
L’affreux Robert Badinter qui ressemble quelque part au magnifique bailli Bamford de Sweeney Todd a encore fait un sortie digne de ses plus abracadabrantesques revendications !
Que ce bobo décadent se taise et arrête de donner un avis dont on se contrefiche !!! Qu’il soit banni de notre société qu’il honnit !
C’est là : lire l’article sur Jeuneafrique.com : Homophobie = racisme | Jeuneafrique.com – le premier site d’information et d’actualité sur l’Afrique
Puisque dans ce monde de relativisme, tout est dans tout et réciproquement, pour quoi ne pas remplacer homophobie par snobophobie ou nudismophobie ??!!… cela donnerait quelque chose de clinquant au sein de la logorrhée du « qui mieux mieux » dans la quête de la tolérance absolue à tout : « La nudismophobie (ou la snobophobie) n’est rien d’autre qu’un racisme comportemental fondé comme tous les racismes sur l’ignorance, le préjugé et la violence. Nous devons combattre la nudismophobie (ou la snobophobie) comme toutes les autres formes de racisme. »
ça le fait bien, n’est-ce pas ??! !…. ridicule… une société a besoin de normes, de règles qui sont évidemment toujours l’expression d’une intolérance selon certains critères toujours arbitraires pour celui qui les subit, mais ces interdits sont structurants et s’ils sont instaurés depuis des siècles, c’est qu’il doit bien y avoir une bonne raison !
En tous les cas, rien de surprenant pour celui qui mena un combat soi-disant progressiste quant au relations homosexuelles chez les mineures de plus de 15 ans !!! le même genre de progrès sociétal que la tolérance à une certaine pédophilie des gauchistes des années 70 et 80 (des intellectuels comme Michel Foucault ou Guy Hocquenghem (animateur du FHAR, front homosexuel d’action révolutionnaire) dénoncent comme un « nouveau régime de contrôle de la sexualité » la séparation sexuelle entre enfants et adultes ; l’universitaire René Schérer lui aussi figure du FHAR, défend ouvertement la pédophilie) … et après, on nous reprochera de faire d’abominables amalgames…
Toujours est-il qu’à l’époque, il clama : « L’Assemblée sait quel type de société, toujours marquée par l’arbitraire, l’intolérance, le fanatisme ou le racisme a constamment pratiqué la chasse à l’homosexualité. Cette discrimination et cette répression sont incompatibles avec les principes d’un grand pays de liberté comme le nôtre. Il n’est que temps de prendre conscience de tout ce que la France doit aux homosexuels comme à tous ses autres citoyens dans tant de domaines. La discrimination, la flétrissure qu’implique à leur égard l’existence d’une infraction particulière d’homosexualité les atteints – nous atteint tous – à travers une loi qui exprime l’idéologie, la pesanteur d’une époque odieuse de notre histoire. Le moment est venu, pour l’Assemblée, d’en finir avec ces discriminations comme avec toutes les autres qui subsistent encore dans notre société, car elles sont indignes de la France »
Toujours des grands mots (arbitraire, grand pays de liberté, flétrissure, indignes…), un peu de point godwin (si l’on doit abroger toutes les lois ou les alinéas créés sous le régime de Vichy alors l’assemblée a du travail sur la planche : cf. L’Héritage de Vichy de Cécile Desprairies) et un peu d’éloquence (« …le moment est venu… ») pour faire passer ou abroger une loi !
Cela me fait penser à une excellente phrase de Gustave Le Bon :« En politique, les choses ont moins d’importance que leurs noms. Déguiser sous des mots bien choisis, les théories les plus absurdes, suffit souvent à les faire accepter. » !
En l’occurrence, l’alinéa fut abrogé le 27 juillet 1982 puisque, d’après Daniel Borillo (activiste notoire du lobby des invertis tout comme Caroline Mecary ou Caroline Fourest !… désolé pour les « Caroline » !), il pénalisait tout rapport d’un adulte avec une personne consentante de son sexe en dessous de l’âge de majorité sexuelle 26 or l’âge de majorité sexuelle était défini de manière discriminatoire à 21 ans pour les rapports homosexuels, âge ramené à 18 ans en 1974.
Mais à ce moment là, pourquoi l’âge de 18 ans pour la majorité ne serait-il pas considéré par les jeunes de 16 ans comme discriminatoire puisqu’on leur permet la conduite accompagnée ou pourquoi se fixer l’âge de 15 pour la majorité sexuelle ???
plutôt que de raisonner vers le haut (augmenter la majorité sexuelle à 18 voire 21 ans) car la maturité doit être un facteur déterminant dans l’élaboration critériée de ce type de loi, il ont cédé au laisser-aller ambiant, à une tolérance qui est, en fait, le maître mot de la tyrannie de la faiblesse (cf. La tyrannie de la faiblesse de Paul-François Paoli).
Cette tolérance que dénonçait Cioran : « …La jeunesse romaine ne devait pas fréquenter des esprits aussi dissolvants. Sur le plan moral, Carnéade et ses compagnons étaient aussi redoutables que les Carthaginois sur le plan militaire. Les nations montantes craignent par-dessus tout l’absence de préjugés et d’interdits, l’impudeur intellectuelle, qui fait l’attrait des civilisations finissantes. » (De l’inconvénient d’être né de Cioran, Gallimard, nrf essais, p. 157)
Notre époque contemporaine est décidément formidable !! On y a l’art de raisonner sur l’irraisonnable et l’extravagant…