Emmanuel me fait l’honneur de s’abonner à mon blog. La lecture de quelques-uns de ses articles me rajeunit de quelques années, outre qu’elle provoque un début de surchauffe sous mon début de calvitie.
Dans son dernier article (que je vous recommande, ne serait-ce que pour vous faire une idée), il remarque que « les penseurs de la modernité raisonnent en termes de « droits subjectifs » : globalement, le but de l’institution politique est de garantir des droits qui sont ceux de l’individu comme tel, qu’il possédait donc pleinement dans « l’état de nature » (état de pure individualité) et que la vie politique menace désormais intrinsèquement« .
Je ne suis pas d’accord avec ces « penseurs de la modernité ». Dans « l’état de nature » tout hypothétique mais que l’on peut comparer à l’état de Robinson sur son île, l’homme n’a aucun droit. Il n’a que des possibilités. Il n’y a personne pour lui permettre ou interdire…
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