NON !!!
Il faut respecter les morts !
Ce qu’a toujours fait Charlie Hebdo…
En tous les cas, je n’aurai pas mieux dit que ce cher Plouc-émissaire : « Bien sûr, j’exprime mes condoléances aux familles de Charb, Cabu, Wolinsky, etc. Ce qui leur arrive est probablement d’autant plus dur à porter qu’ils le vivent dans l’incompréhension, tant leurs héros familiaux respectifs avaient dû les persuader qu’ils étaient le seul avenir dont le futur a droit…
Eux, je ne les pleurerai pas.
Et je réserve ma sincère compassion aux familles des flics. Ainsi qu’à celles des éventuelles petites mains qui ont eu la malchance de se trouver là au mauvais moment. »
RIP pour les deux serviteurs de la Gueuse et pour les journalistes innocents mais non, je ne suis en rien Charlie !
Enfin un peu de bon sens…
Nous autres les réacs (les fascistes, les nazis, les beaufs, les adjudants Kronembourg pour reprendre leur vulgate), nous vous prévenons depuis des années des risques de l’importation de la secte mortifère du croissant. Vous venez de vous payer une tranche de réalité au restaurant de la vie…
Que les 2 fonctionnaires de police reposent en paix, ils sont allés jusqu’au bout de leur engagement, de leur mission. Pour les autres, condoléance aux famille. Mais je ne suis pas Charlie.
Merci et bienvenue ici !
La désignation de beauf tellement chère à Cabu m’a toujours exaspérée car symptomatique de la schizophrénie du gauchiste : ne stigmatisons pas les Roms mais bon, le prolétaire patriote à béret, on peut !… En plus, c’est injuste, j’ai un beauf très sympa et avec un bon sens que de nombreux prêtres du culte progressiste devraient envier !
Vous avez raison, vous n’êtes pas Charlie et moi non plus !
Bien à vous.
Pourquoi « pleurer » ?
Si on veut rester dans l’esprit Hara Kiri ce matin il faut trouver un meilleur titre, comme « Cavanna pouffe et Choron rit » et voila :
http://steppiquehebdo.blogspot.fr/2015/01/pr-choron-et-cavanna-s-de-rire.html
Vous n’avez pas tort !
Je vous avouerai que je ne trouve plus du tout l’humour de Hara Kiri à mon goût mais il est sûr qu’ils doivent tous bien rigoler de là où ils sont devant cette mascarade généralisées de l’Empire du Bien !
Très heureux de votre visite dans mon modeste établissement, vous ayant lu plusieurs fois ici ou là, chez Corto par exemple.
Au plaisir de vous lire.
Cette histoire est assez symptomatique. Les iconoclastes de Mai 68 sont devenus les icônes intouchables de notre époque. C’est assez savoureux que les trotsko-anarchistes qui ont tant œuvré pour détruire notre société, notamment en organisant l’immigration massive, soient les premiers à se prendre le retour de bâton.
Bonjour François !
Je me demandais ce que vous deveniez…
Votre remarque est pertinente et je me la faisait aussi : destin tragico-comique d’une cruelle prévisibilité !
Ces icônes qui chassaient le curé sont devenus les prêtres du nouveau culte moderne, celui de la dictature de l’Altruisme dont parlait Muray.
À bientôt.