Un billet pas vraiment sérieux puisqu’il aborde le cas du comte de Bouderbala, humoriste.
De son vrai nom, Sami Ameziane, ce franco-algérien, ancien basketteur international algérien (là aussi, cette histoire de double nationalité, voire triple pourquoi pas, reste toujours un mystère !… on est né quelque part comme disait le babos de la maison bleue, non ?…), s’est lancé dans une carrière de chansonnier.
Bon, à vrai dire, ce n’est pas vraiment pour ses sketches que j’ai décidé de m’arrêter sur le cas du bonhomme. Je n’en ai regardé que deux que je vous propose ici. C’est assez inégal mais toujours mieux que du Deux bouses, du Kev Adams ou du Roumanoff. Et un type qui utilise du Tom Jones en entrée ou sortie de spectacle ne peut pas être entièrement mauvais…
En fait, un collègue enseignant de français et de philosophie, plutôt nauséabond, me l’avait conseillé à propos d’une saynète ironisant sur le rap. J’ai démarré par ce petit numéro que vous pourrez consulter en fin de billet. Son analyse de ce type de mode musical par rapport à l’emploi de la langue française est plutôt juste et rigolo.
Certes, certes, me direz-vous à juste titre…
Et bien, par curiosité, j’ai cliqué sur le sketch suivant qui s’intitule « Les roumains », non sans arrière-pensée. Je suis définitivement perdu…
Et là, outre les diverses situations évoquées assez réalistes et marrantes que ce soit sur les sus-cités ou sur les SDF en général, je constate durant le visionnage que ce numéro de comique est réalisé dans le cadre de « Rire ensemble contre le racisme », spectacle ayant eu lieu au Grand Rex le 5 janvier 2016 et retransmis sur France Ô (bien entendu ! la chaîne de la propagande du métissage et du révisionnisme historique de la France).
Le logo en dit long sur l’initiative, un gloubi-boulga de sales tronches de demeurés quasiment tous jaunâtres (il ne me semble pas que nous soyons submergés par les asiatiques…) en train de se noyer au fond d’un puits (sensé représenter la planète)… chouette programme !
Ce grand (il est vendu comme cela) rendez-vous dédié à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et les discriminations et créé il y a sept ans par une initiative conjointe de SOS Racisme et de l’Union des étudiants juifs de France était présenté par Michel Boujenah (évidemment !… merci l’UEJF…). Vu le niveau comique du présentateur, le « grand » rendez-vous a du être lourdingue.
L’antiracisme, véritable jackpot associatif, a permis ainsi de monter un spectacle entièrement tourné vers le respect des droits de l’Homme, la nouvelle religion à honorer coûte que coûte, avec la participation d’une foule d' »artistes » comme Fabrice Eboué (un des rares que j’aime bien), Ary Abittan, Max Boublil, Jérôme Daran, Arthur, Eric Antoine, Le Comte de Bouderbala, Claudia Tagbo, Booder, Phil Darwin, Elisabeth Buffet, Gérald Dahan (l’insoumis de Mélenchon pour 2017 et Hollandais en 2012…), Mustapha El Atrassi (le cogneur franco-marocain de Lemoine…), Willy Rovelli… belle brochette de comiques pas drôles !!! Étonnant contre-sens mais malheureusement tellement révélateur de notre triste époque d’inversion de tout, où tout et son contraire ne font plus qu’un…
Véritable officine du PS, l’équipe organisatrice de la soirée n’a pas oublié de fournir aux spectateurs des petites mains jaunes (décidément…après les tronches jaunâtres du logo ci-dessus…) de « Touche pas à mon pote », histoire que l’on fasse le plus souvent possible des plans sur ces braves gens défendant la cause essentielle actuelle en France.
Tant de gens meurent du racisme, de l’antisémitisme (qui est surtout majoritaire dans toutes les banlieues défendues par les mêmes quiches participant à cette soirée),… alors qu’il y en a si peu qui meurent de froid, de dépression, de maladies graves,….
Bref… en ayant regardé le sketch, vous aurez compris le titre du billet.
Comment peut-on aller à une soirée intitulée « rire contre le racisme » et, sans vergogne, rire aux éclats, tout en brandissant la petite main jaune, à propos d’un sketch basé sur des soi-disant préjugés, et qui est en réalité essentiellement basé sur des réalités à propos des roumains (ou plutôt les tsiganes) ??!…
C’est le paradoxe des bobos qui ont une multitude de lubies parce qu’ils s’emmerdent et se sentent inutiles, qui condamnent en conséquence à tour de bras les dires des nauséabonds mais qui sont pliés en quatre par ses mêmes dires parce qu’au fond, c’est la vérité.
Un peu comme lorsqu’ils mettent leurs gamins dans le privé, dans des classes racialement homogène, tout en vantant la richesse de la mixité ethnique et social… (le titre du document ci-dessous de Tatiana Kalouguine, entretiens avec les parents de l’école André Del Sarte dans le quartier de La Goutte d’Or le 13 mai 2011, est sûrement ironique pour souligner l’hypocrisie bobo, sinon l’emploi des mots « racistes » et « intolérants » n’est pas justifié par rapport au réel et très juste constat qui est fait).
C’est tellement délicieux d’entendre Catherine, la maman « vraiment de gauche », nous expliquer qu’il est très compliqué d’avoir un enfant dans une classe dans laquelle 80% des enfants ne parlent pas le français à la maison et ne maîtrise pas la langue française en classe !!!… Le schizophrénie gauchiste à son paroxysme !
Puisque vous avez été sages et que vous avez bien tout lu… voici Bouderbala et son rap.
C’est assez drôle tout de même…
Oui, pour le comte, je vous l’accorde. Une bonne critique des affreux du rap de banlieue française (sachant qu’il y a certains morceaux de « vieux » rap que j’aime bien… mea culpa… 😉 )
Commentaire destiné à NE PAS être publié, car je déteste ramener ma fraise mais trop c’est trop : votre texte est bourré de fautes d’orthographe , notamment le paragraphe sur le « gloubi-boulga de sales tronches jaunâtres… » où j’ ai relevé pas moins de 4 erreurs ( sur 4/5 lignes ça fait beaucoup). Je n’ai pas pris en compte les fautes de frappes….
SVP, ayez pitié de vos lecteurs nauséabonds. Relisez..
Sans rancune je l’espère.
Bonjour Sanchez,
bienvenu chez moi.
Je publie votre commentaire malgré votre indication pour vous démontrer que je ne fais pas partie de ces gens trop prétentieux ou trop soucieux de leur « apparence virtuelle » pour ne pas admettre leurs erreurs.
Je vous réponds sans avoir relu les parties incriminées, ce que je vais faire juste après.
L’orthographe et la syntaxe sont très importantes à mes yeux donc votre intervention, si elle est vérifiée, s’avèrera de bon aloi.
Pour ma décharge, j’ai écrit ce billet TRÈS tôt (1h59 du matin pour celui-ci et 2h38 pour le second), ceci expliquant cela….
Il n’y a donc aucune rancune en ce qui me concerne, le français est trop précieux pour moi !
Je vais essayer de me relire le plus possible dans le futur, après l’édition des billets (ce que je ne fais pas forcément), mais si vous n’êtes pas de mauvaise foi, sur le nombre de billets édités, cet établissement n’est pas habitué à produire beaucoup de textes mal écrits et mal orthographiés !!! Donc le « trop, c’est trop » est un poil abusé même si cette remarque, je le sais, n’était dirigée que pour ce texte là.
Bien à vous et revenez quand vous voulez… plus pour réagir sur le fond, ce qui est le but de ce blog…
Merci pour vos paroles de bienvenue. Je fais amende honorable pour le ton, excessif je le concède, imputable peut-être à une lecture tardive et hâtive mais bien plutôt à un réflexe pavlovien de vieille institutrice â la retraite. (Je lutte pourtant pour éviter de me comporter comme une donneuse de leçon, mais cette nuit, l’agacement l’a emporté sur la raison. Et m’a empêchée de savourer le billet comme à l’accoutumée. Je confirme que ceux-ci sont habituellement bien écrits.
Et l’essentiel étant le fond…on est sur la même ligne.
Désolée de vous décevoir, je ne suis pas Didier Goux.
Un ami à vous?
Mais c’est avec un réel plaisir que ces paroles furent transcrites.
Me faire gronder par une institutrice… cela faisait bien longtemps que je n’en avais pas fait les frais ! Pourtant, ma femme est institutrice dans notre village et ma mère le fut avant de devenir certifiée en anglais puis inspectrice…
Donner des leçons lorsqu’on est légitime et qu’il y a lieu, ma foi, je trouve cela très correct ! Seul les fats trouveraient à redire…
Je prends avec joie et gratitude vos compliments quant à la qualité (toute relative) de mes billets. Je suis malheureusement bien loin d’avoir le niveau d’un Chateaubriand ou d’un Céline mais on s’efforce d’écrire du mieux possible (sauf lorsqu’il est bien tard… vous l’aurez remarqué !).
Je ne suis pas déçu ! J’aurais trouvé cela rigolo et bien dans l’esprit taquin de cet excellent blogueur. Ce n’est pas un ami. Nous nous sommes loupés, je pense, sur certains échanges chez lui (car il n’est jamais venu commenter sur le fond ici) alors que nous sommes sur la même longueur d’onde sur de nombreux sujets. Ce n’est pas bien grave mais il est toujours un poil décevant de ne pas avoir un retour positif de ses pairs.
Quant à vous, je ne sais pas pourquoi (sûrement mon côté communautariste mâle), je croyais que vous étiez un homme…
Sur le net, on ne sait jamais…
Bien à vous.
Je soupçonne l’intervention de M.Goux sous le pseudo de Sanchez… lui qui a un regard plus qu’acéré au sujet du respect de notre si belle langue.
Le « bloubigoulba » n’était que le vague souvenir de mon enfance (j’aurais dû vérifier son orthographe sur gougueul…) mais face à un fan de Casimir, je comprends la remarque !
Le « demuerés » est plutôt le résultat d’une frappe trop rapide entraînant une inversion des lettres.
Le « Il ne me sembleras que… », lui, est une erreur du correcteur automatique car voulant écrire « Il ne me semble pas que », j’ai dû oublier de taper l’espace entre « semble » et « pas » ce qui a provoqué l’intervention du gendarme francophone de WordPress.
Là où je suis entièrement responsable, c’est l’oubli du « S » à puits et d’avoir laisser « représenté » alors qu’il s’agissait d’un infinitif.
Mea culpa pour le paragraphe incriminé !
Pour le reste du billet, je n’ai trouvé que très peu d’erreurs donc, bien que le commentaire de M. Sanchez ait été nécessaire et indispensable, sa tournure est un peu excessive me semble-t-il…