Libé, le torchon des crados

Il est vrai que le danger majeur en France provient des groupes patriotes défendant des valeurs traditionnelles et promouvant l’enracinement local (pas bien ! c’est mieux la désertification des territoires et le nomadisme mondialisé…) d’où les « actions » du ministricules Darmanin qui enchaîne les dissolutions au nom d’une pitoyable moraline et à vitesse grand V, V comme vandalisme des libertés individuelles fondamentales.

Chercher la petite bête et faire les amalgames qui arrangent bien (salut nazi, salut romain, salut fasciste,…), tels sont les petites recettes des journalopes, qui se font cisailler comme il se doit chez le camarade Paul-Emic (avec la chanson de Jean-Pierre Ferland, Les journalistes (1965)).

Un salut nazi ?!!… il faut le dissoudre !

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6 réflexions sur “Libé, le torchon des crados

  1. Saviez-vous que les locavores et autre partisans des circuits courts ne sont rien que des traditionalistes nationalistes anti-mondialistes et en tant que tels, crypto-fascisants? Acheter des T-shirts thaïlandais, du mouton néo-zélandais et du soja argentin vous place au-dessus de tout soupçon.

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  2. il y avait un intervenant intéressant ce matin sur RC qui expliquait que pour lui la presse était le premier pouvoir par sa capacité à ouvrir ou fermer des affaires et d’en informer ou pas la population et de fait c’est vrai

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    1. Il a bien raison (même si le premier pouvoir est celui de la finance qui détient cette presse) et, là encore (je l’ai déjà cité auprès d’Elba), Bardèche est très clair à ce sujet dans Les Temps modernes, livre référence pour bien saisir la supercherie démocratique.

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