Les critiques sont unanimes, le metteur en scène Valérian Messaline a réussi à tirer la quintessence du personnage principal de cette chronique de la Ve et dernière république française, témoignage fidèle de cette période joyeusement décadente et d’un glauque assumé en Égalie. L’interprète du héros progressiste n’est autre que François d’Hollandie lui-même.
Les avis sont dithyrambiques devant autant de réalisme utopique, de véracité feinte et de chaude fraîcheur.
Télérama et Libération, dans l’attente d’une autorisation officielle, n’ont rien édité pour l’instant n’ayant pas encore rencontré l’acteur d’une justesse assez exceptionnelle et en même temps d’une délirante imprécision.
L’affiche de promotion a été saluée par le monde très fermé des concepteurs de propagande publicité qui a souligné l’excellent travail graphique réalisé par FlambiPublicis, entreprise américaine très connue pour son lobbying actif au profit des minorités et de la diversité qui, nous le savons tous évidemment, sont les deux socles fondateurs de la France qui maçonne son histoire à grands coups de truelles biaisées.
Hollande le mol est un homme bien plus dangereux qu’il n’y parait !
Les couards perfides ont toujours été plus récompensés et ont toujours vécu plus longtemps que les vaillants courageux : certains appellent ça de l’intelligence, pour moi, c’est du déshonneur et de l’infamie.