Voyant le temps défiler à une allure impensable comme je le constate régulièrement, j’ai décidé de reprendre et d’achever un article démarré en décembre !
Comme en parle Émile Durkheim ici, le monde occidental atteint un niveau de misère morale, de lamentable perversion normalisée et de sexualisation outrancière jamais vu depuis les temps de décadence antique.
Il n’y a pas une journée sans son lot d’imagerie licencieuse, de provocations aux comportements libidineux et d’exemples à toute heure de promotion de comportements déviants ou dépravés.
Que ce soit par l’intermédiaire de publicités indignes pouvant passer à la télévision à des heures de grande écoute avec des enfants s’imprégnant comme des éponges des messages subliminaux ou non…
(des publicités soit au message direct
soit au message suggéré et vulgaire)
et cela ne date pas d’hier
ou que ce soit au travers de l’actualité « politique » avec des propositions aberrantes comme celles, habituelles, de l’inverti Bergé qui veut des capotes dès le collège, ou celles de ses amis gauchistes qui introduisent le genre dès l’école avec l’ABCD de l’égalité afin de « déconstruire » (ça, détruire, ils aiment et savent faire !!) des schémas sociaux, des déterminismes familiaux trop forts et dès le collège avec un film comme Tomboy au programme du collège avec un dossier pédagogique plus que contestable (campagne « Collège au cinéma » du CNC et du ministère de la propagande de l’éducation) sans parler de la TVA sur les préservatifs ou les actions féministes des demeurées FEMEN qui sont de drôles de sal**** (merci Défrancisation !).
ou encore que ce soit par des comportements consumméristes d’une partie de la population a priori de plus en plus nombreuse au vu de la prolifération des magasins dédiés aux objets de plaisir sexuel (les fameux sexshops de moins en moins confidentiels) ou à l’intérêt croissant des catalogues classiques de vente par correspondance (La Redoute avec en section bien-être 849 articles sur 22 pages de sextoys contre 15 pages pour les blousons hommes ou les luminaires, les 3 suisses avec 96 produits sur 2 pages,…)
Tout se vend pour des pratiques incroyablement déviantes ou tout simplement ahurissantes, et aux propriétés vomitives en ce qui me concerne…
et là aussi, cela ne date pas d’hier…
Cet assouvissement consummériste qui tombe dans la dégénérescence mentale avec les poupées en silicone pour lesquelles leurs propriétaires vouent une affection délirante et ont un comportement digne des plus grands asiles psychiatriques de la planète !!! mais là encore, bientôt, ce type de comportement sera normalisé, banalisé…
(notons au passage, une interdiction de moins de 10 ans pour le moins hallucinante au vu du sujet traité !!!)
Ainsi, comme le signale l’Observatoire de la Christianophobie dans un billet intitulé « Une parodie abjecte de la Nativité » (information dont j’ai pris connaissance via le Salon Beige), la misère morale s’affiche partout et devient une sorte de « lien social », un pitoyable critère de reconnaissance sous couvert d' »esprit d’ouverture » et de « libertés individuelles » qui amène à élaborer des affiches prévenant d’un événement douteux au titre explicite et bassement provocateur « Sodomize me », reprenant sans originalité le misérable slogan des Guetta « F*** me i’m famous » inventé en 2001 pour les soirées au Pacha à Ibiza.
Il m’est toujours très difficile de prendre la décision d’évoquer ce genre d’affaire étant tiraillé entre le sentiment de colère m’invitant à dénoncer cette immondice et la crainte de faire une publicité inutile et presque flatteuse à une brochette de dégénérés qui sont la honte de la France et du monde occidental.
Mais comme le clamait partout l’agaçant Stéphane Hessel, il est nécessaire de s’indigner dont acte, je m’exécute !
Dans cet exemple, tiré parmi une multitude de déchets graphiques et publicitaires encombrant la toile virtuelle, rendez-vous est donné à la jeunesse ligérienne des alentours de Bellegarde-en-Forez pour fêter d’une bien drôle de façon la naissance d’un illustre personnage…
Comme a pu le dire très justement Alain Touraine : « Une société qui ne pense pas ne peut que s’enfoncer dans la décadence, lentement ou brutalement »…là, c’est un des à-coups brutaux d’une réalité française dont une part de la jeunesse ne pense plus, cherche à faire les plus grosses fêtes avec au menu, si possible, les activités de débauche les plus poussées (cf. slogan « trash – no limit », et en anglais s’il-vous-plaît !).
Je vous indique l’adresse de ce cloaque pour leur faire une publicité de tous les diables et surtout, allez donner votre avis sur google pour leur expliquer votre façon de voir les choses.
Pour ma part, c’est fait !
Qu’ils finissent tous comme cette poupée en latex !!!
L’obsolescence programmée de la décadence cordicole !