On peut dire tout ce qu’on veut, moi Présipède je trouve qu’il cause vachement bien anglais. La preuve: je comprends à peu près tout ce qu’il raconte! En revanche le Président des États-Unis, ce triste sire, articule comme un cochon, englue les trois quarts des mots dans une sorte de bouillie inextricable sous-tendue par tout un jeu de mimiques, grimaces, branlements syncopés du chef et autres roulements de gobilles qui lui conférent l’apparence d’un crétin de l’Oklahoma, en dépit d’une origine new-yorkaise remontant à un sacré paquet de générations. Cela s’est bien vu à Davos où les applaudissements mesurés destinés à ce dernier contrastèrent de façon singulière avec le triomphe réservé à Macrounette dans une ovation debout tout ce qu’il y a de plus standing et de plus enthousiaste, saluant ainsi la performance du premier président franchouille à abandonner carrément l’emploi de sa langue maternelle dans ses discours à vocation…
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il commence à y avoir du clapotis sur la belle mare de Manu.