Pendant que notre président parle anglais, il s’en passe des choses!
Dans les prisons, des musulmans radicalisés agressent les gardiens, les hôpitaux pleurent misère, les vieux passent leurs derniers jours dans des mouroirs indignes (aucun sondage ne nous dit combien d’entre eux envient le sort des vieux chiens qu’on euthanasie), les réseaux sociaux sont pleins de commissaires politiques et de délateurs, on va « rapatrier » des gens qui sont partis combattre dans les rangs de Daech et dont le seul tort est de ne pas être morts sous les bombes que nos avions leur expédiaient sur la tronche, au lycée Gallieni de Toulouse de jeunes malfrats porteurs de bracelet électronique imposent leur loi et -excellente idée bien adaptée à notre malheureux pays- on va intégrer le trafic de drogue dans le calcul du PIB.
Une lente dégringolade, un glissement, une déconfiture, un pourrissement prévu. La routine.
Une nouvelle qui, dans ce…
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Pendant ce temps là le Français fait profil bas lui qui est aussi réactif que de la pâte à modeler.