuite en avant et d’un emballement des dépenses répercutées sur les pauvres bougres que nous sommes et qui, pour la plupart, ont voté non à cette Europe au référendum de 2005 (54,67%) !!!…

on connait la suite…