« Il faut avoir vécu dans cet isoloir qu’on appelle Assemblée nationale, pour concevoir comment les hommes qui ignorent le plus complètement l’état d’un pays sont presque toujours ceux qui le représentent. »
Pierre-Joseph Proudhon – Confessions d’un révolutionnaire pour servir à l’histoire de la révolution de février (La Voix du Peuple, Paris, p. 41) – 1849